The victorious sides from those 17 ties join the champions from the associations ranked (13 to 15 in the third qualifying round, with the winners of those ten pairings reaching the play-off round."
Best-placed Path: The third-placed side from the sixth-ranked member association, plus the runners-up from the associations ranked 7 to 15, start the competition in the third qualifying round.
Donc on est d'accord pour Zurich et YB (la Suisse 15eme au classement UEFA).
The titleholders and ten clubs eliminated from the UEFA Champions League play-off round qualify automatically for the group stage.
>> Donc Zurich et YB peuvent être repêchés directement en phase de poules de l'Europa League. Au pire, ils seront aux tours préliminaires de l'Europa League puisque :
The winners of these 35 ties are joined in the play-off round by the 15 losing teams from the UEFA Champions League third qualifying round.
The winners of those 25 ties are joined in the second qualifying round by the(...) fourth-placed sides from the associations ranked 10 to 15 and the fifth-placed sides from the associations ranked 7 to 9. These ties are also played over two legs, home and away.
>> Grasshopper a fini quatrième non ? Puis au tour suivant :
the third-placed league side from the associations ranked 10 to 15
Donc Bâle.
Also entering the competition at this stage are the domestic cup winners from the associations ranked 1 to 15,
Sion, au dernier tour préliminaire avant les poules.
Alors donc ? Je m'étonne, parce que je n'ai vu aucun site parler de tout ça, notamment de l'importance du dernier Bâle-YB. Pourtant c'est le site officiel de l'UEFA, et c'est bien écrit "2009-2010".
C'est le classement de 2008 pour 2009-2010. (Pour éviter que l'on sache pour certains pays le nombre de place UEFA au mois de juin seulement). Cela a toujours été ainsi et est absolument clair.
L'an prochain le 2e ira en éliminatoire de la Ligue des Champions.
Il n'y a que 10 sortes de personnes: ceux qui comprennent le binaire et les autres.
L’efficace traque virtuelle des fans fauteurs de troubles
Par Albertine Bourget
Après Lucerne et Saint-Gall, Berne: la police utilise Internet pour rechercher les coupables d’échauffourées. Réactions contrastées
Ils étaient onze, ils sont encore sept. A l’heure où nous imprimons ces pages, les photos d’une femme et de six – jeunes – hommes restaient visibles sur le site de la police cantonale bernoise. Des visages flous, nimbés de l’aura rouge des fumigènes, mais clairement identifiables. C’est le but.
Suite aux échauffourées ayant entouré la finale de la Coupe de Suisse à Berne le 20 mai dernier, la police, avec l’aval des services de juges d’instruction III Berne-Mittelland, a posté le 29 mai des images de «personnes ayant commis des délits présumés graves avant, pendant et après» la finale de la Coupe de Suisse de football. Définition vague, qui inclut l’allumage de fumigènes dans le stade et la participation aux violences.
Pas des hooligans
La méthode s’avère plutôt efficace: les clichés, issus de vidéos de surveillance de la police, du Stade de Suisse et des CFF, mais aussi transmis par des particuliers, ont très vite donné lieu à des indications du public. Surtout, quatre des fauteurs de troubles présumés – la police se refuse à parler de hooligans – se sont présentés d’eux-mêmes au poste. Les fans identifiés ont vu leur photo retirée du site de la police. Mais pas de celui de la Berner Zeitung…
Les cantons de Saint-Gall, en janvier dernier, et de Lucerne en 2007 et au début mai s’étaient déjà réclamés de l’article 71 du code de procédure pénale pour se servir de la Toile comme mode d’identification de fautifs présumés dans le cadre du football, avec des résultats similaires.
Pour Berne, c’est une première. Le porte-parole de la police cantonale bernoise, Jürg Mosimann: «Nous avons déjà utilisé le Net pour rechercher des acteurs de délit présumés, mais encore jamais pour un match de foot. Pourquoi maintenant? Parce que c’était aussi la première fois que la confrontation était si massive! Elle s’est notamment tenue dans la gare, avec des passants qui n’avaient rien demandé et pour lesquels la situation était très dangereuse. Cette fois, on s’est dit, ça suffit.»
Fortes critiques
La décision des autorités a donné lieu, assure le porte-parole, à de nombreuses réactions positives de la population. Mais aussi à de fortes critiques. Les détracteurs ont notamment voulu savoir si l’usage de produits pyrotechniques était vraiment un acte punissable grave, rappelant que les fumigènes étaient d’usage lors de célébrations comme celle du 1er août. «Ce n’est pas comparable, rétorque Jürg Mosimann. Les torches incriminées, de par leur taille et l’impossibilité de s’enfuir en cas d’urgence au sein d’un stade, représentent un très gros danger potentiel.»
«Digne du Moyen Age»
Peu après la finale opposant les Young Boys de Berne au FC Sion, le conseiller fédéral Ueli Maurer avait fait part de sa volonté de durcir les sanctions contre les auteurs de violence dans les stades et au dehors (LT du 26.05.09). Le ministre UDC des Sports avait également réclamé que l’identité des fauteurs de troubles soit révélée sur Internet.
Des propos qui ont fait bondir le préposé zurichois à la protection des données, Bruno Baeriswyl. «La présomption d’innocence ne s’arrête pas aux portes d’un stade», a-t-il notamment réagi dans les colonnes de la NZZ am Sonntag, avant d’évoquer des méthodes de délation douteuses, «dignes du Moyen Age».
«Les images sont extraites de films, sur lesquelles on voit très bien ce que font les personnes recherchées et leur rôle dans les échauffourées», justifie Jürg Mosimann. Il rappelle par ailleurs que plusieurs concernés, dont les photos n’ont pas été publiées, ont pu être identifiés car ils étaient déjà connus des services de police bernois. «Mais nous savons que des Valaisans sont également concernés, et nous travaillons avec la police valaisanne», indique-t-il.
Un moyen supplémentaire
Ce jeudi ou les jours suivants, elle devrait publier d’autres clichés concernant le même match. «Et nous le referons pour d’autres si nécessaire. C’est simplement un moyen supplémentaire de retrouver les fautifs. On ne peut pas admettre qu’ils s’en sortent sans aucune sanction.» Le débat est loin d’être clos; l’exécutif bernois entend donner des limites claires à l’utilisation de la vidéosurveillance dans les lieux publics, qui deviendra effective le 1er juillet prochain.
[Le Temps 2009]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Le supporter: un client de la société sportive de marché
Par Christophe Jaccoud et Dominique Malatesta,
Christophe Jaccoud et Dominique Malatesta, professeurs respectivement à l’Université de Neuchâtel et à la Haute Ecole de travail social, dévoilent ce que contient la violence dans les stades.
Le stade a constitué, des décennies durant, l’un des emblèmes d’une géographie de la paix sociale. Il ressemble aujourd’hui à une bulle de violence. Cette dégradation de la pax sportiva n’est d’ailleurs pas restée sans effet en Suisse, où l’on a adopté, le 1er janvier 2007, une loi fédérale dite «anti-hooligan»: loi sévère inspirée des dispositifs ayant généralement cours en Europe, ayant à ce titre le bon format juridique pour améliorer les actions ponctuelles mises en œuvre au cours des années précédentes.
Fait singulier toutefois: malgré le durcissement de la loi et de l’action policière, la violence ne fait qu’augmenter depuis le milieu des années 2000. Un tel paradoxe, récemment formulé par le directeur de la Swiss Football League lui-même, amène à émettre trois hypothèses qui, si elles ne permettent pas de proposer une analyse définitive des rapports qui ordonnent la configuration sport, violence et société, autorisent tout de même à identifier ce qui rend difficile une gouvernance cohérente de la sécurité dans et autour des enceintes sportives.
La première renvoie à la faible implication morale des responsables des clubs face à la violence appréhendée selon une théorie du reflet dans laquelle le spectacle sportif ne fait que refléter les malheurs du monde. Dans cette perspective qui peine à penser le sport comme un lieu de production autochtone de mauvais comportements, nul ne songe à s’émouvoir des déclarations belliqueuses d’avant-finale de Coupe suisse d’un propriétaire d’équipe dont tout porte à croire qu’elles sont essentielles dans la production des passions délétères et dans la croyance à l’appartenance à des collectifs stigmatisés.
La deuxième renvoie à d’importants changements intervenus dans la socioéconomie du football, qui se caractérisent par le passage d’une «vieille» économie stationnaire à une économie du mouvement et des flux. Cette situation rend désormais plus âpre la concurrence entre les clubs pour la captation des ressources de toute nature, mais aussi pour l’acquisition d’une grandeur qui s’alimente à deux exigences: a) à la possession d’un contingent de supporters dont l’exhibitionnisme émotionnel chemine sur une ligne de crête entre bonheur partisan, fierté groupale et violence débridée, et dont la fidélisation peut aller jusqu’à des connivences malsaines (cf. la récente affaire impliquant le chef de la sécurité des Grasshoppers, organisateur de parties fines avec des hooligans); b) à une reformulation mercantile des appartenances aux clubs qui ne concerne plus la valorisation d’une représentativité locale, mais bien davantage la diffusion d’objets de consommation qui produisent, à l’intérieur d’un imaginaire commercial, des enracinements fictifs. Dans ces termes, et ainsi que l’a montré le philosophe Robert Redeker, les clubs, à travers le petit capitalisme des maillots et des drapeaux, contribuent à fabriquer en masse des supporters et des engagements fanatiques qui sont un produit du marché et non une production de la vie.
La troisième est à rechercher à l’intérieur même des théories des experts de la violence – universitaires et journalistes. Leurs analyses relativisent la teneur de comportements qui font pourtant du stade l’espace ouvert d’expressions extrémistes. Elles sont captives d’un modèle de perception de la réalité qui relève d’une idéologie du sport fondée sur le principe d’un idéal social et anthropologique.
Quatre croyances structurent une telle idéologie. La première est que le sport engage par nature les émotions. Il relève d’un acte d’association en mesure de produire une communauté. Le sport constitue alors l’un des derniers lieux réunissant des hommes. Deuxièmement, le sport répond à des processus à la fois antagonistes et complémentaires comme l’ordre et le désordre, la raison et la passion, le moral et l’immoral. Il fonctionne comme soupape de sécurité, stabilisant les économies psychiques, y compris au travers de la violence. Troisièmement, il est dans la nature de l’homme et du genre masculin d’éprouver le besoin d’émotions positives liées à la reconnaissance de son identité tant singulière que collective. Le supportérisme sportif est l’une des sources les plus puissantes de cette reconnaissance d’une identité groupale. Enfin, le supportérisme engagé, même s’il dérape parfois, demeure une activité positive, vectrice de socialisation juvénile, articulée sur une «passion ordinaire», sur le désir de vivre des expériences conflictuelles et transgressives. Elle est alors un composant nécessaire de l’expérience individuelle autant que de l’action collective.
Sans nier qu’il puisse exister un idéal du sport, bien des arguments donnent à penser que le football a perdu la valeur édificatrice que des auteurs comme Norbert Eschmann ont pu louer, ou que les adeptes des théories philopartisanes se proposent de défendre. Jadis spectacle d’hommes attirant les regards d’autres hommes rassemblés par le charme du jeu et des habiletés, il se présente désormais dans les atours du marché. Le supportérisme s’est à son tour calé sur une évolution dont on peut dire qu’elle a conduit à empiler tradition ancienne (sociabilité masculine, loisirs genrés et populaires) et tradition nouvelle (identification hargneuse aux clubs, aux marques, aux styles de vie), pour faire alors de beaucoup de supporters ce qu’ils sont aujourd’hui: les clients de la société sportive de marché, consommateurs de virilité, de violence, d’écharpes et de casquettes. De cette nouvelle condition des supporters rend compte l’expansion de formes d’aliénation collective qui amènent certaines populations juvéniles à adhérer, via la passion, l’émotion et la violence, à des socialités régressives et inacceptables.
[Le Temps 2009]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
ça me fait peur quand même ces histoires! Bientôt.. On ne pourra plus lever une bouteille de blanc en l'air en chantant pour notre club préféré, de peur que l'on soit filmé et que la police pense que l'on menace du monde..
Sur ces photos, je ne vois pas de personnes qui font de mal en tout cas coté Valaisan?
J'ai une toute autre question? Quel a été la sanction pour YB pour l'agression sur l'arbitre Laperrière? Du briquet lancé? §-) Je n'ai pas eu de nouvelle?
Hop Sion
Bastoon1 a écrit :J'ai une toute autre question? Quel a été la sanction pour YB pour l'agression sur l'arbitre Laperrière? Du briquet lancé? §-) Je n'ai pas eu de nouvelle?
Hop Sion
il ne me semble pas que ce sujet ai été repris par le média..donc il y a peut être eu une sanction, mais tout c'est (je pense) déroulé dans l'annonima.
Peut être que le lanceur n'a même pas était identifié..
Une jolie définition de ce qu'on appelle le foot-business :
à une reformulation mercantile des appartenances aux clubs qui ne concerne plus la valorisation d’une représentativité locale, mais bien davantage la diffusion d’objets de consommation qui produisent, à l’intérieur d’un imaginaire commercial, des enracinements fictifs.
Sans créer un nouveau topic, pris sur le site officiel :
"Le joueur valaisan du FC Sion Didier Crettenand jouera samedi à 19h15 un match de gala au profit des associations G4 Ultimate Dream défendue par Luis Figo. Au Stade de Genève, le Boverion évoluera parmi des stars planétaires du football tels que Cristiano Ronaldo, Ronaldinho, Cristian Vieri et bien d'autres. Les deux formations qui s'affronteront seront notamment coachées par José Mourinho et Fabio Queiroz pour l'équipe de Figo, par Fabio Capello et Giovanni Trappatoni pour l'équipe G4."
Bastoon1 a écrit :J'ai une toute autre question? Quel a été la sanction pour YB pour l'agression sur l'arbitre Laperrière? Du briquet lancé? §-) Je n'ai pas eu de nouvelle?
Hop Sion
il ne me semble pas que ce sujet ai été repris par le média..donc il y a peut être eu une sanction, mais tout c'est (je pense) déroulé dans l'annonima.
Peut être que le lanceur n'a même pas était identifié..
voilà il y a du nouveau, YB a reçu une amende de 30'000.- !!
il vaut cher le briquet la!
Valesgo a écrit :Sans créer un nouveau topic, pris sur le site officiel :
"Le joueur valaisan du FC Sion Didier Crettenand jouera samedi à 19h15 un match de gala au profit des associations G4 Ultimate Dream défendue par Luis Figo. Au Stade de Genève, le Boverion évoluera parmi des stars planétaires du football tels que Cristiano Ronaldo, Ronaldinho, Cristian Vieri et bien d'autres. Les deux formations qui s'affronteront seront notamment coachées par José Mourinho et Fabio Queiroz pour l'équipe de Figo, par Fabio Capello et Giovanni Trappatoni pour l'équipe G4."
Beau cadeau pour notre jeune Bovernion.
cool, c'est sympa pour lui! chouette récompense pour le travaille qu'il a effectué ces derniers temps!
Il n'y pas eu de surprise lors de l'Assemblée des délégués de l'Association Suisse de Football (ASF) qui s'est tenue samedi à Berne. Actuel secrétaire général de l'ASF, Peter Gilliéron a été porté à la présidence.
Peter Gilliéron succède à Ralf Zloczower qui occupait cette fonction depuis 2001. Il est devenu le 33e président de l'ASF. Il a recueilli 80 voix contre 20 à son rival malheureux, l'ancien patron des CFF Benedikt Weibel.
Agé de 56 ans, Peter Gilliéron, qui a vécu en Italie jusqu'à ses treize ans, oeuvre à l'ASF depuis 1993. Soutenu à la fois par la Ligue Amateur, qui l'a présenté à cette élection, et par la 1ère ligue, le juriste bernois était le grandissime favori de cette élection. Benedikt Weibel, le candidat de la Swiss Football League (SFL), s'est déclaré sans doute trop tardivement.
"J'entends poursuivre dans un autre rôle et dans une autre fonction mon activité au sein de l'ASF, lâchait Peter Gilliéron au moment de s'adresser une dernière fois aux délégués avant le vote. Je crois connaître très bien le football suisse à tous les niveaux". Les délégués l'ont manifestement entendu. Sa victoire dans les urnes fut, en effet, écrasante.
(ats / 13 juin 2009 13:14)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
On se fout de nous... on nous propose un sondage sur le site de l'ASF pour élire le meilleur joueur de la saison. On a 4 choix, deux gars de Zurich : Abdi et Hassli, Doumbia et Sermeter.
Le Lausanne-Sport perd 2 espoirs. Alexandre Pasche et Adriano De Pierro (tous deux 18 ans) se sont engagés avec les young boys pour respectivement trois et quatre ans. Les deux hommes évoluent ensemble sous le maillot de l'équipe de suisse des M18.
C'est bien on mise sur des jeunes talents, ça va finir par payer un jour
tsr.ch a écrit :Bâle et Ivan Ergic, la fin d'une belle histoire
16.06.2009 17:10
Le FC Bâle n'a pas proposé de nouveau contrat à Ivan Ergic. [Keystone]
L'histoire d'amour entre le FC Bâle et Ivan Ergic est terminée. Le club rhénan n'a pas proposé de nouveau contrat à l'international australien d'origine serbe qui évoluait depuis neuf ans sous le maillot bâlois.
Un chapitre de l'histoire du FC Bâle va se fermer: le club rhénan n'a pas proposé de nouveau contrat à son milieu de terrain Ivan Ergic (28 ans), qui évolue au Parc St-Jacques depuis la saison 1999/2000 et qui a inscrit 49 buts en 282 matches. Ergic a fêté huit trophées avec le FCB.
Par ailleurs, Bâle a prêté pour un an son jeune gardien Yann Sommer (21 ans) à Grasshopper. Massimo Colomba, gardien numéro deux à GC, effectue le chemin inverse et a signé un contrat de trois ans à Bâle, où il sera la doublure de Franco Costanza.
Derdiyok définitivement à Leverkusen
Enfin, tout est désormais en ordre concernant le transfert d'Eren Derdiyok (20 ans) au Bayer Leverkusen. Les dernières formalités ont été réglées. Le FCB devrait recevoir entre 4 et 5 millions d'euros (entre 6 et 7,5 millions de francs) pour le transfert de l'attaquant, qui a signé pour quatre ans avec le club de Bundesliga.
Enfin, le nouvel entraîneur allemand de Bâle, Thorsten Fink, sera assisté sur le banc rhénan par son compatriote Heiko Vogel.
Stomp a écrit :Est-ce que quelqu'un sait quand le calendrier de la nouvelle saison va sortir. Parce que le championnat commence dans 3 semaines et demi!!
Je me pose aussi cette question ! Surtout que le premier match pour Sion risque d'être déjà le 8 juillet, (match entre le vainqueur de la Coupe et le Champion) soit dans 3 semaines seulement !
Les contraintes doivent être nombreuses, entre les désidératas de chaque équipe, les calendriers internationaux (C1, C2, équipes nationales), les impératifs du calendrier local, etc...
Par exemple, si le Mont s/Lausanne joue à Tourbillon, j'imagine qu'il faudra tenir compte de certains éléments !
jeje-fcsion a écrit :Et voila Bellinzone va construire son nouveau stade comme Lucerne ... quand est-ce-que ça sera notre tour ?
Jamais ? .... ?
Notre ultime chance c'est que je gagne le prochain jackpot à l'euromillions et que je paie un architecte pour faire un stade de 20'000 places sans magasins autours, avec un parking en dur sur plusieurs étages. Le tout avec une sono digne d'une golfe tunée.
Sinon on peut faire une initiative cantonale pour créer une loi qui dit que les communes et les présidents d'associations sont obligés de s'entendre pour la création des infrastructures sportives si cela est nécessaire...
A MéDITER
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017 CONSTANTIN DEMISSION
super coup franc de costanzo et quelle ambiance du côté de st-gall ça va changer de vaduz mais les déplacements à st-gall risque d'être périlleuse et pas mal d'équipe vont perdre des plumes.
Bientôt.. On ne pourra plus lever une bouteille de blanc en l'air en chantant pour notre club préféré, de peur que l'on soit filmé et que la police pense que l'on menace du monde.. 
§-) Je n'ai pas eu de nouvelle?
n'a même pas était identifié..
