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Liga espagnole

Posté : 21.04.2011 12:44
par InterFcSion
Et si ça nous arrivait avec la coupe de Suisse :terro:
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... e-30389131

Re: Liga espagnole

Posté : 21.04.2011 14:00
par JaY-C19
InterFcSion a écrit :Et si ça nous arrivait avec la coupe de Suisse :terro:
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... e-30389131
Tant qu'elle tombe sur la Planta et pas à la Bahnhofstrasse ca va! :-)

Re: Liga espagnole

Posté : 21.04.2011 14:10
par Misterno
JaY-C19 a écrit :
InterFcSion a écrit :Et si ça nous arrivait avec la coupe de Suisse :terro:
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... e-30389131
Tant qu'elle tombe sur la Planta et pas à la Bahnhofstrasse ca va! :-)
Oh je crois que la Coupe morfle à chaque fois quand elle arrive à Sion :-D

Re: Liga espagnole

Posté : 22.04.2011 13:05
par Grizzli
InterFcSion a écrit :Et si ça nous arrivait avec la coupe de Suisse :terro:
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... e-30389131
À Sion, on la couve comme une poule couve ses poussins... :-D

Re: Liga espagnole

Posté : 18.05.2011 21:42
par nufc
Allemagne: Schalke 04 prolonge son juteux partenariat avec Gazprom

GELSENKIRCHEN (Allemagne) - Schalke 04, récent demi-finaliste de la Ligue des champions de football, a prolongé son juteux partenariat avec le géant gazier russe Gazprom jusqu'en 2017, a annoncé mercredi le club de 1re division allemande.

Le club de la Ruhr, qui dispute samedi la finale de la Coupe d'Allemagne, n'a pas précisé le montant de ce partenariat, mais il devrait lui rapporter en fonction de ses résultats entre 12 et 25 millions d'euros par saison.

Le contrat avec Gazprom, conclu en 2007, a été révisé à la hausse, puisqu'il garantissait jusque là 15 millions d'euros par saison à Schalke 04.

S'il a atteint pour la première fois de son histoire le dernier carré de la Ligue des champions et peut encore remporter la Coupe d'Allemagne, le club de Gelsenkirchen a vécu une saison difficile avec sa 14e place en Championnat d'Allemagne.

Plus grave, son endettement, déjà inquiétant, a progressé de 20 millions d'euros en 2010 pour atteindre 155 millions.

(©AFP / 18 mai 2011 19h44)

Re: Liga espagnole

Posté : 22.05.2011 13:32
par buffon
Cristiano Ronaldo a établi un nouveau record en marquant 40 fois cette saison en championnat en 35 match joué ce qui fait plus qu'un but marqué par match et avec toute la panoplie(pied droit et du gauche de la tête ....Il a marqué encore 6 en ligue des champions et 3 en sélection. Quand on pense que le Deportivo La Corogne a marqué moins que lui c'est quand même impressionnant même si je préfère Messi.....

Re: Liga espagnole

Posté : 22.05.2011 13:42
par Mystik
buffon a écrit :Cristiano Ronaldo a établi un nouveau record en marquant 40 fois cette saison en championnat en 35 match joué ce qui fait plus qu'un but marqué par match et avec toute la panoplie(pied droit et du gauche de la tête ....Il a marqué encore 6 en ligue des champions et 3 en sélection. Quand on pense que le Deportivo La Corogne a marqué moins que lui c'est quand même impressionnant même si je préfère Messi.....
Déjà que un but par match de moyenne sur 35 matchs joué à ce niveau et dans ce championnat, c'est incroyable alors en mettre 40 c'est la pure folie! Il a marqué environs 40% des buts de son équipe. Et si on compte les assists, j'ose pas imaginer l'importance chiffrée qu'il a dans l'attaque du Real.

J'aime pas le personnage mais le footballeur est une bête! rien à dire!

Re: Liga espagnole

Posté : 24.05.2011 11:30
par tazza
C'est vrai comme joueur rien à dire...un vrai champion...

Re: Liga espagnole

Posté : 25.05.2011 11:52
par tazza
De plus, il va faire un bon euro 2012...j'en suis sur..

Re: Liga espagnole

Posté : 27.09.2011 15:16
par buffon

Re: Liga espagnole

Posté : 27.09.2011 15:32
par Misterno
Vu en direct, sur la canapé, bière à la main... Mieux vaut matter ça qu'un Kriens-Vaduz :-D

Re: Liga espagnole

Posté : 29.11.2011 21:00
par Bastoon1
Le match du championnat d'Espagne.. Grenade-Majorque, qui avait été arrêté le 20 Novembre à la 61 ème minute après un jet de PARAPLUIE :-D ayant blessé au visage un arbitre, se poursuivra à huit clos le 07 Décembre .. Le match reprendra pour 29 minutes ...

Re: Liga espagnole

Posté : 29.11.2011 22:23
par Trilu
Faut pas tant rigoler on à bien lancé des game boy !

Re: Liga espagnole

Posté : 10.12.2011 22:06
par Consensuel
Dur dur pour le championnat suisse de s'affronter à la comparaison. Mais après FCZ-Sion il faut bien regarder les match des match, Real-Barça. Déjà 1-0.....que le spectacle soit beau. N'oublions pas quand même que ces deux clubs sont endettés comme aucun autre club dans le monde. Dans ce domaine le Bayern reste la référence, mais vive le Classico quand même :love:

Re: Liga espagnole

Posté : 10.12.2011 23:18
par Consensuel
Oups à part les coulisses le match n'offre pas grand chose jusqu'ici. Donc même Le Classico n'est pas une garantie de spectacle. Tout fout le camp..... :biere:

Re: Liga espagnole

Posté : 15.03.2012 16:05
par nufc
Eric Abidal va subir une greffe du foie

BARCELONE (AP) — Le défenseur français du FC Barcelone Eric Abidal va subir une greffe du foie dans les semaines à venir, a annoncé jeudi son club.

"Dans les prochaines semaines, le joueur subira une greffe du foie, en raison de l'évolution de sa maladie hépatique", précise le Barça dans son communiqué. "La greffe était une option envisagée dès le début de son traitement il y a un an".

"A la demande du joueur, le club demande le maximum de respect envers sa vie privée".

Agé de 32 ans, l'international français avait été opéré d'une tumeur au foie le 17 mars 2011, mais avait pu jouer la fin de la saison. Il avait été choisi pour brandir la quatrième coupe des Champions d'Europe à Wembley, après avoir contribué dans la victoire contre Manchester United (3-1) lors de la finale en mai 2011. AP

(AP / 15.03.2012 15h05)

Re: Liga espagnole

Posté : 02.04.2012 12:02
par seb
L’Athletic Bilbao cultive le pur Basque

LE TEMPS, samedi 31 mars 2012. Fred Hirzel

Bourreau de Schalke 04 jeudi soir en Europa League, le club recrute des joueurs uniquement dans sa région. Histoire d’une incongruité payante au sein du football mondialisé

Vingt-sept joueurs recensés dans l’effectif 2011-2012, dont un seul «étranger» – un Vénézuélien formé au club – plus quatre Espagnols, dont trois nés à la maison et un chipé à la ville voisine de Pampelune. Autrement dit, sans chipoter sur les détails de nationalité, 27 Basques composent la première garniture de l’Athletic Club Bilbao. Unique en Europe et simplement ahurissant à l’heure où, par exemple, certains clubs anglais prétendent aligner un onze de base sans un seul sujet de Sa Gracieuse Majesté!

Le phénomène pourrait paraître anecdotique s’il s’agissait d’une équipe qui galère au sein d’une quelconque division inférieure. «C’est normal», entendrait-on auprès des analystes. Or, pas du tout. Certes, l’Athletic Bilbao n’occupe que la 11e place en Liga, mais il peut encore viser la zone donnant droit aux préliminaires de la Ligue des champions. En revanche, le voici qualifié pour la finale de la Coupe d’Espagne, qu’il disputera le 25 mai contre le FC Barcelone. Plus, ces jours-ci, en quarts de finale de l’Europa League, une victoire percutante (2-4) jeudi dernier à Gelsenkirchen face à Schalke 04, malgré une défense peu sécurisante. Et donc un passage fort probable en demi-finales, le 5 avril à San Mamés. Un niveau de compétition pas atteint par les Basques depuis 35 ans, cela grâce à cette volonté permanente et assumée de jouer la gagne. On est très, très loin du Bilbao rugueux du début des années 1980, où l’arrière central international Andoni Goikoetxea fracassa successivement Diego Maradona et Bernd Schuster, sans prendre le moindre carton.

Il n’est pas non plus inutile de rappeler qu’aux tours précédents, Bilbao a sorti (de justesse) le Lokomotiv Moscou, puis le grand Manchester United sur deux victoires, 2-3 à Old Trafford et 2-1 au pays. Plutôt sensationnel. A l’image du palmarès de ce club – 8 Championnats d’Espagne, 24 Coupes, 1 Supercoupe –, qui a participé à l’entier des saisons de la Liga depuis sa création en 1926, en la seule compagnie prestigieuse du Real Madrid et du Barça.

Voilà qui situe la valeur de cette société footballistique «provinciale», prouvant qu’il est possible de tenir tête à (presque) tout le monde avec un enracinement local et un budget de 61,1 millions d’euros, environ sept fois moins que les colosses castillan et catalan.

Dès sa naissance officielle en 1901, via des marins anglais œuvrant dans le port de Bilbao, l’Athletic a choisi d’appliquer la politique de la Cantera (littéralement: le vivier), son centre de formation qui n’accepte que des descendants de parents et grands-parents basques. Au cours des années 1990, le club décide d’assouplir un brin ses règles fort restrictives. Il tolère dorénavant les joueurs ayant au moins un des deux géniteurs pur basque, à condition que leurs origines coïncident avec la province de Bilbao, ainsi que les Espagnols formés dans cette région. Une vraie «révolution», qui permet dès lors de recruter parmi les Canteras des autres clubs basques. D’où certaines tensions épisodiques, en particulier avec la Real Sociedad San Sebastian.

L’autre révolution, dans le jeu cette fois, sera provoquée par l’arrivée de l’entraîneur argentin Marcelo Bielsa en juillet 2011. Surnommé El Loco (le fou) après qu’il eut accueilli, chez lui à Rosario, un groupe de supporters mécontents une grenade à la main (sic), Bielsa, ancien sélectionneur de l’Argentine et du Chili, a mué le kick and rush hérité d’Albion en un 4-3-3 offensif et séduisant, privilégiant la technique en mouvement, les passes courtes et sèches, les appels de balle dans les intervalles. Un système dérivé du Barça de Pep Guardiola, en somme. Les deux compères, d’ailleurs, se vouent un respect mutuel infini. Le coach catalan n’est-il pas allé jusqu’à qualifier son homologue sud-américain de «meilleur entraîneur au monde»?

En tous les cas, l’Athletic lui doit l’éclosion de ses vedettes régionales De Marcos, Llorente et Muniain, et sait profiter de son immense savoir. Jusqu’à quand? Question ouverte. Car, fidèle à son image d’homme épris de liberté, Marcelo Bielsa ne signe que des engagements d’une saison…

Re: Liga espagnole

Posté : 02.04.2012 13:47
par nufc
seb a écrit :L’Athletic Bilbao cultive le pur Basque

LE TEMPS, samedi 31 mars 2012. Fred Hirzel

Bourreau de Schalke 04 jeudi soir en Europa League, le club recrute des joueurs uniquement dans sa région. Histoire d’une incongruité payante au sein du football mondialisé

Vingt-sept joueurs recensés dans l’effectif 2011-2012, dont un seul «étranger» – un Vénézuélien formé au club – plus quatre Espagnols, dont trois nés à la maison et un chipé à la ville voisine de Pampelune. Autrement dit, sans chipoter sur les détails de nationalité, 27 Basques composent la première garniture de l’Athletic Club Bilbao. Unique en Europe et simplement ahurissant à l’heure où, par exemple, certains clubs anglais prétendent aligner un onze de base sans un seul sujet de Sa Gracieuse Majesté!

Le phénomène pourrait paraître anecdotique s’il s’agissait d’une équipe qui galère au sein d’une quelconque division inférieure. «C’est normal», entendrait-on auprès des analystes. Or, pas du tout. Certes, l’Athletic Bilbao n’occupe que la 11e place en Liga, mais il peut encore viser la zone donnant droit aux préliminaires de la Ligue des champions. En revanche, le voici qualifié pour la finale de la Coupe d’Espagne, qu’il disputera le 25 mai contre le FC Barcelone. Plus, ces jours-ci, en quarts de finale de l’Europa League, une victoire percutante (2-4) jeudi dernier à Gelsenkirchen face à Schalke 04, malgré une défense peu sécurisante. Et donc un passage fort probable en demi-finales, le 5 avril à San Mamés. Un niveau de compétition pas atteint par les Basques depuis 35 ans, cela grâce à cette volonté permanente et assumée de jouer la gagne. On est très, très loin du Bilbao rugueux du début des années 1980, où l’arrière central international Andoni Goikoetxea fracassa successivement Diego Maradona et Bernd Schuster, sans prendre le moindre carton.

Il n’est pas non plus inutile de rappeler qu’aux tours précédents, Bilbao a sorti (de justesse) le Lokomotiv Moscou, puis le grand Manchester United sur deux victoires, 2-3 à Old Trafford et 2-1 au pays. Plutôt sensationnel. A l’image du palmarès de ce club – 8 Championnats d’Espagne, 24 Coupes, 1 Supercoupe –, qui a participé à l’entier des saisons de la Liga depuis sa création en 1926, en la seule compagnie prestigieuse du Real Madrid et du Barça.

Voilà qui situe la valeur de cette société footballistique «provinciale», prouvant qu’il est possible de tenir tête à (presque) tout le monde avec un enracinement local et un budget de 61,1 millions d’euros, environ sept fois moins que les colosses castillan et catalan.

Dès sa naissance officielle en 1901, via des marins anglais œuvrant dans le port de Bilbao, l’Athletic a choisi d’appliquer la politique de la Cantera (littéralement: le vivier), son centre de formation qui n’accepte que des descendants de parents et grands-parents basques. Au cours des années 1990, le club décide d’assouplir un brin ses règles fort restrictives. Il tolère dorénavant les joueurs ayant au moins un des deux géniteurs pur basque, à condition que leurs origines coïncident avec la province de Bilbao, ainsi que les Espagnols formés dans cette région. Une vraie «révolution», qui permet dès lors de recruter parmi les Canteras des autres clubs basques. D’où certaines tensions épisodiques, en particulier avec la Real Sociedad San Sebastian.

L’autre révolution, dans le jeu cette fois, sera provoquée par l’arrivée de l’entraîneur argentin Marcelo Bielsa en juillet 2011. Surnommé El Loco (le fou) après qu’il eut accueilli, chez lui à Rosario, un groupe de supporters mécontents une grenade à la main (sic), Bielsa, ancien sélectionneur de l’Argentine et du Chili, a mué le kick and rush hérité d’Albion en un 4-3-3 offensif et séduisant, privilégiant la technique en mouvement, les passes courtes et sèches, les appels de balle dans les intervalles. Un système dérivé du Barça de Pep Guardiola, en somme. Les deux compères, d’ailleurs, se vouent un respect mutuel infini. Le coach catalan n’est-il pas allé jusqu’à qualifier son homologue sud-américain de «meilleur entraîneur au monde»?

En tous les cas, l’Athletic lui doit l’éclosion de ses vedettes régionales De Marcos, Llorente et Muniain, et sait profiter de son immense savoir. Jusqu’à quand? Question ouverte. Car, fidèle à son image d’homme épris de liberté, Marcelo Bielsa ne signe que des engagements d’une saison…
Le pays basque géographique couvre quand même 3 millions d'habitants, plus les gens qui ont du sang basque, ça fait un grand potentiel pour trouver des joueurs.

La moitié de la Suisse arriverait à avoir une équipe performante dans un grand championnat européen qu'avec des joueurs suisses...

Re: Liga espagnole

Posté : 02.04.2012 18:13
par Mystik
il y avait un étranger qui avait jouer pur ce club, c'était Lizarazu... car basque de France.

Re: Liga espagnole

Posté : 03.04.2012 01:25
par seb
Mystik a écrit :il y avait un étranger qui avait jouer pur ce club, c'était Lizarazu... car basque de France.

Effectivement du coté Français, mais quand nufc parle du pays basque, cela comprend bien évidemment la partie frouze. Pour eux il n'y a pas de frontières.
A part ça c'est une très belle région a voir, du moins coté espagnol. Donostia (San Seb.) et Bilbao valent le détour..

Re: Liga espagnole

Posté : 09.04.2012 21:39
par Marat'
Un Espagnol de 28 ans est décédé lundi de ses blessures après avoir été pris jeudi dernier dans des incidents après le match d'Europa League entre l'Athletic Bilbao et le club allemand de Schalke à Bilbao, a indiqué le ministère de l'Intérieur basque.
Iñigo Cabacas Liceranzu est décédé à l'hôpital de Basurto à Bilbao, où il avait été admis jeudi, souffrant d'une fracture du crâne et de lésions cérébrales.


Selon l'entourage du jeune homme cité par la presse espagnole, le jeune Basque pourrait avoir été touché par une balle de caoutchouc dont la police aurait fait usage lors d'incidents jeudi soir.
Iñigo Cabacas Liceranzu est décédé après "avoir été gravement blessé au cours des incidents qui s'étaient produits jeudi dernier à Bilbao, après le match Athletic-Schalke 04", a expliqué le ministère de l'Intérieur basque sur son site internet.
Le conseiller du ministère de l'Intérieur basque, Rodolfo Ares, a précisé qu'il avait ordonné l'ouverture d'une enquête pour déterminer les causes du décès et s'exprimera prochainement sur l'affaire devant le Parlement basque.
Le quart de finale retour d'Europa League Athletic Bilbao-Schalke (2-2) avait été classé à risques par la police basque qui avait renforcé son dispositif habituel.
RIP. ACAB !

Re: Liga espagnole

Posté : 11.04.2012 08:31
par nufc
Abidal: opération presque terminée, les prochaines heures déterminantes

BARCELONE (Espagne) - L'opération du défenseur français du FC Barcelone Eric Abidal, qui a subi mardi une greffe de foie, est presque terminée et les prochaines heures seront déterminantes, a déclaré tard dans la soirée l'entraîneur du club catalan Pep Guardiola.

On vient juste de me dire que l'opération est presque terminée, qu'elle a été très, très longue, que nous devons être très prudents, a dit Pep Guardiola à la presse, après le match de Liga remporté par le Barça face à Getafe (4-0).

(©AFP / 11 avril 2012 00h17)

Re: Liga espagnole

Posté : 14.04.2012 17:41
par seb
football samedi 14 avril 2012, LE TEMPS
Fred Hirzel

L’extase fragile des clubs espagnols

Cinq équipes ibères en demi-finales des Coupes d’Europe, du jamais-vu! Cette réussite sportive longuement mûrie pourrait être balayée par de lourdes dettes

Cinq clubs espagnols sur huit demi-finalistes des Coupes d’Europe… Soit deux en Ligue des champions – Barcelone, tenant du trophée, et le Real Madrid – et trois en Europa League – FC Valence, Athletic Bilbao, Atlético Madrid. Cela nous fait gentiment une proportion de 62,5% pour une seule des 53 associations nationales membres de l’UEFA, ainsi qu’un phénomène historique depuis l’existence de ces deux compétitions. En y ajoutant les sacres européen (2008) puis planétaire (2010) de la Selección, ainsi que les deux titres du Barça en Ligue des champions (2009 et 2011), on s’aperçoit que les Ibères ne sont plus seulement rudes, mais en pleine extase footballistique depuis quatre années. Une hégémonie sur la longueur qui n’a rien à voir avec l’exception anglaise de 2008 (trois demi-finalistes en Ligue des champions).

«Les jeunes Espagnols apprennent une manière de jouer commune à tous, tels des principes généraux mis en symbiose», explique Claude Ryf, coach des M18 helvétiques et qui a eu l’occasion de visiter plusieurs clubs ibériques. «J’ai constaté que, dans les centres de formation, chacun a la volonté de pratiquer le football pour ce qu’il est: un jeu. En réalité, l’Espagne a réinventé le foot sauvage, celui de notre enfance, quand on évoluait à 6 contre 6 sur des surfaces réduites à l’image du préau d’école. Leurs entraînements ressemblent à ça. Ce qui requiert beaucoup de technique, de rapidité, l’habitude de se trouver sous pression constante, de lâcher le cuir sans lever la tête. Après, au plus haut niveau, le joueur espagnol n’est jamais ennuyé avec le ballon, quelle que soit la situation.»

Le constat signifie-t-il que les autres pays – dont la Suisse – ont trop insisté sur l’aspect physique de ce sport? «Le coach est comme le cuisinier», répond Claude Ryf, «il a toujours peur de mettre un ingrédient de trop qui déséquilibre son plat! Le foot compte tellement de facteurs – le physique, la technique, le mental – qu’on a peut-être privilégié une chose au détriment d’une autre. Cela dit, il faut savoir que la condition athlétique n’a aucune espèce d’importance aux yeux des Espagnols jusqu’à l’âge de 16 ans. Auparavant, ils estiment que la maîtrise du ballon se suffit à elle-même. Il y a vraiment matière à être interpellé, voire à réexaminer nos propres méthodes.»

Entraîneur du FC Espagnol Lausanne, équipe de 5e Ligue vaudoise, Pablo Suárez rappelle un élément clé de la réussite de la Roja et des clubs ibères: «Depuis les Jeux olympiques de Barcelone 1992, le gouvernement a mis en place un programme de développement du sport unique en Europe et qui porte ses fruits. Les centres de formation de football se sont mis à proliférer, tandis que le pays est devenu très compétitif dans plusieurs disciplines. Voyez le tennis, le volley, le basket, le handball… Sans ce dynamisme de l’Etat, on verrait toujours le Real et le Barça, mais les trois autres clubs présents en demi-finales de l’Europa League ne seraient pas là. Toutes les équipes de la Liga disposent aujourd’hui d’excellentes écoles de foot jouissant d’infrastructures optimales. Les stades sont remplis à chaque match de championnat, en dépit du fait que le prix des places – 60 euros en moyenne – est le plus élevé du continent. Voilà les secrets du succès.»

Encore Pablo Suárez ne dit-il que l’essentiel. Car il existe aussi des règles strictes en Espagne, qui favorisent l’éclosion des talents. Par exemple, un club ne peut posséder davantage que 25 professionnels sous contrat. Corollaire: il bénéficie d’équipes réserves de très bonne qualité. Or, ces réservistes ne sauraient être âgés de plus de 23 ans.

Les deux obligations combinées inciteront le jeune joueur à rester dans son club, puisqu’il aura du temps de jeu assuré, plutôt que de partir n’importe où à 19 ans. Qui plus est, le même réserviste touchera un salaire de 1500 euros agrémenté de primes multiples. «Avec ce système, les clubs espagnols ne peuvent pas passer à côté de joueurs qui explosent sur le tard», écrit justement le site chronofoot.com.

Et dire que toute cette belle ouvrage pourrait être taillée en pièces par les problèmes financiers… 590 millions d’euros de dettes pour le Real, 578 pour le Barça, 514 pour l’Atlético, 382 pour Valence, et… zéro pour Bilbao, lequel ne recrute qu’au Pays basque et en Navarre (LT du 31.03.2012). Montant qui fait le plus frissonner, les 752 millions d’euros dus au fisc par les clubs de Liga, dont six sur vingt se trouvent en redressement judiciaire. Le Ministère des sports vient d’affirmer qu’il met au point un plan afin de «faire payer au football la dette qu’il a creusée». On en est encore à l’effet d’annonce. Mais pour combien de temps?

Re: Liga espagnole

Posté : 21.04.2012 21:59
par buffon
le reall file vers le titre, les madrilènes ont remporté le classico 2-1

Re: Liga espagnole

Posté : 27.04.2012 14:05
par Chester
Guardiola officialise son départ du Barça

Si Courbis ne prolonge pas au terme de la saison...

Re: Liga espagnole

Posté : 27.04.2012 16:37
par Hik
Comme cela, s'il vient il prend Messi, Alves, Fabregas, Iniesta et Alexi Sanchez avec lui histoire d'un peu étoffé notre banc de touche. :-P

Re: Liga espagnole

Posté : 09.05.2012 18:23
par seb
Athletic Bilbao, l’exception basque

LE TEMPS, lundi 7 mai 2012, Simon Meier

Le club basque aligne uniquement des éléments du cru. Mercredi, il pourrait remporter son premier trophée européen

Bucarest, drôle d’endroit pour une consécration basque… C’est pourtant dans le tout nouveau tout beau Stade national de la capitale roumaine que l’Athletic Club Bilbao a rendez-vous avec l’histoire, mercredi soir, lorsqu’il tâchera de décrocher son premier trophée européen contre l’Atletico Madrid. Sans surtout souhaiter le moindre mal aux méritants «Colchoneros», et au risque de froisser le devoir de réserve et d’impartialité qui devrait en toutes circonstances étreindre le chroniqueur, on se surprend à souhaiter un succès basque. Pourquoi? Parce que ce club est irrésistible, unique.

«Là-bas, on ne joue pas avec les sentiments», témoigna un jour dans L’Equipe Luis Fernandez, entraîneur à Bilbao entre 1996 et 2000, homme de flamme. «J’ai compris petit à petit que l’Athletic, c’était davantage qu’un club de foot, que c’était l’équipe du peuple, de toute une région. De ma vie, la plus grande décharge d’adrénaline que j’ai reçue, c’est en pénétrant dans San Mames… La cathédrale! Quarante-cinq mille poitrines qui chantent l’hymne de l’Athletic. Un truc de folie…»

Cette folie, c’est la foi. L’attachement viscéral aux racines, aux couleurs. A l’heure du transfert à tout-va, à une époque où les clubs transformés en multinationales aseptisées changent d’effectif comme de couleur de maillot extérieur histoire de faire tourner la boutique, l’institution basque constitue un délicieux anachronisme. Creuset d’histoire et de tradition, l’Athletic Bilbao est aussi un levier politico-passionnel, un pôle identitaire, un lien entre les générations, bref, un bout d’éternité.

Ce qui fait de lui une exception? Sa première équipe, aujour­d’hui entraînée par l’excellent Argentin Marcelo Bielsa, alias «El Loco» (le Fou), n’est composée que de locaux. Les joueurs doivent être Basques, fussent-ils Français comme Bixente Lizarazu de passage une saison en 1996, ou alors avoir été élevés à la Cantera locale ou dans un autre centre de formation du coin. On peut voir ça à travers le spectre sombre des choses, et observer que ces gens terriblement refermés sur eux-mêmes ne connaîtront jamais les délices du métissage par le truchement du centre au cordeau d’un ailier nigérian pour un avant-centre suédois qui bat le portier polonais adverse. Mais on peut aussi admirer, par les temps qui courent, cet attachement aux valeurs d’arrière-grand-papa. En tout cas, les 35 479 membres de la famille Athletic alimentent cette flamme-là.

Qui jamais ne s’éteindra… «Certainement pas», expliquait Andoni Zubizarreta, gardien entre 1980 et 1986, du temps où il fut directeur sportif (de 2001 à 2004). «Nous avons toujours agi de cette façon et il est inimaginable que nous puissions changer pour quelque raison que ce soit. Nous sommes très fiers de rester compétitifs par rapport à des équipes très riches sans renier nos principes. L’Athletic Bilbao est bien plus qu’un club chez nous. Nous entretenons une véritable communion avec notre société. Il en a toujours été ainsi et cela ne changera pas.»

Les «Leones», qui s’alimentent sur un territoire de chasse très réduite en termes de recrutement, n’ont pas trop souffert des méfaits de l’arrêt Bosman. Aujourd’hui, avec un budget de quelque 60 millions d’euros, l’Athletic fait partie des bons élèves dans une Liga gangrenée par un surendettement généralisé. Bilbao prouve qu’on peut faire d’excellentes soupes dans de vieilles marmites: sur la route de la finale de l’Europa League, les Basques ont tout de même éjecté des équipes comme Manchester United, Schalke 04 ou le Sporting Portugal. Mercredi, trente-cinq ans après la finale de la Coupe de l’UEFA perdue contre la Juventus, l’objectif consistera à garnir la vitrine d’un titre européen. «Pourvu qu’on puisse leur faire revivre une telle joie à Bucarest», avait imploré Gorka Iraizoz après le match retour contre le Sporting dans un San Mames de braise.

Le gardien fait partie, avec les Andoni Iraola, Iker Muniain, Ander Iturraspe, Markel Susaeta et autre Fernando Llorente, de la nouvelle génération dorée. Les plus forts, à terme ou très bientôt, partiront sans doute pour une contrée plus rémunératrice. En attendant, ils mouillent le maillot comme si c’était pour tout l’or du monde. «Chez nous, arriver en équipe première vaut tout le prestige du monde», raconte Zubizarreta. «Figurez-vous que nos joueurs n’ont le droit de porter notre célèbre maillot rouge et blanc, avec l’écusson du club, que lorsqu’ils arrivent en équipe première. Et ils en rêvent… Quand ils arrivent, ils n’ont aucune envie de l’abandonner. Leur seul souci, c’est de se battre pour l’équipe.»

Comme ils l’ont tous fait depuis la fondation du club en 1898, sous l’influence d’Anglais qui avaient prolongé leur escale. L’Athletic remporte sous l’appellation «Bizkaia» son premier titre en 1902, dans le cadre des festivités du sacre du roi Alfonso XIII: la Copa de la Coronacion, qui deviendra ensuite la Coupe du roi. Une place forte du football espagnol, très forte même, est née. Les Basques comptent vingt-quatre trophées dans cette compétition – ils en viseront un supplémentaire le 25 mai en finale contre Barcelone.

Egalement champion d’Espagne à huit reprises, dont la dernière en 1984 sous la houlette de Javier Clemente, seul club avec le Real et le Barça à n’avoir jamais quitté la Liga depuis sa création en 1928, l’Athletic Bilbao a l’occasion d’ajouter deux pages dorées à sa déjà si riche histoire. Et mercredi soir à Bucarest, si le capitaine Andoni Iraola brandit l’Europa League, cela signifiera beaucoup.

Re: Liga espagnole

Posté : 14.05.2012 09:01
par buffon
Madrid dans l'histoire, Villarreal relégué

Grâce à son succès sur le Real Majorque (4-1) ce dimanche soir, le Real Madrid, sacré champion, a atteint la barre historique des 100 points. Une première dans le Big Four européen. Villarreal, de son côté, accompagnera Gijon et le Racing Santander en deuxième division.

Sacré champion d'Espagne le 2 mai dernier, après sa victoire face à l'Athletic Bilbao (3-0), le Real Madrid ne s'est pas démobilisé. Solides et déterminés, les Merengue ont conclu en beauté l'exercice 2011-2012, marqué par leur probant succès au Camp Nou (2-1) en avril dernier. Après avoir mis un terme à trois ans d'hégémonie catalane, les hommes de José Mourinho se sont appliqués à faire tomber les records. Ce dimanche soir, grâce à leur large succès sur le Real Majorque (4-1), les Madrilènes ont atteint la barre symbolique des cent points. Une prouesse qu'aucune équipe issue des quatre grands Championnats européens (Angleterre, Allemagne, Espagne, Italie) n'était parvenue à réaliser.

Ronaldo, reçu 19 sur 19

Au passage, les Merengue font tomber le record de leur rival barcelonais, qui avait bouclé la saison 2009-2010 avec 99 unités au compteur. Si Karim Benzema (23e) et Mezut Ozil (49e, 58e) se sont illustrés, les louanges vont ce soir à Cristiano Ronaldo (23e). L'attaquant portugais, évincé de la course au Pichichi malgré ses 46 réalisations, est devenu le premier joueur à marquer face à tous ses adversaires sur une saison à 20 clubs. Le Real et le Barça seront accompagnés par Valence, troisième, et Malaga en Ligue des champions la saison prochaine. Les hommes de Manuel Pellegrini se sont assurés la quatrième place grâce à leur victoire sur Gijon (1-0), relégué.

Levante, solide tombeur de l'Athletic Bilbao (3-0), et l'Ateltico Madrid, vainqueur de Villareal (1-0) dans le temps additionnel, disputeront eux la Ligue Europa, remportée cette saison par les Colchoneros. Ce résultat, conjugué aux victoires du Rayo Vallecano (1-0) et du Real Saragosse (2-0), condamne Villarreal, pensionnaire mythique de la Liga, à la seconde division. Malgré son succès sur le Racing Santander (3-2), déjà condamné, Osasuna, septième, échoue lui aux portes de l'Europe. France Football

Re: Liga espagnole

Posté : 22.05.2012 14:27
par nufc
L'entraîneur du Real Madrid José Mourinho renouvelle son contrat pour 4 ans

MADRID - L'entraîneur du Real Madrid José Mourinho a renouvelé son contrat avec le club pour quatre ans, jusqu'au 30 juin 2016, a annoncé mardi le Real Madrid.

Le Real Madrid et José Mourinho sont parvenus à un accord pour le renouvellement du contrat qui lie l'entraîneur au club jusqu'au 30 juin 2016, a indiqué le club dans un communiqué, alors que l'entraîneur portugais achève sa deuxième saison au Real Madrid après avoir remporté le championnat d'Espagne.

(©AFP / 22 mai 2012 14h23)

Re: Liga espagnole

Posté : 07.06.2012 20:11
par buffon
Mercredi soir, on apprenait qu'un accord était intervenu entre Villarreal et Manuel Preciado pour que l'Espagnol devienne le nouvel entraineur du Sous-marin jaune. «L'accord est conclu, et il ne reste plus qu'à signer», précisait le club relégué en deuxième division. Le technicien, qui devait être présenté vendredi, ne signera malheureusement jamais son contrat. Il est en effet décédé dans la nuit de mercredi à jeudi d'un infarctus selon Marca. Il avait 54 ans.

Ancien défenseur du Racing Santander et Majorque, il avait notamment dirigé Santander, Levante, le Real Murcie et le Sporting Gijon entre 2006 et 2012. Il avait fait remonter Gijon en première division lors de sa deuxième saison au club. Il avait été limogé le 31 janvier dernier alors que le club pointait à la 19e place de la Liga. France Football