Munitions: les soldats ne pourront plus les garder à la maison
Les citoyens-soldats suisses ne pourront bientôt plus conserver leur munition militaire à la maison. Par 100 voix contre 72, le Conseil national a soutenu l'interdiction de principe votée par le Conseil des Etats.
Par 97 voix contre 76, le National a en revanche décidé de ne pas donner suite à une initiative parlementaire socialiste demandant qu'en sus des munitions, les fusils d'assaut et autres pistolets d'ordonnance ne puissent plus être conservés à la maison. Les Chambres ont à plusieurs reprises refusé une telle mesure.
Deux exceptions à l'interdiction sur les munitions sont prévues dans la motion de la Chambre des cantons. Les troupes de première intervention (quelque 2000 personnes) ne seront pas concernées, et le Conseil fédéral pourra revoir la donne en fonction de la situation en matière de sécurité. Selon la précision apportée par la commission du National, le gouvernement devrait faire le point au moins une fois par législature.
Dans la foulée, le National a pris acte de quatre pétitions sur le sujet des armes, sans leur donner suite. Il s'agit notamment de celle du magazine féminin "Annabelle", munie de 17'400 signatures, qui demande d'interdire les armes d'ordonnance à domicile et de créer un registre national des armes.
Une des pétitions émane d'un groupe en faveur d'un contrôle efficace des armes, et une autre, déposée lors de la session des jeunes 2006, exige l'interdiction des armes à feu dans les ménages privés. La quatrième va dans le sens inverse: déposée par le journaliste Frank Leutenegger, elle défend le droit de posséder des armes.
(ats / 27 septembre 2007 14:19)
Armée
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nufc
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Trou Duc n'est plus votre chef de batterie. L'année passée j'étais avec vous dans la batterie. J'ai fait Bégnins.nemesis2410 a écrit :De quoi ?? ... Mais tu es dans un m113 non ?... moi je suis transmission spécialiste intaff .. sur un relais..
Je suis soit dans un 113, soit je fais de la rec.
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Ok, tu es encore jeune. Tu ne pars pas dans deux semaines à Gondo. Pas de chance...nemesis2410 a écrit :mdr vu le surnom qu'il avait cela devait être un bel enfoiré.. je ne le connais pas car j'ai fini mon ER en août, l'année prochaine sa sera mon 1er CR ..
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tourbillon1
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purée....
cours de répé en du 14 janvier au 2 février dans les Grisons, à Briggels!!!! minimum 6 heures de train, faut contourner presque tout le pays... altitude similaire à Verbier....
En plus, en tant que Stinger, je vais sûrement être tout le temps dehors... ca fait c****, on va à peine se les geler
cours de répé en du 14 janvier au 2 février dans les Grisons, à Briggels!!!! minimum 6 heures de train, faut contourner presque tout le pays... altitude similaire à Verbier....
En plus, en tant que Stinger, je vais sûrement être tout le temps dehors... ca fait c****, on va à peine se les geler
"disons que booooon...."
t'auras le lötschberg qui sera ouvert à toutes les courses.tourbillon1 a écrit :purée....
cours de répé en du 14 janvier au 2 février dans les Grisons, à Briggels!!!! minimum 6 heures de train, faut contourner presque tout le pays... altitude similaire à Verbier....
En plus, en tant que Stinger, je vais sûrement être tout le temps dehors... ca fait c****, on va à peine se les geler
Ca fait tjrs plus rapide que de passer par Zürich ou même de prendre le BVZ - Gotthardbahn §-)
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
, dans 2 semaines tu seras à Gondo ?? 
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Monsieur Belette
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Ah ah ah pas de bol. Oublie pas ta pelle pour creuser ton trou d'obs. Moi je suis trans, donc dans le bunker chauffé, à relayer les ordres des trouducs-chefs planqués aux pauvres soldats enneigés avec ma 225.tourbillon1 a écrit :purée....
cours de répé en du 14 janvier au 2 février dans les Grisons, à Briggels!!!! minimum 6 heures de train, faut contourner presque tout le pays... altitude similaire à Verbier....
En plus, en tant que Stinger, je vais sûrement être tout le temps dehors... ca fait c****, on va à peine se les geler
...c'est tout.
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Jungfrau: deux guides sont prévenus pour homicides par négligence
Deux guides de montagne sont prévenus de "multiples homicides par négligence" après le drame qui a coûté la vie à six recrues le 12 juillet dernier dans le massif de la Jungfrau (BE). Le juge d'instruction militaire va ouvrir une enquête ordinaire.
L'ouverture d'une telle enquête n'est pas un verdict de culpabilité, a précisé le juge d'instruction du Tribunal militaire 6 Christoph Huber, en charge de l'enquête. La présomption d'innocence vaut totalement pour les deux guides de montagne qui accompagnaient la colonne de recrues. Compte tenu de l'ensemble des preuves, le juge d'instruction a estimé qu'il disposait de suffisamment d'éléments pour lancer la procédure. Il n'exclut pas d'étendre l'enquête à d'autres personnes.
(ats / 04 octobre 2007 14:51)
Deux guides de montagne sont prévenus de "multiples homicides par négligence" après le drame qui a coûté la vie à six recrues le 12 juillet dernier dans le massif de la Jungfrau (BE). Le juge d'instruction militaire va ouvrir une enquête ordinaire.
L'ouverture d'une telle enquête n'est pas un verdict de culpabilité, a précisé le juge d'instruction du Tribunal militaire 6 Christoph Huber, en charge de l'enquête. La présomption d'innocence vaut totalement pour les deux guides de montagne qui accompagnaient la colonne de recrues. Compte tenu de l'ensemble des preuves, le juge d'instruction a estimé qu'il disposait de suffisamment d'éléments pour lancer la procédure. Il n'exclut pas d'étendre l'enquête à d'autres personnes.
(ats / 04 octobre 2007 14:51)
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Jungfrau: une avalanche a causé la chute mortelle des recrues
C'est bien une avalanche qui est à l'origine de la chute mortelle de six recrues, le 12 juillet dans le massif de la Jungfrau. La coulée a "très vraisemblablement" été déclenchée par les militaires eux-mêmes, a indiqué l'Institut fédéral pour l'étude de la neige et des avalanches.
"Un déclenchement par une tierce personne ou par des animaux est tout aussi peu probable que son déclenchement spontané", souligne l'institut (ENA) dans son rapport. Cette conclusion ne contredit pas les déclarations d'un survivant, estime l'institut. Il est "parfaitement possible que le déclenchement de l'avalanche n'ait pas été immédiatement perçu comme tel par les personnes qui se trouvaient à l'arrière".
Le jour de l'accident, le danger d'avalanche était "marqué", selon les experts, avec un degré 3 sur l'échelle européenne en vigueur. L'équipement emporté par la colonne était suffisant, même s'il ne comportait pas d'équipement de secours en cas d'avalanche, comme une pelle, une sonde et un appareil de repérage: dans l'accident en question, ils n'auraient de toutes manières servi à rien, selon l'ENA.
Par ailleurs, le juge d'instruction militaire va ouvrir une enquête ordinaire contre les deux guides de montagne, qui accompagnaient la colonne de recrues. Ils sont prévenus de "multiples homicides par négligence". L'ouverture d'une telle enquête n'est pas un verdict de culpabilité, a précisé le juge d'instruction du Tribunal militaire 6 Christoph Huber, en charge de l'enquête. La présomption d'innocence vaut totalement pour les deux guides.
Compte tenu de l'ensemble des preuves, le juge d'instruction a estimé qu'il disposait de suffisamment d'éléments pour lancer la procédure. Il n'exclut pas d'étendre l'enquête à d'autres personnes, sans toutefois préciser lesquelles.
(ats / 04 octobre 2007 15:08)
C'est bien une avalanche qui est à l'origine de la chute mortelle de six recrues, le 12 juillet dans le massif de la Jungfrau. La coulée a "très vraisemblablement" été déclenchée par les militaires eux-mêmes, a indiqué l'Institut fédéral pour l'étude de la neige et des avalanches.
"Un déclenchement par une tierce personne ou par des animaux est tout aussi peu probable que son déclenchement spontané", souligne l'institut (ENA) dans son rapport. Cette conclusion ne contredit pas les déclarations d'un survivant, estime l'institut. Il est "parfaitement possible que le déclenchement de l'avalanche n'ait pas été immédiatement perçu comme tel par les personnes qui se trouvaient à l'arrière".
Le jour de l'accident, le danger d'avalanche était "marqué", selon les experts, avec un degré 3 sur l'échelle européenne en vigueur. L'équipement emporté par la colonne était suffisant, même s'il ne comportait pas d'équipement de secours en cas d'avalanche, comme une pelle, une sonde et un appareil de repérage: dans l'accident en question, ils n'auraient de toutes manières servi à rien, selon l'ENA.
Par ailleurs, le juge d'instruction militaire va ouvrir une enquête ordinaire contre les deux guides de montagne, qui accompagnaient la colonne de recrues. Ils sont prévenus de "multiples homicides par négligence". L'ouverture d'une telle enquête n'est pas un verdict de culpabilité, a précisé le juge d'instruction du Tribunal militaire 6 Christoph Huber, en charge de l'enquête. La présomption d'innocence vaut totalement pour les deux guides.
Compte tenu de l'ensemble des preuves, le juge d'instruction a estimé qu'il disposait de suffisamment d'éléments pour lancer la procédure. Il n'exclut pas d'étendre l'enquête à d'autres personnes, sans toutefois préciser lesquelles.
(ats / 04 octobre 2007 15:08)
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ZH: le meurtrier de l'arrêt de bus est une recrue - Schmid "choqué"
L'homme qui a abattu une apprentie vendredi à un arrêt de bus à Zurich est un soldat qui vient de terminer l'école de recrue. L'homme de 21 ans portait sa tenue d'assaut et a utilisé son fusil militaire. Le débat sur les armes à la maison est relancé.
Les motifs du tireur et le déroulement du meurtre ne sont pas encore établis. De même, il n'est pas clair si le soldat, qui ne connaissait pas la victime, a tiré volontairement sur elle ou s'il l'a touchée par hasard. Le meurtre est survenu vers 22h15 vendredi soir. L'apprentie coiffeuse, âgée de 16 ans, se trouvait à un abribus de la ligne 80 avec son ami, âgé également de 16 ans, lorsqu'un coup de feu a subitement résonné.
Touchée au haut du corps par une balle, elle est décédée sur place avant l'arrivée des secours. Un témoin a indiqué avoir vu une personne en tenue militaire équipée d'une arme près de l'arrêt de bus peu avant.
Le Suisse de 21 ans d'origine chilienne a pu être arrêté lundi. Il a avoué les faits.
On ne sait pas encore où l'homme s'est procuré sa munition. Depuis cet automne, l'armée ne distribue normalement plus de balles aux soldats qui rentrent chez eux.
Ce nouveau drame démontre une nouvelle fois le danger que représente la large diffusion des armes en Suisse, a-t-elle indiqué après avoir exprimé sa consternation. Le ministre de la défense, Samuel Schmid, actuellement en voyage en Afrique, s'est dit lui "choqué" et a exprimé ses condoléances à la famille de la victime.
Les défenseurs des armes à la maison ont indiqué eux qu'ils n'étaient toujours pas prêts à se remettre en question. Il faut d'abord découvrir où le soldat a obtenu la munition, a dit Werner Gartenmann, directeur adjoint de l'ASIN et membre du groupement de défenseurs de porteurs d'armes "Notwehr jetzt".
Cette association se bat pour que les soldats puissent continuer à emporter de la munition chez eux. M. Gartenmann avait appelé les soldats à refuser de rendre leur munition et de la conserver en un endroit sûr.
(ats / 27 novembre 2007 18:21)
L'homme qui a abattu une apprentie vendredi à un arrêt de bus à Zurich est un soldat qui vient de terminer l'école de recrue. L'homme de 21 ans portait sa tenue d'assaut et a utilisé son fusil militaire. Le débat sur les armes à la maison est relancé.
Les motifs du tireur et le déroulement du meurtre ne sont pas encore établis. De même, il n'est pas clair si le soldat, qui ne connaissait pas la victime, a tiré volontairement sur elle ou s'il l'a touchée par hasard. Le meurtre est survenu vers 22h15 vendredi soir. L'apprentie coiffeuse, âgée de 16 ans, se trouvait à un abribus de la ligne 80 avec son ami, âgé également de 16 ans, lorsqu'un coup de feu a subitement résonné.
Touchée au haut du corps par une balle, elle est décédée sur place avant l'arrivée des secours. Un témoin a indiqué avoir vu une personne en tenue militaire équipée d'une arme près de l'arrêt de bus peu avant.
Le Suisse de 21 ans d'origine chilienne a pu être arrêté lundi. Il a avoué les faits.
On ne sait pas encore où l'homme s'est procuré sa munition. Depuis cet automne, l'armée ne distribue normalement plus de balles aux soldats qui rentrent chez eux.
Ce nouveau drame démontre une nouvelle fois le danger que représente la large diffusion des armes en Suisse, a-t-elle indiqué après avoir exprimé sa consternation. Le ministre de la défense, Samuel Schmid, actuellement en voyage en Afrique, s'est dit lui "choqué" et a exprimé ses condoléances à la famille de la victime.
Les défenseurs des armes à la maison ont indiqué eux qu'ils n'étaient toujours pas prêts à se remettre en question. Il faut d'abord découvrir où le soldat a obtenu la munition, a dit Werner Gartenmann, directeur adjoint de l'ASIN et membre du groupement de défenseurs de porteurs d'armes "Notwehr jetzt".
Cette association se bat pour que les soldats puissent continuer à emporter de la munition chez eux. M. Gartenmann avait appelé les soldats à refuser de rendre leur munition et de la conserver en un endroit sûr.
(ats / 27 novembre 2007 18:21)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
où il a trouvé la munition? ils sont vraiment très naïfs. Il est notoire que qui veut sortir de l'école de recrue avec des munitions y arrive. Alors il faut que les "pro armes à la maison" arrêtent de jouer les cons. De toute évidence les 300 personnes qui meurent chaque année à cause des armes de l'armée ont très peu d'importance pour eux. Jusqu'au jour où qqn de leur famille sera la victime...
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MacGowan
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Qui qui part en cours de répèt ce lundi sur Moudon ??? faut que je fasse mon stock de dames de sion ce weekend.
"We are in France, we speak french" S. Chabal
http://www.ocmrugby.ch
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tourbillon1
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j'ai fait pété mon cours de répé à Briggels du mois de janvier... -
PonPon
