Le Matin : le foot suisse court à la faillite
- mijack
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Le Matin : le foot suisse court à la faillite
Où va-t- on ? Pas très loin d'après le Matin : article ici
:roll: Bon... d'abbord je ne sous-estimerai pas la tendance démagogique d'un torchon tel que le Matin... Pour moi il n'y a rien de nouveau sous le soleil dans ce qu'on peut lire dans ces lignes...
Cependant, voici un résumé de mon avis sur la question... Le football professionnel international devra forcément un jour retomber les pieds sur terre et arrêter de "péter plus haut que son cul"... les salaires des joueurs doivent être impérativement revu à la baisse, le pouvoir des agents limité, les transferts régularisés, un "salary cap"* instauré, la faillite de club surendetté prononcée. Un football plus populaire et moins surmédiatisé va forcément tôt ou tard revoir le jour, et cela ne tarrira en rien notre passion à tous...
Franchement si je suis patron d'une grosse entreprise en Suisse - même si j'aime le football au point où je l'aime aujourd'hui - investirais-je dans un club de Superleague sans assise populaire ? Jamais de la vie ! Pas fou quand même !
* salary cap = limite maximum sur la masse salariale d'un club visant à empêcher un trop grand déséquilibre des forces et à enrayer le phénomène d'inflation des salaires des joueurs stars. Avec un tel système en vigueur notamment dans la NBA (basket USA), aucun grand club ne peut plus se permettre de s'offrir toutes les grandes stars du moment sans dépasser le salary cap qui serait en vigueur au niveau européen (i.e. Real de Madrid, Juventus, Inter, etc...) Les bons joueurs sont ainsi obligés de jouer dans différents clubs ou de revoir sérieusement à la baisse leur salaire de star du cinéma.
Cependant, voici un résumé de mon avis sur la question... Le football professionnel international devra forcément un jour retomber les pieds sur terre et arrêter de "péter plus haut que son cul"... les salaires des joueurs doivent être impérativement revu à la baisse, le pouvoir des agents limité, les transferts régularisés, un "salary cap"* instauré, la faillite de club surendetté prononcée. Un football plus populaire et moins surmédiatisé va forcément tôt ou tard revoir le jour, et cela ne tarrira en rien notre passion à tous...
Franchement si je suis patron d'une grosse entreprise en Suisse - même si j'aime le football au point où je l'aime aujourd'hui - investirais-je dans un club de Superleague sans assise populaire ? Jamais de la vie ! Pas fou quand même !
* salary cap = limite maximum sur la masse salariale d'un club visant à empêcher un trop grand déséquilibre des forces et à enrayer le phénomène d'inflation des salaires des joueurs stars. Avec un tel système en vigueur notamment dans la NBA (basket USA), aucun grand club ne peut plus se permettre de s'offrir toutes les grandes stars du moment sans dépasser le salary cap qui serait en vigueur au niveau européen (i.e. Real de Madrid, Juventus, Inter, etc...) Les bons joueurs sont ainsi obligés de jouer dans différents clubs ou de revoir sérieusement à la baisse leur salaire de star du cinéma.
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