Posté : 11.11.2005 19:52
Article assez intéressant sur l'état d'esprit des deux équipes avant cette rencontre capitale:
La Turquie sous pression face à la Suisse
Les regards des 2,5 millions de Turcs vivant en Allemagne convergeront samedi vers Berne, où la Turquie défiera la Suisse en match aller de leur barrage. Une non-participation à la Coupe du monde 2006 serait, pour eux, vécue comme une véritable tragédie.
"C'est un rêve qui se briserait", lâche le demi du Hertha Berlin Yildiray Bastürk, l'un des grands absents de la première manche au Stade de Suisse. La pression est donc dans le camp turc, et le sélectionneur Fatih Terim n'a pas pu masquer une certaine nervosité ces derniers jours. Il mesure parfaitement tout le danger que représente cette équipe de Suisse qui vient de bousculer la France et qui aurait mérité mille fois de s'imposer en Irlande.
Terim sait aussi que son équipe a tout à redouter du match de Berne avec les absences de trois éléments majeurs, Emre, Hamit Altintop et Bastürk. Par ailleurs, Alpay, le patron de sa défense, traverse des heures bien difficiles sous le maillot du FC Cologne. Enfin son gardien Volkan multiplie depuis des semaines les bourdes.
Dans le camp helvétique en revanche, la sérénité est de mise. Köbi Kuhn et ses joueurs sont habités par une certitude. La victoire sera au rendez-vous s'ils évoluent samedi soir dans le même registre que le 8 octobre contre la France. La Suisse avait largement gagné aux points une rencontre qu'elle avait bien failli perdre sur une mésentente entre Zuberbühler et Müller.
La balle est dans les pieds d'Alex Frei. Malheureux à Dublin, le buteur de Rennes a retrouvé une partie de sa confiance en marquant à deux reprises en L1. Ce barrage contre la Turquie lui offre une occasion rêvée de se racheter. S'il la saisit, l'homme aux 22 buts en 40 sélections sera certainement maudit par Franz Beckenbauer. Le patron de la Coupe du monde 2006 estime indispensable la qualification de la Turquie pour que la fête soit complète.
La Turquie sous pression face à la Suisse
Les regards des 2,5 millions de Turcs vivant en Allemagne convergeront samedi vers Berne, où la Turquie défiera la Suisse en match aller de leur barrage. Une non-participation à la Coupe du monde 2006 serait, pour eux, vécue comme une véritable tragédie.
"C'est un rêve qui se briserait", lâche le demi du Hertha Berlin Yildiray Bastürk, l'un des grands absents de la première manche au Stade de Suisse. La pression est donc dans le camp turc, et le sélectionneur Fatih Terim n'a pas pu masquer une certaine nervosité ces derniers jours. Il mesure parfaitement tout le danger que représente cette équipe de Suisse qui vient de bousculer la France et qui aurait mérité mille fois de s'imposer en Irlande.
Terim sait aussi que son équipe a tout à redouter du match de Berne avec les absences de trois éléments majeurs, Emre, Hamit Altintop et Bastürk. Par ailleurs, Alpay, le patron de sa défense, traverse des heures bien difficiles sous le maillot du FC Cologne. Enfin son gardien Volkan multiplie depuis des semaines les bourdes.
Dans le camp helvétique en revanche, la sérénité est de mise. Köbi Kuhn et ses joueurs sont habités par une certitude. La victoire sera au rendez-vous s'ils évoluent samedi soir dans le même registre que le 8 octobre contre la France. La Suisse avait largement gagné aux points une rencontre qu'elle avait bien failli perdre sur une mésentente entre Zuberbühler et Müller.
La balle est dans les pieds d'Alex Frei. Malheureux à Dublin, le buteur de Rennes a retrouvé une partie de sa confiance en marquant à deux reprises en L1. Ce barrage contre la Turquie lui offre une occasion rêvée de se racheter. S'il la saisit, l'homme aux 22 buts en 40 sélections sera certainement maudit par Franz Beckenbauer. Le patron de la Coupe du monde 2006 estime indispensable la qualification de la Turquie pour que la fête soit complète.