c_doux_nous_mMm a écrit :CC devrait reprendre le club et en faire un club-ferme pour le FC Sion.
Après toutes ces années à hurler que Sion est un club de paysans, ça semble être la solution la plus adaptée.
bien vu
[spoiler]ceci dit, c'est plutôt consanguins que paysans depuis pas mal d'années. C'est juste que paysan paysan claque mieux que consanguin consanguin. [/spoiler]
@Gex. La ligue a voulu protéger notre centre de formation ces dernières années. Pas sûr que c'était nous rendre service en étant clément.
@isotope. Comme c'est parti, ça va être plus de 10 ans pour les derbies. A moins que CC vous lâche et que vous fassiez un bout du chemin dans notre direction.
C'est "amusant". Il y avait peu de rumeurs jusque-là. Ca vient de démarrer. C'est bon signe. La 2e inter arrive et notre guignol colgate va enfin nous lâcher la grappe.
c_doux_nous_mMm a écrit :CC devrait reprendre le club et en faire un club-ferme pour le FC Sion.
Après toutes ces années à hurler que Sion est un club de paysans, ça semble être la solution la plus adaptée.
bien vu
[spoiler]ceci dit, c'est plutôt consanguins que paysans depuis pas mal d'années. C'est juste que paysan paysan claque mieux que consanguin consanguin. [/spoiler]
Regarde-les voir ceux-ci...
A force de venir spolier nos terrains pour y bâtir des "chââlets" pour passer vos dimanche à la montagne et à force de venir vous installer chez nous, vous pourrez bientôt plus rien chanter du tout!!
Et ce sera de votre faute!!
Vous nous diluez notre consanguinité!!
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
M'enfin, on partage équitablement la pollution. La semaine vous chez nous, le weekend nous chez vous. Un peu comme un vieux couple quoi.
Du coup, vous aussi, en venant chez nous, vous y contribuez.
Ralala, tout fout l'camp ma pôvre dame.
Au passage, c'est dommage que la relégation se joue entre Saxon et Sierre. Parce qu'avec Monthey qui descend, on aurait pu combiner 3 week-ends chalet-foot.
NF_VG a écrit :M'enfin, on partage équitablement la pollution. La semaine vous chez nous, le weekend nous chez vous. Un peu comme un vieux couple quoi.
Du coup, vous aussi, en venant chez nous, vous y contribuez.
Ralala, tout fout l'camp ma pôvre dame.
Au passage, c'est dommage que la relégation se joue entre Saxon et Sierre. Parce qu'avec Monthey qui descend, on aurait pu combiner 3 week-ends chalet-foot.
Peut être que les deux clubs que tu citent seront pas relégués ;)
NF_VG, rappel toi l autre année la ligue à clairement dit qui voulaient Servette et Lausanne en Sl, avant de mettre des bâtons dans les roues de Nx et Sion !
Soyons clair l an passé Servette n aurait jamais du avoir sa licence.
J aimerai bien que la ligue nous explique comment un club qu'elle surveillait à réussi à faire 5 millions de dettes sur un budget annoncé de 5 millions ?!
Tout comme la faillite de Nx ou celle de Marc Roger la ligue à sa part de responsabilité
gex750 a écrit :NF_VG, rappel toi l autre année la ligue à clairement dit qui voulaient Servette et Lausanne en Sl, avant de mettre des bâtons dans les roues de Nx et Sion !
Soyons clair l an passé Servette n aurait jamais du avoir sa licence.
J aimerai bien que la ligue nous explique comment un club qu'elle surveillait à réussi à faire 5 millions de dettes sur un budget annoncé de 5 millions ?!
Tout comme la faillite de Nx ou celle de Marc Roger la ligue à sa part de responsabilité
SFL - FIFA, même combat ... !
Certaines personnes portent un bonnet Guy Roux, Guy Roux portait un bonnet Zotte3. L'éphémère est beaucoup plus fugitif que l'effet belle-mère
@Gex. Au vu de ce qui dort comme bruits de couloirs et comme déjà dit plus haut, la Ligue nous a épargnés pour tenter de protéger le 2e centre de formation en Suisse. Ce qui démontre bien effectivement le sérieux de la licence et le dossier ridicule présenté cette année.
Le Servette FC va éviter la faillite. Un groupe d'entrepreneurs genevois, sous la bannière de la Fondation 1890, va faire le nécessaire pour effacer les 5 millions de dettes du club genevois.
Sur la sellette, le président Hugues Quennec a annoncé son départ. "Dès ce jour, je transmets la présidence du club et cède la totalité des actions à la Fondation 1890 en cours de constitution".
Servette est repris en intégralité par la "Fondation 1890" en cours de constitution. La future structure dispose de ressources suffisantes pour assurer son avenir.
Le SFC, qui avait bouclé le championnat de Challenge League à la 2e place, pourra ainsi évoluer en 1re Ligue Promotion la saison prochaine.
«L’atout de Servette, c’est la formation, c’est grâce à elle que nous retrouverons l’élite»
Déjeuner avec Didier Fischer lundi 22 juin 2015, LE TEMPS
Alexandre Demidoff
Le nouveau président du Servette assure que les investisseurs genevois qu’il représente sont là pour longtemps. Mais demande de la patience. Il faudra du temps pour reconstruire, dit-il. Tête-à-tête au Montreux Jazz Café avec un entrepreneur mélomane dont l’art consiste à relancer des enseignes glorieuses
Ce Genevois, agronome de formation, ne dirige-t-il pas à Martigny la distillerie Morand, fameuse pour la Williamine? Ne préside-t-il pas le conseil d’administration de La Cave de Genève et celui du câblo-opérateur 022 Télégenève SA? Ne se lève-t-il pas tous les matins à cinq heures pour régenter ses différentes baronnies et sauter dans le premier train, à Martigny le plus souvent? Alors imaginez, le Servette FC, ses dettes qui dépassent les 5 millions, son inaptitude, depuis le départ de Canal + en 2001, à tenir son rang, ses présidents qui font les matamores et finissent, parfois, roulés dans le goudron et les plumes comme les Dalton.
Ce jeudi, Didier Fischer travaille en Valais. Par commodité, il vous propose le Café Jazz Montreux, avenue Claude Nobs à 12h15. Vous le découvrez assis à une table qui donne sur la rue et ses palmiers. On est seul. «Vous mangerez quoi?» «La minute d’agneau en plat du jour, c’est bien, avec un verre de rouge, suisse de préférence», répond-il. Vous le dévisagez, rien de tape-à-l’œil, mais le souci des harmonies. Voyez son veston assorti à ses yeux bleu roi. Sa parole est à l’avenant, elle ne déborde pas, elle suit le cours d’une pensée aiguisée. Didier Fischer a des principes, ceux qui lui viennent de parents adorés – un père fonctionnaire international, une mère interprète, aujourd’hui installés au sud de la France; ceux que lui et son épouse chilienne ont transmis à leurs trois enfants: Mélissa, 24 ans, Valdo, 23 ans et Leila, 19 ans.
Un mot pour les résumer? «Responsabilité.» Vertu protestante. Mais pourquoi alors se lancer dans le football, ce marigot où les plus idéalistes sont obligés de frayer avec des faiseurs de mirages? «J’ai pratiqué le volleyball pendant vingt-trois ans; le sport et le football en particulier sont un formidable véhicule d’éducation. Je suis sensible aussi à la notion d’identité, Servette est une marque dans laquelle les Genevois se reconnaissent. Et j’ai beaucoup d’estime pour tous ces gens qui en ont fait la base de leur culture.»
D’accord, mais de là à devenir président? «Je connais Hugues Quennec, j’étais prêt à l’aider, mais il affirmait pouvoir trouver une solution. J’avais confiance. Quand la situation s’est avérée critique, les personnes prêtes à sauver le club m’ont demandé de prendre les commandes. C’est à cette condition qu’elles s’engageaient. Je me suis senti responsable. Si j’avais dit non, je n’aurais pas donné ce que je devais donner.»
Une gorgée d’Humagne, Didier? Il enlève ses lunettes, vous imaginez l’enfant qu’il a été, la Zambie où il grandit jusqu’à 8 ans; l’arrivée à Genève, le stade des Charmilles où il donne rendez-vous aux copains sous la grosse horloge; sa passion pour Joko Pfister, l’ange blond du Servette des années 1970 brisé par une blessure. Vous vous dites qu’il a des paysages dans le rétroviseur, le Chili par exemple qu’il parcourt pendant cinq semaines en 4x4 avec son épouse et ses enfants, sans savoir où ce raid le conduira.
Aurait-il pu faire appel auprès du Tribunal administratif sportif (TAS) pour que celui-ci oblige la Swiss Football League (SFL) à réintégrer le club en Challenge League? «J’ai consulté un avocat spécialisé dans le sport, un haut dirigeant du football, il n’y avait aucune chance.» L’équipe bataillera donc à l’échelon inférieur, dans l’espoir de remonter très vite et d’affronter un jour les phalanges les plus glorieuses du pays.
Mais si tout cela était encore une fois fumeux? Tous les présidents n’ont-ils pas annoncé des lendemains stratosphériques? «Je peux vous assurer que les investisseurs sont solides et qu’ils sont là pour longtemps. Un club qui a une histoire et dix-sept titres se doit de jouer dans l’élite. Mais cela passe par la formation, notre principal atout. Nous avons des entraîneurs incroyablement engagés, ce sont eux qui détiennent les clés. Une preuve encore de ce talent: nos M18 disputent la finale du Championnat suisse. Je ne doute que nous serons un jour aussi bons que les Young Boys ou Bâle. Mais il se faut donner du temps pour y parvenir.»
Didier Fischer est un endurant, un stoïque, à tendance hédoniste. A la maison, devant le poste, il sue sur son rameur pendant les matches de football. A la montagne, il se lève quand clignotent les dernières étoiles pour arpenter les crêtes avec son chien, pendant que la famille dort. «J’ai peu de limites.» On le croit.
Les sauveurs sont faits de cette glaise, non? Surtout pas, proteste-t-il. «Mon but est de créer une équipe de gens responsables et de susciter un esprit. Pas de parader sous les projecteurs.» Les Fischer sont ainsi, ils agissent, ils commandent, ils servent une cause. La sœur de Didier, Fabienne, est avocate, elle a présidé le parti écologiste genevois. Son frère, Thierry, est chef d’orchestre, il a créé l’Orchestre de chambre genevois. Ces trois sont liés à la vie à la mort.
Didier, le livre qui marque votre jeunesse? «Vendredi ou les limbes du Pacifique de Michel Tournier. J’étais fasciné par ce Vendredi, sauvage en apparence, qui convertit Robinson à sa sagesse.» C’est le roman d’une genèse. L’invention d’un monde. Didier Fischer apprécie les grandes symphonies, Dvorjak et Mahler. Son art à lui consiste à relancer des enseignes glorieuses – Cenovis naguère. Servette dérivait en monument naufragé. Didier Fischer est son Robinson, un entrepreneur qui fraternise en construisant. Robinson Crusoé est une histoire qui finit bien.
NF_VG a écrit :@Gex. Au vu de ce qui dort comme bruits de couloirs et comme déjà dit plus haut, la Ligue nous a épargnés pour tenter de protéger le 2e centre de formation en Suisse. Ce qui démontre bien effectivement le sérieux de la licence et le dossier ridicule présenté cette année.
Deuxième centre de formation ??
Peut-être il y a 10 ans oui mais depuis de nombreuse année, Zurich et Bâle sont clairement au dessus et Servette regresse tellement vite que même sion sont meilleur. Après au niveau statistiques et championnats sion à la meilleur équipe des m-21
>>> Walliserkiller >>> Pa Capona >>> Valaisan tu sera <<<
NF_VG a écrit :@Gex. Au vu de ce qui dort comme bruits de couloirs et comme déjà dit plus haut, la Ligue nous a épargnés pour tenter de protéger le 2e centre de formation en Suisse. Ce qui démontre bien effectivement le sérieux de la licence et le dossier ridicule présenté cette année.
Deuxième centre de formation ??
Peut-être il y a 10 ans oui mais depuis de nombreuse année, Zurich et Bâle sont clairement au dessus et Servette regresse tellement vite que même sion sont meilleur. Après au niveau statistiques et championnats sion à la meilleur équipe des m-21
Ce que dit NF n'est pas totalement faux... Servette a, en terme d'internationaux et de joueurs devenus pros, l'un des tout meilleurs ratios du pays... Et comme les stats pour ces classements se basent là-dessus...
Juger sur les perfs en championnat des M21 ne serait pas très juste, quand tu sais que tu as un nombre limités de M21 en 1ère ligue et que les promotions sont bloquées tant qu'une autre équipe ne chute pas...
Avant, j'étais jeune et con... Maintenant, je suis moins jeune, donc je compense !
2e ou 3e, peu importe. Notre centre de formation est devenu efficace depuis quelques années. Il y a 10 ans, c'était plutôt le désert hormis quelques coups ici ou là.
Le but du message était simplement de convenir que la ligue nous a longtemps couverts en raison du centre de formation. Et si les M21 sont à la ramasse, c'est aussi parce que nous en prenons beaucoup pour la première équipe, sans parler du pillage récurrent des plus jeunes par les clubs étrangers.
«Aucun général n'est exempt de faiblesse. Exploiter la faiblesse du conquérant assure la victoire par l'esprit.
Seul Mr. Blonde déjoue cette règle.
Ce scélérat ne naît d'aucune faiblesse. Il n'est que danger pour l'Empire."
Napoléon Bonaparte
Alexandre Alphonse, 34 ans, fait son retour en Suisse.
L'ancien attaquant français du FC Zurich a signé un contrat d'une année avec le Servette FC en Challenge League.
Il a évolué avec le Stade Brestois ces quatre dernières années.
« Les joueurs qui jouent pour l’argent ne s’impliqueront jamais autant que ceux qui jouent pour l’amour du jeux »The English Games