Ja Y'anemesis2410 a écrit :Y'a t'il la possibilité de supprimer l'autre sondage ?
les All blacks --> c'est couru
Coupe du monde de Rugby 2007
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tourbillon1
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Blg Boy
Les Blacks n'ont jamais été aussi dominateurs donc je les mets gagnants et disons que leur entrée en matière plus que fracassante contre l'Italie m'a conforté dans mon idée...
Bon, sinon mon équipe préférée est évidemment la France, elle a raté son entrée en matière mais les jeux ne sont pas faits, loin de là .
Mon Team Canada n'a pas eu à rougir de sa défaite hier à Nantes face aux Gallois, on aura mené 17-9 à 30 mn de la fin !
Mais 30 mn c'est long en rugby... 
Et Sinon je supporte également l'Afrique du Sud, j'ai une longue histoire personnelle avec ce pays que je connais très bien donc allez les Springboks ! j'étais au Parc hier.
Bref, j'aime le rugby autant que le foot donc si vous voulez causer rugby, je suis toujours preneur, les amis.
Bon, sinon mon équipe préférée est évidemment la France, elle a raté son entrée en matière mais les jeux ne sont pas faits, loin de là .
Mon Team Canada n'a pas eu à rougir de sa défaite hier à Nantes face aux Gallois, on aura mené 17-9 à 30 mn de la fin !
Mais 30 mn c'est long en rugby... Et Sinon je supporte également l'Afrique du Sud, j'ai une longue histoire personnelle avec ce pays que je connais très bien donc allez les Springboks ! j'étais au Parc hier.
Bref, j'aime le rugby autant que le foot donc si vous voulez causer rugby, je suis toujours preneur, les amis.
Oh oui!babadoux a écrit :
Ca vous rappelle quelque chose ça?
À fond derrière les Blacks et l' Angleterre!
Dommage par contre que ce joueur a connu des problèmes de santé (greffe du rein, si j'ai bonne mémoire)
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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MacGowan
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La France biensûr ! malgré leur revers face aux Argentins ou plutôt grâce à ce revers, ils seront surmotivés lors des prochains matchs pour remonter dans l'estime du peuple. N'oublions que nous jouons à domicile. (oui, je me sens bcp plus français avec le rugby que pour le foot )
Sinon, l'Irlande ou l'Ecosse mais ce sera dur pour eux.
Les Blacks... bon, ça reste les blacks, prenable mais ça risque d'être dur.
Come on Chabal !
)Sinon, l'Irlande ou l'Ecosse mais ce sera dur pour eux.
Les Blacks... bon, ça reste les blacks, prenable mais ça risque d'être dur.
Come on Chabal !
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tourbillon1
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J'aurais tendance a dire les All black pour leurs immenses qualités et l'ambiance des pubs NZ pendant la coupe du monde.
Mais l'europe réussit bien aux Australiens.
ça va être chaud! va y avoir du spectacle pendant 1 mois et demi!
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пойдите зенит Heja Sverige
In the Bible, Jesus turned water into wine. But then Chuck Norris turned that wine into beer
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XV de France: caméras bannies des vestiaires
Il n'y aura plus de caméras de télévision dans les vestiaires du XV de France pendant les matches de la Coupe du monde. Cette décision a été prise afin de préserver l'intimité des joueurs, a déclaré le sélectionneur Bernard Laporte.
Après la défaite face à l'Argentine en match d'ouverture, plusieurs joueurs s'étaient plaints de l'omniprésence des caméras de télévision et avaient souhaité être davantage à l'abri de la pression médiatique. "C'est une volonté des joueurs", a précisé Bernard Laporte.
"Moi, je n'y fais pas du tout attention mais certains joueurs sont inhibés par la caméra. Ils ont une certaine pudeur et ils se freinent à cause de cela. Si cela peut nuire en termes de performances, il faut dire non. Il y a des moments où l'on veut rester entre nous."
(ats / 14 septembre 2007 12:48)
Il n'y aura plus de caméras de télévision dans les vestiaires du XV de France pendant les matches de la Coupe du monde. Cette décision a été prise afin de préserver l'intimité des joueurs, a déclaré le sélectionneur Bernard Laporte.
Après la défaite face à l'Argentine en match d'ouverture, plusieurs joueurs s'étaient plaints de l'omniprésence des caméras de télévision et avaient souhaité être davantage à l'abri de la pression médiatique. "C'est une volonté des joueurs", a précisé Bernard Laporte.
"Moi, je n'y fais pas du tout attention mais certains joueurs sont inhibés par la caméra. Ils ont une certaine pudeur et ils se freinent à cause de cela. Si cela peut nuire en termes de performances, il faut dire non. Il y a des moments où l'on veut rester entre nous."
(ats / 14 septembre 2007 12:48)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
J'ai voté les blacks (imprésionnant contre l'italie).
Mais je crois qui vaudra se méfier des français qui est certainemant la meilleur equipe d'europe à l'heure actuel et cela malgré la defaite contre l'argentine (bête noiir des français). Il ont d'ailleurs fait un gros match hier. et il ne faut pas oublié qu'en général les français marche bien dans ce genre de compétition surtout quand c'est chez eux.
Mais je crois qui vaudra se méfier des français qui est certainemant la meilleur equipe d'europe à l'heure actuel et cela malgré la defaite contre l'argentine (bête noiir des français). Il ont d'ailleurs fait un gros match hier. et il ne faut pas oublié qu'en général les français marche bien dans ce genre de compétition surtout quand c'est chez eux.
Le fait d'avoir évolué en supériorité numérique les a aidé, non à gagner certes, mais à gagner si largement. Il ne faut pas oublier que le pack namibien devenait particulièrement léger suite à l'expulsion (assez sévère, on a déjà vu se genre de geste sanctionnée par un jaune dans cette même compétition). Déjà qu'il avait de la peine a tenir avant...lenoil a écrit :Il ont d'ailleurs fait un gros match hier
Il n'y a que 10 sortes de personnes: ceux qui comprennent le binaire et les autres.
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MacGowan
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http://www.dailymotion.com/relevance/se ... ancais_fun
Ki ki ose le forcer à parler anglais ? encore un gros match de sa part hier soir, big up à Elissade et Clerc aussi.
Ki ki ose le forcer à parler anglais ?
encore un gros match de sa part hier soir, big up à Elissade et Clerc aussi."We are in France, we speak french" S. Chabal
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MacGowan
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le rouge était peut-être exagéré à première vue mais au ralenti, on peut s'apercevoir qu'il ramasse sec le Chabal. Pas pour rien qu'il est resté quelques secondes au sol.SN a écrit :(assez sévère, on a déjà vu se genre de geste sanctionnée par un jaune dans cette même compétition).
C'est pas du catch non plus, fallait réfléchir avant de le cravatter.
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MacGowan a écrit :http://www.dailymotion.com/relevance/se ... ancais_fun
Ki ki ose le forcer à parler anglais ?
Magnifique Chabaaaaaal ! Fidèle à lui-même
HASTA LA VICTORIA SIEMPRE !
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Têtes à pack
RUGBY. Ils sont les «tronches» du Mondial 2007, cognent et aboient plus fort que les autres. Chabal, Carter, O'Driscoll et Burger partagent, outre la faculté de distraire, celle de changer l'histoire d'un match. Tableaux.
Julien Calloz, Mercredi 19 septembre 2007
Sébastien Chabal, alias «l'anesthésiste»
Il a déjà dû naître mille fois dans l'imagination de Wes Craven ou Tobe Hooper. Avec une goutte d'huile, Sébastien Chabal aurait crevé l'écran dans Massacre à la tronçonneuse. Mais voilà qu'il surgit trois ans plus tard (1977) du cœur de la France, Valence. Car au risque de gâcher l'histoire, autant le dire. Non, Chabal n'est pas né comme ça, peluche rugueuse, testostéronée à chaque couture, veloutée jusque sous les ongles. Le public l'aime ainsi depuis deux mois, voilà tout.
Que n'a-t-on pas encore dit du désormais surmédiatisé Sébastien Chabal? Sur comme en dehors du terrain, c'est connu, l'homme bannit la plaisanterie, ne se démarquant du molosse qu'en camouflant ses canines.
Au sommet de la notoriété
«Si l'on est un peu craint, cela facilite l'ascendant psychologique que l'on peut prendre sur l'adversaire», rappelait-il en avril dernier. En a-t-il vraiment besoin? Deux mois plus tard, à l'occasion d'un test match contre les All Blacks, le Français s'abîme contre Chris Masoe. Quelques jours après, il fracasse la mâchoire du Néo-Zélandais Ali Williams avec le même libre arbitre, s'étonnant presque de l'interlude qui s'ensuit. Selon l'indice de notoriété YouTube, Sébastien Chabal est aujourd'hui au sommet. Les deux tampons administrés au mois de juin se sont classés parmi les trente vidéos de rugby les plus vues de tous les temps sur le site. Le phénomène Chabal s'est construit dans la démolition.
Le troisième ligne français, relégué sur la touche en match d'ouverture contre les Pumas argentins, était aligné d'entrée face à la Namibie. Résultat: deux essais, dont une chevauchée surréaliste jusqu'à l'en-but, porté par le grondement qu'entraîne chacune de ses touches de balles. Prochain orage: vendredi soir contre l'Irlande.
Daniel Carter, alias «l'autocrate»
Il taperait dans un ballon, on l'appellerait Zidane. Et, à vrai dire, même sans roulettes, la comparaison tient toujours. Dan Carter est, de l'avis de tous, le meilleur joueur du monde. Certains disent même de tous les temps. «Prenez quatre des plus grands demis d'ouverture de l'histoire de la Nouvelle-Zélande. Mélangez. Filtrez-en le meilleur. Vous obtiendrez Daniel Carter», prévient le magazine officiel de la Coupe du monde aux intéressés. La plupart n'auront vu que les photos. Plus accrocheuses.
Et pour cause. Lorsque Dan Carter roule ses gros yeux charbon, il est plus irrésistible encore que Knut en Pampers. Même avec du gazon plein les gencives, Carter séduit, entretenant sa gueule de boxeur et ses abdos en forme de bac à glaçons en s'affichant à tous les coins de rue de Christchurch, sa ville d'origine. «C'est surprenant d'entendre toutes ces filles crier mon prénom à la fin des matches», lance-t-il, faussement étonné. La plupart le voient tous les matins en slip à l'heure de prendre le bus. Pas étonnant, dès lors.
Reste qu'au-delà de l'émotion purement visuelle, lorsque s'articulent ces morceaux de chair ragoûtants, le demi d'ouverture néo-zélandais évolue sur une autre planète. Depuis quatre ans en équipe nationale, Carter assure quelque 16 points par match. A la main, des aptitudes déconcertantes lui assurent une distribution déroutante. Au pied, un coup de botte excentrique le porte garant de touches à 80 mètres et de réussite aux 60. Prochaine leçon le 23 septembre à Edimbourg face à l'Ecosse.
Brian O'Driscoll, alias «le passe-muraille»
Bien plus qu'un joueur de rugby. Une icône, Brian O'Driscoll. God. Détournement de ses initiales, BOD. Dépositaire de valeurs nobles comme le don de soi ou la fidélité (il n'a jamais quitté sa province de Leinster malgré les sollicitations étrangères), il est pour beaucoup, at home, une conduite à suivre. Un modèle dont toute l'Irlande du rugby aime à s'inspirer. Or, en terre celte, l'Ovalie vaut bien plus qu'un sport. «Il suffit que l'on me voie boire un verre dans un club un peu tard pour que la presse à scandale se lâche! Ils veulent quoi? J'ai 27 ans!» Et n'a pas acquis sa réputation en avalant des pintes. «Vous savez, on n'entraîne pas Brian: on le laisse jouer et on construit l'équipe autour de lui», analysait voilà presque dix ans John McClean, son éducateur lors de ses années universitaires. La méthode est toujours rentable. Brian O'Driscoll est à part, et cela lui va si bien. Capitaine de toutes les équipes dans lesquelles il évolue (province de Leinster, Irlande, Lions britanniques et irlandais), «passe-muraille» force le respect. Il dégage.
Obstiné et cabochard
Ses agissements sur un terrain, enfin, concluent la sommité. S'il n'en restait qu'un, il serait celui-là. Les chemins parfois suicidaires qu'il emprunte jusqu'à l'en-but, transporté par l'obstination d'un cabochard, le hissent au rang de plus grand trois-quarts centre irlandais de tous les temps. La vitesse, la puissance. Façon pub automobile. Brian O'Driscoll, c'est aussi un produit.
Selon le journaliste Marc Duzan, dans le but de gérer ses affaires commerciales, O'Driscoll se serait associé à son père pour fonder la société OMD Promotions. Bénéfice net de la boîte en 2006: 200000 livres. Brian O'Driscoll, une vraie petite entreprise. Vingt-huit ans de savoir-faire. Pas de concurrence.
Schalk Burger, alias «le bellâtre»
On a la tête qu'on mérite. Le Sud-Africain Schalk Burger porte l'expression sur ses épaules. Coups d'œil boutefeux sous des boucles incandescentes, son faciès tout entier trahit un sale type. Sa bouche de môme devient véreuse lorsqu'on l'associe avec le haut et son regard fuyant. Partisan des vilains coups, la blessure qui faillit lui coûter sa carrière en 2005 (traumatisme aux vertèbres cervicales) n'a jamais entamé son enthousiasme pour la baston. Reste qu'il est doué. Un sale type, vraiment.
Elu meilleur rugbyman du monde en 2004, Burger a risqué sa carrière le 17 juin de l'an passé, à l'issue d'un test-match contre l'Ecosse. Grièvement blessé, les spécialistes ne le croyaient plus capable de cogner comme avant. Certains pensaient même ne jamais le revoir. Mais Schalk Burger n'allait pas rater la jouissance d'un retour aux affaires. Quelque six mois plus tard, toujours vulnérable - il le restera toute sa vie - sa tignasse blonde rampait à nouveau sous les crampons. Sans compassion pour sa personne, pourquoi en aurait-il pour celles des autres?
Inarrêtable une fois lancé
Lors de l'entrée en compétition des Springboks, mardi dernier à Paris, Burger porte une agression sur le Samoan Polu. Verdict: quatre matches de suspension (sanction réduite à deux confrontations). «J'étais choqué de la suspension», rapportait son coach Jake White. «On vous dit à une heure du matin, après une audition, que vous perdez un joueur comme Schalk Burger, ce n'est pas quelque chose que vous acceptez sans broncher.» Troisième ligne de devoir, les plaquages du bellâtre ne tournent pas toujours en règlements de comptes. Une fois sur orbite, Schalk Burger ne connaît que très peu de contradicteurs. «Il est capable de franchir n'importe quel rideau défensif», dit de lui son entraîneur. Rentrée annoncée: le 30 septembre face aux Etats-Unis.
[Le Temps 2007]
RUGBY. Ils sont les «tronches» du Mondial 2007, cognent et aboient plus fort que les autres. Chabal, Carter, O'Driscoll et Burger partagent, outre la faculté de distraire, celle de changer l'histoire d'un match. Tableaux.
Julien Calloz, Mercredi 19 septembre 2007
Sébastien Chabal, alias «l'anesthésiste»
Il a déjà dû naître mille fois dans l'imagination de Wes Craven ou Tobe Hooper. Avec une goutte d'huile, Sébastien Chabal aurait crevé l'écran dans Massacre à la tronçonneuse. Mais voilà qu'il surgit trois ans plus tard (1977) du cœur de la France, Valence. Car au risque de gâcher l'histoire, autant le dire. Non, Chabal n'est pas né comme ça, peluche rugueuse, testostéronée à chaque couture, veloutée jusque sous les ongles. Le public l'aime ainsi depuis deux mois, voilà tout.
Que n'a-t-on pas encore dit du désormais surmédiatisé Sébastien Chabal? Sur comme en dehors du terrain, c'est connu, l'homme bannit la plaisanterie, ne se démarquant du molosse qu'en camouflant ses canines.
Au sommet de la notoriété
«Si l'on est un peu craint, cela facilite l'ascendant psychologique que l'on peut prendre sur l'adversaire», rappelait-il en avril dernier. En a-t-il vraiment besoin? Deux mois plus tard, à l'occasion d'un test match contre les All Blacks, le Français s'abîme contre Chris Masoe. Quelques jours après, il fracasse la mâchoire du Néo-Zélandais Ali Williams avec le même libre arbitre, s'étonnant presque de l'interlude qui s'ensuit. Selon l'indice de notoriété YouTube, Sébastien Chabal est aujourd'hui au sommet. Les deux tampons administrés au mois de juin se sont classés parmi les trente vidéos de rugby les plus vues de tous les temps sur le site. Le phénomène Chabal s'est construit dans la démolition.
Le troisième ligne français, relégué sur la touche en match d'ouverture contre les Pumas argentins, était aligné d'entrée face à la Namibie. Résultat: deux essais, dont une chevauchée surréaliste jusqu'à l'en-but, porté par le grondement qu'entraîne chacune de ses touches de balles. Prochain orage: vendredi soir contre l'Irlande.
Daniel Carter, alias «l'autocrate»
Il taperait dans un ballon, on l'appellerait Zidane. Et, à vrai dire, même sans roulettes, la comparaison tient toujours. Dan Carter est, de l'avis de tous, le meilleur joueur du monde. Certains disent même de tous les temps. «Prenez quatre des plus grands demis d'ouverture de l'histoire de la Nouvelle-Zélande. Mélangez. Filtrez-en le meilleur. Vous obtiendrez Daniel Carter», prévient le magazine officiel de la Coupe du monde aux intéressés. La plupart n'auront vu que les photos. Plus accrocheuses.
Et pour cause. Lorsque Dan Carter roule ses gros yeux charbon, il est plus irrésistible encore que Knut en Pampers. Même avec du gazon plein les gencives, Carter séduit, entretenant sa gueule de boxeur et ses abdos en forme de bac à glaçons en s'affichant à tous les coins de rue de Christchurch, sa ville d'origine. «C'est surprenant d'entendre toutes ces filles crier mon prénom à la fin des matches», lance-t-il, faussement étonné. La plupart le voient tous les matins en slip à l'heure de prendre le bus. Pas étonnant, dès lors.
Reste qu'au-delà de l'émotion purement visuelle, lorsque s'articulent ces morceaux de chair ragoûtants, le demi d'ouverture néo-zélandais évolue sur une autre planète. Depuis quatre ans en équipe nationale, Carter assure quelque 16 points par match. A la main, des aptitudes déconcertantes lui assurent une distribution déroutante. Au pied, un coup de botte excentrique le porte garant de touches à 80 mètres et de réussite aux 60. Prochaine leçon le 23 septembre à Edimbourg face à l'Ecosse.
Brian O'Driscoll, alias «le passe-muraille»
Bien plus qu'un joueur de rugby. Une icône, Brian O'Driscoll. God. Détournement de ses initiales, BOD. Dépositaire de valeurs nobles comme le don de soi ou la fidélité (il n'a jamais quitté sa province de Leinster malgré les sollicitations étrangères), il est pour beaucoup, at home, une conduite à suivre. Un modèle dont toute l'Irlande du rugby aime à s'inspirer. Or, en terre celte, l'Ovalie vaut bien plus qu'un sport. «Il suffit que l'on me voie boire un verre dans un club un peu tard pour que la presse à scandale se lâche! Ils veulent quoi? J'ai 27 ans!» Et n'a pas acquis sa réputation en avalant des pintes. «Vous savez, on n'entraîne pas Brian: on le laisse jouer et on construit l'équipe autour de lui», analysait voilà presque dix ans John McClean, son éducateur lors de ses années universitaires. La méthode est toujours rentable. Brian O'Driscoll est à part, et cela lui va si bien. Capitaine de toutes les équipes dans lesquelles il évolue (province de Leinster, Irlande, Lions britanniques et irlandais), «passe-muraille» force le respect. Il dégage.
Obstiné et cabochard
Ses agissements sur un terrain, enfin, concluent la sommité. S'il n'en restait qu'un, il serait celui-là. Les chemins parfois suicidaires qu'il emprunte jusqu'à l'en-but, transporté par l'obstination d'un cabochard, le hissent au rang de plus grand trois-quarts centre irlandais de tous les temps. La vitesse, la puissance. Façon pub automobile. Brian O'Driscoll, c'est aussi un produit.
Selon le journaliste Marc Duzan, dans le but de gérer ses affaires commerciales, O'Driscoll se serait associé à son père pour fonder la société OMD Promotions. Bénéfice net de la boîte en 2006: 200000 livres. Brian O'Driscoll, une vraie petite entreprise. Vingt-huit ans de savoir-faire. Pas de concurrence.
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On a la tête qu'on mérite. Le Sud-Africain Schalk Burger porte l'expression sur ses épaules. Coups d'œil boutefeux sous des boucles incandescentes, son faciès tout entier trahit un sale type. Sa bouche de môme devient véreuse lorsqu'on l'associe avec le haut et son regard fuyant. Partisan des vilains coups, la blessure qui faillit lui coûter sa carrière en 2005 (traumatisme aux vertèbres cervicales) n'a jamais entamé son enthousiasme pour la baston. Reste qu'il est doué. Un sale type, vraiment.
Elu meilleur rugbyman du monde en 2004, Burger a risqué sa carrière le 17 juin de l'an passé, à l'issue d'un test-match contre l'Ecosse. Grièvement blessé, les spécialistes ne le croyaient plus capable de cogner comme avant. Certains pensaient même ne jamais le revoir. Mais Schalk Burger n'allait pas rater la jouissance d'un retour aux affaires. Quelque six mois plus tard, toujours vulnérable - il le restera toute sa vie - sa tignasse blonde rampait à nouveau sous les crampons. Sans compassion pour sa personne, pourquoi en aurait-il pour celles des autres?
Inarrêtable une fois lancé
Lors de l'entrée en compétition des Springboks, mardi dernier à Paris, Burger porte une agression sur le Samoan Polu. Verdict: quatre matches de suspension (sanction réduite à deux confrontations). «J'étais choqué de la suspension», rapportait son coach Jake White. «On vous dit à une heure du matin, après une audition, que vous perdez un joueur comme Schalk Burger, ce n'est pas quelque chose que vous acceptez sans broncher.» Troisième ligne de devoir, les plaquages du bellâtre ne tournent pas toujours en règlements de comptes. Une fois sur orbite, Schalk Burger ne connaît que très peu de contradicteurs. «Il est capable de franchir n'importe quel rideau défensif», dit de lui son entraîneur. Rentrée annoncée: le 30 septembre face aux Etats-Unis.
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Iles fidji : 846 085 hab.Blg Boy a écrit :Revanche des polynésiens sur les Brits : Fiji-Galles: 38-34Grizzli a écrit :Importantissime victoire des Anglais face aux Tonga 36-20!
Les Fiji en quart, le Pays de Galles éliminé !
Ce fut un match énormissime à Nantes ! chapeau aux 2 équipes.
et ils sont dans les 8 meilleures équipes mondiales de rugby!
Preuve qu'ils ont d'énormes capacité rugbystiques ces fidjiens!
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)