Le Besiktas de Mattias Delgado et d'Edouard Cissé (ex-PSG) commencent le championnat ce week-end.
Peut-être un petit avantage à ce niveau mais bon....
La pression sera sur le camp turc...
Zürich (UEFA Champions League 2007/08)
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Finsarello
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Football: le FC Zurich défie Besiktas en Ligue des Champions
Après les Grasshoppers, Bâle et Thoune, le FC Zurich sera-t-il le quatrième club suisse à disputer la Ligue des Champions ? Cette compétition est bien l'objet de tous les fantasmes avec son jackpot de 7,5 millions de francs.
Une grande partie de la réponse à cette question sera donnée ce mercredi à l'issue du match aller au Hardturm entre le FCZ et le Besiktas Istanbul. C'est bien devant son public que la formation de Bernard Challandes doit gagner sa qualification. Un tout autre résultat qu'une victoire sera rédhibitoire. Gagner à Istanbul dans une ambiance trop souvent fanatique relève, d'une part, de l'utopie. D'autre part, le FCZ ne pourra plus compter au match retour sur les services de Steve Von Bergen. Il est acquis que le défenseur neuchâtelois livrera mercredi son dernier match avec le FCZ avant de signer un contrat de trois ans avec le Hertha Berlin pour un transfert chiffré, selon "Kicker online", à 1,5 million d'euros.
La présence de Raffael à Istanbul est également incertaine. Hertha et Lucien Favre sont prêts à offrir plus de six millions d'euros pour finaliser le transfert du Brésilien. "Je suis tout de même étonné que le FCZ soit le seul club en Europe qui possède dans son effectif des joueurs susceptibles d'aider le Hertha Berlin", lâche Ancillo Canepa. Le président du FCZ n'hésite pas à soulever la question de la loyauté de Lucien Favre envers son ancien club.
L'ambiance est bien plus paisible dans le camp du Besiktas. Le club d'Istanbul a entamé victorieusement son championnat en battant 1-0 Konyaspor. Auteur du but victorieux samedi, le Brésilien Bobo est la nouvelle attraction du club. Il a été, en effet, le grand artisan de la qualification au deuxième tour préliminaire en inscrivant un doublé à Tiraspol. Observateur attentif de ce match retour en Moldavie, Bernard Challandes a pu mesurer tout le potentiel du Besiktas, où évolue l'ancien stratège du FC Bâle Matias Delgado. "C'est une équipe très dangereuse si on la laisse jouer", souligne le technicien neuchâtelois.
(ats / 14 août 2007 15:48)
Après les Grasshoppers, Bâle et Thoune, le FC Zurich sera-t-il le quatrième club suisse à disputer la Ligue des Champions ? Cette compétition est bien l'objet de tous les fantasmes avec son jackpot de 7,5 millions de francs.
Une grande partie de la réponse à cette question sera donnée ce mercredi à l'issue du match aller au Hardturm entre le FCZ et le Besiktas Istanbul. C'est bien devant son public que la formation de Bernard Challandes doit gagner sa qualification. Un tout autre résultat qu'une victoire sera rédhibitoire. Gagner à Istanbul dans une ambiance trop souvent fanatique relève, d'une part, de l'utopie. D'autre part, le FCZ ne pourra plus compter au match retour sur les services de Steve Von Bergen. Il est acquis que le défenseur neuchâtelois livrera mercredi son dernier match avec le FCZ avant de signer un contrat de trois ans avec le Hertha Berlin pour un transfert chiffré, selon "Kicker online", à 1,5 million d'euros.
La présence de Raffael à Istanbul est également incertaine. Hertha et Lucien Favre sont prêts à offrir plus de six millions d'euros pour finaliser le transfert du Brésilien. "Je suis tout de même étonné que le FCZ soit le seul club en Europe qui possède dans son effectif des joueurs susceptibles d'aider le Hertha Berlin", lâche Ancillo Canepa. Le président du FCZ n'hésite pas à soulever la question de la loyauté de Lucien Favre envers son ancien club.
L'ambiance est bien plus paisible dans le camp du Besiktas. Le club d'Istanbul a entamé victorieusement son championnat en battant 1-0 Konyaspor. Auteur du but victorieux samedi, le Brésilien Bobo est la nouvelle attraction du club. Il a été, en effet, le grand artisan de la qualification au deuxième tour préliminaire en inscrivant un doublé à Tiraspol. Observateur attentif de ce match retour en Moldavie, Bernard Challandes a pu mesurer tout le potentiel du Besiktas, où évolue l'ancien stratège du FC Bâle Matias Delgado. "C'est une équipe très dangereuse si on la laisse jouer", souligne le technicien neuchâtelois.
(ats / 14 août 2007 15:48)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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FC Zurich, une saison en 180 minutes
FOOTBALL. Le FCZ entame ce soir à domicile sa phase de qualification pour la Ligue des champions face à Besiktas Istanbul. Au terme de ces deux matches, sa situation va radicalement changer.
Julien Caloz, Mercredi 15 août 2007
Une trilogie. Après les sorties vidéos de «FCZ, das Meisterspiel» (2006) et «DVD Meister 2007», le double champion de Suisse en titre bricole un troisième scénario. 180 minutes, soit deux matches. Genre grosse animation. De l'issue du long-métrage, programmé le mercredi 29 août au soir, à l'occasion du troisième tour de la Ligue des champions contre Besiktas Istanbul, dépendra l'avenir proche du FC Zurich. La presse suisse alémanique parle déjà de «Lösbare Aufgabe», problème résoluble. Certes. Mais problème quand même.
«Nous avons le potentiel pour nous qualifier, affirme l'entraîneur Bernard Challandes. Il faudra simplement que l'équipe soit bien ce jour-là. Si vous perdez des ballons contre Thoune en milieu de terrain, ce n'est pas aussi grave que si vous le faites contre Besiktas. Là, ça peut faire mal. Et vite.» Le coach zurichois a déjà épié les roublardises stambouliotes. Verdict: «C'est quand même très solide. Et puis, eux ont fait de la Ligue des champions leur objectif prioritaire.»
Mustafa, aficionados de Besiktas, nuance: «L'objectif est avant tout le titre national. A Istanbul, la concurrence avec Fenerbahçe et Galatasaray est telle qu'il faut s'efforcer d'être compétitif au niveau national. La Ligue des champions est quelque chose de différent. Mais Besiktas la jouera à fond, c'est clair. D'autant qu'ici, tout le monde est certain de bouter Zurich.» Le président Yildirim Demirören avoue quelque quinze millions d'euros de budget, histoire de valider les certitudes.
Voilà pour l'élément perturbateur. Reste Zurich, l'intonation plus prude, certes, mais les intentions tout aussi démonstratives. Aux prémices des inclinations européennes: Ancillo Canepa, président du FCZ. L'homme d'affaires zurichois ronronne dès qu'il s'agit d'Europe, grimace devant un parterre de photographes, la «Coupe aux Grandes Oreilles» effleurant les siennes, ambitionne le voyage à Moscou pour la finale. C'est son côté too much.
Nul besoin d'enfler l'expression pour saisir toute l'importance de la tâche qui incombe au FC Zurich. Le script est plutôt tout public. C'est son côté feuilleton. «La Ligue des champions est quelque chose d'important dans un club, assure Challandes. Mais cela n'a pas été fixé comme un objectif, plutôt comme un rêve. On en parle en termes d'exploit. Ça titille un peu tout le monde: l'entraîneur, les joueurs.» Le Neuchâtelois ramène Canepa à la raison. «Je n'attache aucune importance à ses déclarations qui, pour moi, sont bidon. Ce sont des déclarations de situation. Qu'est-ce qu'un président de club peut dire d'autre? On ne va pas dire que ça ne nous intéresse pas, que l'on a aucun objectif. Pour moi, c'est un jeu médiatique dépassé.»
Débarque alors Lucien Favre, ex-entraîneur messianique du FCZ. Le penchant que le Vaudois, nouveau coach du Hertha Berlin, manifeste pour Raffael, et le recrutement de Steve von Bergen annoncé hier en fin d'après-midi agace Bernard Challandes. Plus que la légitimité de l'offre, le coach zurichois regrette la tactique. «Je sais qu'il y a des contacts, qui sont d'ailleurs plus que des contacts, déclarait-il sur les ondes de la RSR. Je ne regrette pas l'intérêt porté par Lucien Favre, davantage la manière. Raffael a un contrat chez nous et ne bénéficie d'aucune clause libératoire. S'il part, c'est que nous l'aurons décidé ainsi.» Lui ne pourra pas brider les aspirations du joueur. C'est son côté humain.
Restent les bonus. Topo des trois jours de préparation passés au Panorama Spa Resort de Feusisberg à ce qui risque d'être une nuit dans le chaos d'Istanbul, excursion dont la Nati a fait la pénible expérience deux saisons plus tôt. Genre d'ordre de marche en plus gratifiant. La solde est sensiblement différente.
Une virée victorieuse sur les bords du Bosphore assurerait au FC Zurich quelques moyens supplémentaires pour les prochains épisodes. Ainsi, lors de son épopée européenne, Thoune avait encaissé un montant brut de 15,65 millions pour un bénéfice net de huit millions. Challandes: «Nous n'avons pas cette pression-là. On ne peut pas planifier les millions de la Ligue des champions. Par ailleurs, la politique des transferts n'a pas été réalisée afin d'être compétitifs sur la scène européenne. Nous avons une philosophie de club et nous devons nous y tenir. Il y a beaucoup d'exemples de formations qui se sont enflammées avec des transferts afin d'obtenir une place en Ligue des champions. Ce n'est pas notre cas.»
Le rôle d'outsider, dont le Neuchâtelois se plaît à tirer profit, suffira-t-il? «Si l'on avait été favori, cela ne m'aurait tout de même pas dérangé.» Il déguise à peine l'ironie, n'est jamais aussi brillant que dans ces moments-là. C'est son côté Bernard Challandes.
Le sang chaud du Besiktas
Les supporters turcs sont connus pour faire trembler les stades.
«Séville ou Arsenal auraient été dix fois plus pénibles à battre», soufflait Steve von Bergen à l'issue du tirage au sort. Tout aussi vrai que Besiktas est à peine connu sur les bords de la Limmatt. Besiktas Istanbul. Ou «Halkin Takimi», l'équipe du peuple. A sa tête, Ertugrul Saglam, ex-canonnier du club (167 matches, 103 buts), cultive une liaison passionnelle avec ses anciennes couleurs. Sous sa direction, un régiment de techniciens sud-américains (Matias Delgado, Ricardinho, Bobo), secondés par des locaux réputés, Reçber Rüstü en tête. Des guerriers. L'escouade stambouliote a l'esprit contestataire. Des dispositions bagarreuses notoires. Le décor s'y prête bien. L'enceinte d'Inönü, les tribunes verticales, n'a que très peu de concurrence sur la planète football. Mustafa récite, à peine ému: «Il y a deux saisons, les fans de Besiktas ont grondé à hauteur de 132 décibels contre Fenerbahçe. Du jamais vu.» Le béton n'a pas bronché. Le record tient toujours.
[Le Temps 2007]
FOOTBALL. Le FCZ entame ce soir à domicile sa phase de qualification pour la Ligue des champions face à Besiktas Istanbul. Au terme de ces deux matches, sa situation va radicalement changer.
Julien Caloz, Mercredi 15 août 2007
Une trilogie. Après les sorties vidéos de «FCZ, das Meisterspiel» (2006) et «DVD Meister 2007», le double champion de Suisse en titre bricole un troisième scénario. 180 minutes, soit deux matches. Genre grosse animation. De l'issue du long-métrage, programmé le mercredi 29 août au soir, à l'occasion du troisième tour de la Ligue des champions contre Besiktas Istanbul, dépendra l'avenir proche du FC Zurich. La presse suisse alémanique parle déjà de «Lösbare Aufgabe», problème résoluble. Certes. Mais problème quand même.
«Nous avons le potentiel pour nous qualifier, affirme l'entraîneur Bernard Challandes. Il faudra simplement que l'équipe soit bien ce jour-là. Si vous perdez des ballons contre Thoune en milieu de terrain, ce n'est pas aussi grave que si vous le faites contre Besiktas. Là, ça peut faire mal. Et vite.» Le coach zurichois a déjà épié les roublardises stambouliotes. Verdict: «C'est quand même très solide. Et puis, eux ont fait de la Ligue des champions leur objectif prioritaire.»
Mustafa, aficionados de Besiktas, nuance: «L'objectif est avant tout le titre national. A Istanbul, la concurrence avec Fenerbahçe et Galatasaray est telle qu'il faut s'efforcer d'être compétitif au niveau national. La Ligue des champions est quelque chose de différent. Mais Besiktas la jouera à fond, c'est clair. D'autant qu'ici, tout le monde est certain de bouter Zurich.» Le président Yildirim Demirören avoue quelque quinze millions d'euros de budget, histoire de valider les certitudes.
Voilà pour l'élément perturbateur. Reste Zurich, l'intonation plus prude, certes, mais les intentions tout aussi démonstratives. Aux prémices des inclinations européennes: Ancillo Canepa, président du FCZ. L'homme d'affaires zurichois ronronne dès qu'il s'agit d'Europe, grimace devant un parterre de photographes, la «Coupe aux Grandes Oreilles» effleurant les siennes, ambitionne le voyage à Moscou pour la finale. C'est son côté too much.
Nul besoin d'enfler l'expression pour saisir toute l'importance de la tâche qui incombe au FC Zurich. Le script est plutôt tout public. C'est son côté feuilleton. «La Ligue des champions est quelque chose d'important dans un club, assure Challandes. Mais cela n'a pas été fixé comme un objectif, plutôt comme un rêve. On en parle en termes d'exploit. Ça titille un peu tout le monde: l'entraîneur, les joueurs.» Le Neuchâtelois ramène Canepa à la raison. «Je n'attache aucune importance à ses déclarations qui, pour moi, sont bidon. Ce sont des déclarations de situation. Qu'est-ce qu'un président de club peut dire d'autre? On ne va pas dire que ça ne nous intéresse pas, que l'on a aucun objectif. Pour moi, c'est un jeu médiatique dépassé.»
Débarque alors Lucien Favre, ex-entraîneur messianique du FCZ. Le penchant que le Vaudois, nouveau coach du Hertha Berlin, manifeste pour Raffael, et le recrutement de Steve von Bergen annoncé hier en fin d'après-midi agace Bernard Challandes. Plus que la légitimité de l'offre, le coach zurichois regrette la tactique. «Je sais qu'il y a des contacts, qui sont d'ailleurs plus que des contacts, déclarait-il sur les ondes de la RSR. Je ne regrette pas l'intérêt porté par Lucien Favre, davantage la manière. Raffael a un contrat chez nous et ne bénéficie d'aucune clause libératoire. S'il part, c'est que nous l'aurons décidé ainsi.» Lui ne pourra pas brider les aspirations du joueur. C'est son côté humain.
Restent les bonus. Topo des trois jours de préparation passés au Panorama Spa Resort de Feusisberg à ce qui risque d'être une nuit dans le chaos d'Istanbul, excursion dont la Nati a fait la pénible expérience deux saisons plus tôt. Genre d'ordre de marche en plus gratifiant. La solde est sensiblement différente.
Une virée victorieuse sur les bords du Bosphore assurerait au FC Zurich quelques moyens supplémentaires pour les prochains épisodes. Ainsi, lors de son épopée européenne, Thoune avait encaissé un montant brut de 15,65 millions pour un bénéfice net de huit millions. Challandes: «Nous n'avons pas cette pression-là. On ne peut pas planifier les millions de la Ligue des champions. Par ailleurs, la politique des transferts n'a pas été réalisée afin d'être compétitifs sur la scène européenne. Nous avons une philosophie de club et nous devons nous y tenir. Il y a beaucoup d'exemples de formations qui se sont enflammées avec des transferts afin d'obtenir une place en Ligue des champions. Ce n'est pas notre cas.»
Le rôle d'outsider, dont le Neuchâtelois se plaît à tirer profit, suffira-t-il? «Si l'on avait été favori, cela ne m'aurait tout de même pas dérangé.» Il déguise à peine l'ironie, n'est jamais aussi brillant que dans ces moments-là. C'est son côté Bernard Challandes.
Le sang chaud du Besiktas
Les supporters turcs sont connus pour faire trembler les stades.
«Séville ou Arsenal auraient été dix fois plus pénibles à battre», soufflait Steve von Bergen à l'issue du tirage au sort. Tout aussi vrai que Besiktas est à peine connu sur les bords de la Limmatt. Besiktas Istanbul. Ou «Halkin Takimi», l'équipe du peuple. A sa tête, Ertugrul Saglam, ex-canonnier du club (167 matches, 103 buts), cultive une liaison passionnelle avec ses anciennes couleurs. Sous sa direction, un régiment de techniciens sud-américains (Matias Delgado, Ricardinho, Bobo), secondés par des locaux réputés, Reçber Rüstü en tête. Des guerriers. L'escouade stambouliote a l'esprit contestataire. Des dispositions bagarreuses notoires. Le décor s'y prête bien. L'enceinte d'Inönü, les tribunes verticales, n'a que très peu de concurrence sur la planète football. Mustafa récite, à peine ému: «Il y a deux saisons, les fans de Besiktas ont grondé à hauteur de 132 décibels contre Fenerbahçe. Du jamais vu.» Le béton n'a pas bronché. Le record tient toujours.
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Ligue des champions: Zurich égalise in extremis contre Besitkas
Une égalisation providentielle d'Alphonse à la... 97e minute permet au FC Zurich de rêver toujours à la Ligue des Champions. Il faudra toutefois que la formation de Bernard Challandes déjoue tous les pronostics le 29 août à Istanbul. Avec ce 1-1 à l'aller, le Besiktas possède un avantage très net dans ce 3e tour qualificatif.
Le FC Zurich a couru derrière le score pendant... 94 minutes. Cueillis à froid sur réussite de l'ancien joueur du FC Bâle Delgado, les Zurichois ont trop longtemps séché devant la défense turque. Malgré un ascendant total sur la rencontre, ils n'ont bénéficié que d'une seule occasion nette avant l'égalisation d'Alphonse. Cette misère offensive traduit une réalité: le FC Zurich, affaibli par les départs à l'intersaison de Dzemaili, Inler et Margairaz, n'évolue plus dans le même registre que ces deux dernières saisons.
Besiktas n'a pas dû attendre plus de trois minutes pour faire le plus dur: inscrire ce fameux but à l'extérieur que les Turcs étaient venus chercher au Hardturm. Un but venu de nulle part avec une percée de Cissé que l'on croyait enrayée avant qu'Aegerter ne rate son dégagement. A l'affût, Delgado se rappelait au bon souvenir des supporters du FCZ en ne laissant aucune chance à Leoni.
Ce but changeait bien sûr toutes les données. Besiktas avait le beau rôle. Les Turcs jouaient sur du velours. Ils abandonnaient toute l'initiative à leurs adversaires. Maîtres du jeu, les Zurichois manquaient toutefois de tranchant dans les vingt derniers mètres. Ainsi, seul Alphonse fut en mesure de créer le danger en première période. Le Français échouait deux fois devant le gardien Arikan sur un tir à bout portant (18e), pour la plus belle opportunité de la soirée, et sur une reprise de la tête (35e).
Bernard Challandes attendait la 83e pour lancer enfin Hassli, le plus gros transfert de l'été, dans la bataille. Une frappe d'Abdi sur le gardien à la 85e et une interruption du jeu provoquée des jets de bouteilles en direction du gardien turc préfiguraient une fin de match qui allait échapper à toute logique. Rochat et Alphonse, les deux meilleurs hommes sur le terrain, unissaient leur talent pour obtenir le but de l'égalisation qui devait être salué comme celui de la victoire par les supporters du FCZ.
(ats / 15 août 2007 22:25)
Une égalisation providentielle d'Alphonse à la... 97e minute permet au FC Zurich de rêver toujours à la Ligue des Champions. Il faudra toutefois que la formation de Bernard Challandes déjoue tous les pronostics le 29 août à Istanbul. Avec ce 1-1 à l'aller, le Besiktas possède un avantage très net dans ce 3e tour qualificatif.
Le FC Zurich a couru derrière le score pendant... 94 minutes. Cueillis à froid sur réussite de l'ancien joueur du FC Bâle Delgado, les Zurichois ont trop longtemps séché devant la défense turque. Malgré un ascendant total sur la rencontre, ils n'ont bénéficié que d'une seule occasion nette avant l'égalisation d'Alphonse. Cette misère offensive traduit une réalité: le FC Zurich, affaibli par les départs à l'intersaison de Dzemaili, Inler et Margairaz, n'évolue plus dans le même registre que ces deux dernières saisons.
Besiktas n'a pas dû attendre plus de trois minutes pour faire le plus dur: inscrire ce fameux but à l'extérieur que les Turcs étaient venus chercher au Hardturm. Un but venu de nulle part avec une percée de Cissé que l'on croyait enrayée avant qu'Aegerter ne rate son dégagement. A l'affût, Delgado se rappelait au bon souvenir des supporters du FCZ en ne laissant aucune chance à Leoni.
Ce but changeait bien sûr toutes les données. Besiktas avait le beau rôle. Les Turcs jouaient sur du velours. Ils abandonnaient toute l'initiative à leurs adversaires. Maîtres du jeu, les Zurichois manquaient toutefois de tranchant dans les vingt derniers mètres. Ainsi, seul Alphonse fut en mesure de créer le danger en première période. Le Français échouait deux fois devant le gardien Arikan sur un tir à bout portant (18e), pour la plus belle opportunité de la soirée, et sur une reprise de la tête (35e).
Bernard Challandes attendait la 83e pour lancer enfin Hassli, le plus gros transfert de l'été, dans la bataille. Une frappe d'Abdi sur le gardien à la 85e et une interruption du jeu provoquée des jets de bouteilles en direction du gardien turc préfiguraient une fin de match qui allait échapper à toute logique. Rochat et Alphonse, les deux meilleurs hommes sur le terrain, unissaient leur talent pour obtenir le but de l'égalisation qui devait être salué comme celui de la victoire par les supporters du FCZ.
(ats / 15 août 2007 22:25)
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Ligue des champions: Johnny Leoni n'a pas peur de Besiktas
Johnny Leoni croit à une qualification du FC Zurich pour la Ligue des champions. Malgré la réputation du bouillant public du Besiktas Istanbul, le gardien Valaisan n'a pas peur pour le match retour de mercredi. Interview.
Quelles sont vos attentes par rapport au match retour à Istanbul face au Besiktas?
Johnny Leoni: Je m'attends à une qualification! C'est faisable. C'est clair que ce ne sera pas simple. On sait que le public, là-bas est chaud, mais cela ne joue aucun rôle en ce qui me concerne. Et si on marque en premier...
Que pensez-vous du public chaud et des talents de comédien du gardien turc Arikan démontrés lors du match aller?
J.L.: J'ai suivi la scène de loin, et je n'ai pas pu voir s'ilavait été véritablement touché ou pas. Je me suis juste dit que la perte de temps lors de cet incident nous a permis d'égaliser à la 97e (réd:1-1)!
Entre les deux matches qualificatifs, le FC Zurich a dû laisser filer deux de ses titulaires (Von Bergen et César). Était-ce évitable?
J.L.: Pour moi, c'était logique. Lorsque nos performances nous permettent de faire un pas de plus dans une carrière, on se doit de le faire. Les autres joueurs doivent simplement rester concentrés. Nous ne pouvons pas nous lamenter durant trois mois sur un transfert.
Avec quoi liez-vous la notion de Ligue des champions? Est-ce que ce rendez-vous européen éveille chez vous des souvenirs précis?
J.L.: C'est d'abord l'hymne qui me vient spontanément en tête. Jusqu'à maintenant je n'ai suivi les matches de la Ligue des champions qu'à la télé. Pour un footballeur suisse, cette compétition est un rêve. Nous devons tout donner pour y parvenir.
Depuis ses débuts il y deux ans, Leoni n'a encaissé que 67 buts en 75 matches, c'est-à-dire, moins d'un but par match en moyenne. Ce gardien plutôt léger pour son poste (80 kg) possède une excellente lecture du jeu et a la mâitrise du ballon tant avec les mains qu'avec les pieds.
(ats / 27 août 2007 14:37)
Johnny Leoni croit à une qualification du FC Zurich pour la Ligue des champions. Malgré la réputation du bouillant public du Besiktas Istanbul, le gardien Valaisan n'a pas peur pour le match retour de mercredi. Interview.
Quelles sont vos attentes par rapport au match retour à Istanbul face au Besiktas?
Johnny Leoni: Je m'attends à une qualification! C'est faisable. C'est clair que ce ne sera pas simple. On sait que le public, là-bas est chaud, mais cela ne joue aucun rôle en ce qui me concerne. Et si on marque en premier...
Que pensez-vous du public chaud et des talents de comédien du gardien turc Arikan démontrés lors du match aller?
J.L.: J'ai suivi la scène de loin, et je n'ai pas pu voir s'ilavait été véritablement touché ou pas. Je me suis juste dit que la perte de temps lors de cet incident nous a permis d'égaliser à la 97e (réd:1-1)!
Entre les deux matches qualificatifs, le FC Zurich a dû laisser filer deux de ses titulaires (Von Bergen et César). Était-ce évitable?
J.L.: Pour moi, c'était logique. Lorsque nos performances nous permettent de faire un pas de plus dans une carrière, on se doit de le faire. Les autres joueurs doivent simplement rester concentrés. Nous ne pouvons pas nous lamenter durant trois mois sur un transfert.
Avec quoi liez-vous la notion de Ligue des champions? Est-ce que ce rendez-vous européen éveille chez vous des souvenirs précis?
J.L.: C'est d'abord l'hymne qui me vient spontanément en tête. Jusqu'à maintenant je n'ai suivi les matches de la Ligue des champions qu'à la télé. Pour un footballeur suisse, cette compétition est un rêve. Nous devons tout donner pour y parvenir.
Depuis ses débuts il y deux ans, Leoni n'a encaissé que 67 buts en 75 matches, c'est-à-dire, moins d'un but par match en moyenne. Ce gardien plutôt léger pour son poste (80 kg) possède une excellente lecture du jeu et a la mâitrise du ballon tant avec les mains qu'avec les pieds.
(ats / 27 août 2007 14:37)
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Football: Zurich en quête d'un exploit à Istanbul
L'Europe passe par Istanbul pour le FC Zurich. Intraitables en championnat de Suisse, les hommes de Bernard Challendes tenteront d'en faire de même sur la scène européenne et de se qualifier pour la Ligue des champions mercredi soir face au Besiktas (match aller 1-1). Une tâche qui s'annonce ardue, mais faisable.
En Axpo Super League, le FCZ reste sur deux "cartons" contre Sion (5-0) et Young Boys (5-1). Il occupe la tête du championnat avec trois points d'avance sur Bâle. "Après le nul contre Beskitas, l'équipe a réagi en montrant qu'elle avait un fort caractère", note le coach Bernard Challendes. De son côté, le président Ancillo Canepa estime que "le FCZ est peut-être encore plus fort aujourd'hui que ces dernières saisons."
Tout n'est pourtant pas idyllique chez le double champion de Suisse. Déjà passablement remanié durant l'entre-saison (départs de Dzemaili, Inler et Margairaz), l'effectif des Zurichois continue d'être "pillé". Depuis le match aller contre Besiktas, Steve von Bergen est parti au Hertha Berlin et César a été vendu à Al Ahly Dubai. Pour ne rien arranger, le buteur Raffael est aussi en partance, Berlinois et Zurichois s'adonnant à un véritable bras de fer concernant son transfert dans la capitale allemande.
Le FCZ compte certes de jeunes joueurs prometteurs pour compenser ces absences, à l'image de Heins Barmettler ou d'Almen Abdi (20 ans tous les deux). Néanmoins, leur manque d'expérience pèsera au moment d'entrer dans le stade Inönü d'Istanbul, rempli de supporters turcs dont la réputation n'est plus à faire.
Sur le papier, le Besiktas reste favori avec ses stars comme l'Argentin (et ancien du FC Bâle) Matias Delgado ou l'international brésilien Ricardinho. Reste que le troisième club d'Istanbul (derrière Fenerbahce et Galatasaray) n'avait pas vraiment convaincu lors du match aller au Hardturm. Après avoir ouvert la marque lors des premières minutes, le Besiktas s'était satisfait de ce résultat, avant qu'Alphonse n'égalise à la 97e minute.
Pour Zurich, il s'agira donc de croire en ses chances et de surfer sur les succès accumulés en Axpo Super League. Formidable motivateur, Bernard Challendes saura transcender ses hommes pour ce match. Le jeu en vaut la chandelle. Une qualification pour la Ligue des champions rapporterait un jackpot de 7,5 millions de francs. Jusqu'ici en Suisse, seuls Grasshoppers, Bâle et Thoune ont pris part à cette compétition.
(ats / 28 août 2007 11:03)
L'Europe passe par Istanbul pour le FC Zurich. Intraitables en championnat de Suisse, les hommes de Bernard Challendes tenteront d'en faire de même sur la scène européenne et de se qualifier pour la Ligue des champions mercredi soir face au Besiktas (match aller 1-1). Une tâche qui s'annonce ardue, mais faisable.
En Axpo Super League, le FCZ reste sur deux "cartons" contre Sion (5-0) et Young Boys (5-1). Il occupe la tête du championnat avec trois points d'avance sur Bâle. "Après le nul contre Beskitas, l'équipe a réagi en montrant qu'elle avait un fort caractère", note le coach Bernard Challendes. De son côté, le président Ancillo Canepa estime que "le FCZ est peut-être encore plus fort aujourd'hui que ces dernières saisons."
Tout n'est pourtant pas idyllique chez le double champion de Suisse. Déjà passablement remanié durant l'entre-saison (départs de Dzemaili, Inler et Margairaz), l'effectif des Zurichois continue d'être "pillé". Depuis le match aller contre Besiktas, Steve von Bergen est parti au Hertha Berlin et César a été vendu à Al Ahly Dubai. Pour ne rien arranger, le buteur Raffael est aussi en partance, Berlinois et Zurichois s'adonnant à un véritable bras de fer concernant son transfert dans la capitale allemande.
Le FCZ compte certes de jeunes joueurs prometteurs pour compenser ces absences, à l'image de Heins Barmettler ou d'Almen Abdi (20 ans tous les deux). Néanmoins, leur manque d'expérience pèsera au moment d'entrer dans le stade Inönü d'Istanbul, rempli de supporters turcs dont la réputation n'est plus à faire.
Sur le papier, le Besiktas reste favori avec ses stars comme l'Argentin (et ancien du FC Bâle) Matias Delgado ou l'international brésilien Ricardinho. Reste que le troisième club d'Istanbul (derrière Fenerbahce et Galatasaray) n'avait pas vraiment convaincu lors du match aller au Hardturm. Après avoir ouvert la marque lors des premières minutes, le Besiktas s'était satisfait de ce résultat, avant qu'Alphonse n'égalise à la 97e minute.
Pour Zurich, il s'agira donc de croire en ses chances et de surfer sur les succès accumulés en Axpo Super League. Formidable motivateur, Bernard Challendes saura transcender ses hommes pour ce match. Le jeu en vaut la chandelle. Une qualification pour la Ligue des champions rapporterait un jackpot de 7,5 millions de francs. Jusqu'ici en Suisse, seuls Grasshoppers, Bâle et Thoune ont pris part à cette compétition.
(ats / 28 août 2007 11:03)
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Le FC Zurich ne disputera pas la Ligue des champions
Les millions de la Ligue des champions restent un rêve pour le FC Zurich. Le champion de Suisse a échoué, comme l'an dernier, au 3e tour qualificatif. Les hommes de Bernard Challandes se sont inclinés 2-0 à Istanbul contre le Besiktas, après avoir fait 1-1 au match aller.
L'ancien Bâlois Matias Delgado a été le bourreau des Zurichois. L'Argentin a en effet inscrit les deux buts de son équipe (56e/64e), à chaque fois sur un superbe coup de tête. Delgado avait déjà marqué le but de son équipe voici deux semaines au Hardturm.
Zurich n'a jamais su mettre hors de position la défense turque. La seule véritable occasion a été pour Eudis à la 43e, mais l'ancien Lausannois se brisait sur le portier du Besiktas. En face, l'arrière-garde suisse a souffert principalement dans le jeu aérien.
(ats / 29 août 2007 21:14)
Les millions de la Ligue des champions restent un rêve pour le FC Zurich. Le champion de Suisse a échoué, comme l'an dernier, au 3e tour qualificatif. Les hommes de Bernard Challandes se sont inclinés 2-0 à Istanbul contre le Besiktas, après avoir fait 1-1 au match aller.
L'ancien Bâlois Matias Delgado a été le bourreau des Zurichois. L'Argentin a en effet inscrit les deux buts de son équipe (56e/64e), à chaque fois sur un superbe coup de tête. Delgado avait déjà marqué le but de son équipe voici deux semaines au Hardturm.
Zurich n'a jamais su mettre hors de position la défense turque. La seule véritable occasion a été pour Eudis à la 43e, mais l'ancien Lausannois se brisait sur le portier du Besiktas. En face, l'arrière-garde suisse a souffert principalement dans le jeu aérien.
(ats / 29 août 2007 21:14)
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Tu dira ce que tu veux mais le gros problème de Zurich, que n'a pas Bale, c'est que leur super équipe de jeunes qui fait bander tout le monde n'a pas assez d'expérience pour supporter la pression d'un match pareil, dans un stade plein qui siffle dès qu'ils touchent le ballon.FCSionPassion a écrit :xybene a écrit :Merci Zürich d'être autant nul en coupe d'europe et de nous faire perdre des places chaque année. Vivement FCB champion ou thoune à la limite... no comment...
2 ans de suite qu'ils merdent au 1er match de qualif ... on aura bientot même plus 3 équipe en UEFA si ça continue.
MAD MAX PRESIDENT !!!
En fait l'an dernier ils ont perdus au 2e tour, cette année au 3e tour. Bilan cette année ils sont reversés en UEFA.jeje-fcsion a écrit :Tu dira ce que tu veux mais le gros problème de Zurich, que n'a pas Bale, c'est que leur super équipe de jeunes qui fait bander tout le monde n'a pas assez d'expérience pour supporter la pression d'un match pareil, dans un stade plein qui siffle dès qu'ils touchent le ballon.FCSionPassion a écrit :xybene a écrit :Merci Zürich d'être autant nul en coupe d'europe et de nous faire perdre des places chaque année. Vivement FCB champion ou thoune à la limite
2 ans de suite qu'ils merdent au 1er match de qualif ... on aura bientot même plus 3 équipe en UEFA si ça continue.
Il n'y a que 10 sortes de personnes: ceux qui comprennent le binaire et les autres.
On aurait une équipe de jeune 2 fois championne suisse et qui a gagné une coupe ces 3 dernières années elle nous ferait bander aussi je pense, qualif pour la CL ou pas.jeje-fcsion a écrit :Tu dira ce que tu veux mais le gros problème de Zurich, que n'a pas Bale, c'est que leur super équipe de jeunes qui fait bander tout le monde n'a pas assez d'expérience pour supporter la pression d'un match pareil, dans un stade plein qui siffle dès qu'ils touchent le ballon.FCSionPassion a écrit :xybene a écrit :Merci Zürich d'être autant nul en coupe d'europe et de nous faire perdre des places chaque année. Vivement FCB champion ou thoune à la limite
2 ans de suite qu'ils merdent au 1er match de qualif ... on aura bientot même plus 3 équipe en UEFA si ça continue.
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Il est vrai que cette équipe est très jeune, ce qui a sûrement pesé en sa défaveur. Et c'est vrai que Bâle aurait "peut-être" mieux fait avec l'influence de gars comme Chipperfield ou Mastorovic.
Mais Zurich a fait 2 bonnes prestations. Bravo à eux ! Les regrets à mon avis, c'était plutôt l'année passée qu'ils les ont eu.
Une équipe avec un manque d'expérience ?
Ca me rappelle une équipe qui joue en blanc et rouge qui y a crû trop vite et qui a ensuite commis des erreurs de jeunesse. C'était l'an passé contre... Leverkusen
Mais Zurich a fait 2 bonnes prestations. Bravo à eux ! Les regrets à mon avis, c'était plutôt l'année passée qu'ils les ont eu.
Une équipe avec un manque d'expérience ?
Ca me rappelle une équipe qui joue en blanc et rouge qui y a crû trop vite et qui a ensuite commis des erreurs de jeunesse. C'était l'an passé contre... Leverkusen
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xybene
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bien sur que ca nous ferait bander, mais ni le besikstas (plus qualifié depuis 4ans pour la CL) ni l'Etoile rouge Belgrade sont des adversaires monstrueux, mais Zürich n'arrive pas à jouer au niveau supérieur alors voilà ca fait c**** pour les places européeenes pcq à ce rythme là y aura même plus de CL pour la suisse...Steven a écrit :On aurait une équipe de jeune 2 fois championne suisse et qui a gagné une coupe ces 3 dernières années elle nous ferait bander aussi je pense, qualif pour la CL ou pas.jeje-fcsion a écrit :Tu dira ce que tu veux mais le gros problème de Zurich, que n'a pas Bale, c'est que leur super équipe de jeunes qui fait bander tout le monde n'a pas assez d'expérience pour supporter la pression d'un match pareil, dans un stade plein qui siffle dès qu'ils touchent le ballon.FCSionPassion a écrit :
2 ans de suite qu'ils merdent au 1er match de qualif ... on aura bientot même plus 3 équipe en UEFA si ça continue.
