et l'histoire s'était répétée avant l'Euro 2004, Petric faisait partie du cadre élargit, mais il n'a pas fait partie des 23 élus...
re-pauvre Petric...
Kuzmanovic avec la serbie
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doglover964
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Il s'en est remis. Et je ne serai étonné qu'avec le niveau qu'il a maintenant, qu'il est titulaire au sein de l'équipe!doglover964 a écrit :et l'histoire s'était répétée avant l'Euro 2004, Petric faisait partie du cadre élargit, mais il n'a pas fait partie des 23 élus...
re-pauvre Petric...
Modifié en dernier par Mystik le 10.05.2007 23:17, modifié 1 fois.
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
nufc a écrit :Football: Köbi Kuhn retient Ivan Rakitic
...recevra ces prochains jours une convocation de la part de Köbi Kuhn pour affronter avec la Suisse l'Argentine le 2 juin.
Le coach national a confirmé son intention de sélectionner Rakitic pour le match du Parc St-Jacques.
(ats / 08 mai 2007 17:08)
Personnellement, ce que je trouve "extraordinaire", c'est qu'il faille attendre la venue de Bilic (Le sélectionneur croate était présent au match FC Bâle- FC Aarau samedi dernier pour justement visionner Rakitic, selon reportage de Sport Aktuell le même soir) pour que Köbi Kuhn daigne convoquer Rakitic...
Don't worry, be happy!
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Le foot suisse face à la fuite des secondos
INQUIETUDE. Après Kuzmanovic, qui a choisi la Serbie, Rakitic pourrait opter pour la Croatie. L'ASF, qui les a formés, s'indigne.
Simon Meier, Jeudi 24 mai 2007
«Je n'ai absolument rien à dire à ce sujet!» Hansruedi Hasler, directeur technique de l'Association suisse de football (ASF), semble très remonté au bout du fil. La confirmation officielle vient de tomber ce mercredi: «grâce» à l'aval définitif de la FIFA, Zdravko Kuzmanovic consacrera sa carrière internationale à la sélection serbe. Le double-national, né à Thoune le 22 septembre 1987 et transféré cet hiver du FC Bâle à la Fiorentina pour 4,8 millions de francs, a donc définitivement tourné le dos à l'équipe de Suisse. «Ça fait mal», soupire Hasler, concepteur du système de formation helvétique lancé en 1995.
La Nati, qui bénéficie depuis longtemps de l'apport des secondos élevés ou non dans le giron fédéral, fait face à un danger de plus en plus pressant: la fuite des talents binationaux vers leur pays d'origine. Dépassée sur le cas Kuzmanovic, l'ASF craint de devoir laisser filer Ivan Rakitic. Le meneur de jeu croato-suisse se tâte et dit avoir besoin de se sentir désiré. Les dirigeants helvétiques ne se montrent-ils pas assez convaincants? «Que peut-on faire de plus», rétorque Hansruedi Hasler. «Nous avons tout mis en œuvre pour qu'Ivan progresse, il a été appelé en sélection dès les «M16», intégré au projet Footuro (ndlr: suivi individuel destiné à optimiser la carrière de 33 jeunes talents en collaboration avec leur club), et Köbi Kuhn a rencontré ses parents pour la première fois alors qu'il avait 18 ans. Si une visite de deux jours du sélectionneur croate suffit à faire pencher la balance, je n'y comprends plus rien...»
Rakitic se dit reconnaissant envers les gens qui l'ont formé. Mais à l'heure de trancher, d'autres paramètres entrent en ligne de compte. L'argent? «Dès les M15, un joueur nous coûte 25000 francs par année et nous nous refusons à verser davantage», reprend Hasler. «Ils disent tous que l'aspect financier n'importe pas mais si un jeune né en Suisse, qui y a tous ses amis et sa famille, finit par opter pour la Croatie, dites-moi quel autre argument logique a bien pu l'influencer!» Le cœur? «Je comprends très bien que les parents tiennent à leurs racines, mais Ivan a toutes ses attaches en Suisse.»
Le directeur technique de l'ASF fustige «une injustice incroyable, par la faute d'un règlement complètement débile». Depuis que la FIFA a modifié ses statuts, en 2003, un jeune a jusqu'à 21 ans pour choisir son maillot, tant qu'il ne dispute pas un match officiel avec l'équipe A. Auparavant, un sélectionné en M17 ne pouvait plus changer d'avis. «La Suisse, comme l'Allemagne, la France ou d'autres nations à forte immigration, le paie cher», déplore Hasler. «On pourrait au moins nous verser des indemnités de formation, comme c'est le cas entre clubs.»
Concernant Ivan Rakitic, tout espoir n'est pas encore perdu. «Pour le match du 2 juin contre l'Argentine, il a évoqué le mariage de son frère (ndlr: Dejan, par ailleurs son agent). Il est témoin et vu l'importance que revêt la famille en Croatie, nous comprenons parfaitement sa position», dit Hasler. «Nous allons continuer à lui parler et essayer de le convaincre en vue de la rencontre du mois d'août face aux Pays-Bas.»
Christian Gross, son coach à Bâle, lui a conseillé la Suisse. Mais Mladen Petric, le «grand frère» qui l'a pris sous son aile, a fait le choix inverse et est aujourd'hui l'attaquant vedette de la Croatie. Zorislav Srebric, secrétaire général de la fédération, s'est récemment déclaré très optimiste quant à la probabilité de voir les deux hommes sous le maillot national...
Le choix cornélien d'Ivan Rakitic: «Je dois penser à moi»
Le joyau croate, serti.
Jeans, tee-shirt blanc col en V, brosse blonde et dégaine relax. Ivan Rakitic, 19 ans, a les allures d'un ado ordinaire; et la prestance d'un routinier. Le meneur de jeu du FC Bâle ne semble pas souffrir de sa notoriété subite, des nombreuses sollicitations dont il est l'objet. Au contraire, il savoure. En cas de faux pas du FC Zurich face à Grasshopper, le jeune homme pourrait fêter ce soir son premier titre de champion national. Il remportera peut-être, le lundi de Pentecôte face au FC Lucerne, la finale de la Coupe de Suisse. Lui, le Croate né et façonné dans l'Argovie profonde. Köbi Kuhn, sélectionneur helvétique en mal d'allant offensif, en rêve. Mais son homologue de Zagreb, Slaven Bilic, le drague au moins autant. Le voilà tenaillé par un choix cornélien: son talent doit-il épouser les couleurs de la mère patrie ou celles de son pays d'adoption?
Le Temps: Que ferez-vous le 2 juin prochain, jour du match amical Suisse-Argentine et de la rencontre qualificative pour l'Euro 2008 entre l'Estonie et la Croatie?
Ivan Rakitic:(Sourire). Je serai en vacances. Je n'accepterai aucune des deux sélections. Je prendrai ma décision fin juin.
- Où irez-vous en vacances?
- En Croatie, comme d'habitude, et ensuite un peu plus loin.
- Comment vivez-vous la situation?
- Avec fierté. C'est un honneur d'être sollicité comme ça par deux pays. Cela signifie que je suis sur la bonne voie. Mais les gens doivent me comprendre. J'ai besoin de temps et de tranquillité pour me décider.
- Vous sentez-vous Suisse ou Croate?
- Je suis un Croate qui a passé toute sa vie en Suisse et qui s'y sent très bien.
- Quand avez-vous vu Köbi Kuhn et Slaven Bilic pour la dernière fois?
- J'ai vu Slaven Bilic il y a deux jours (ndlr: dimanche), et Köbi Kuhn avant le match contre Lucerne (samedi dernier). Le timing n'a pas d'importance. Nous avons eu de bonnes conversations des deux côtés, mais aucune promesse n'a été faite. Je dois savoir où je me sentirai bien, à ma place. Je dois sentir qu'on compte sur moi.
- Vous auriez pu disputer le Suisse-Argentine sans fermer la porte à la Croatie, puisqu'il s'agit d'un match amical...
- Lorsque je jouerai une fois pour l'une ou l'autre sélection, ce sera la bonne.
- Beaucoup de gens doivent chercher à vous influencer...
- Oui, et c'est une situation très spéciale. J'en rigole. Cette décision, je ne la prendrai qu'une fois dans la vie. Je dois penser à moi.
- Qu'en disent vos parents?
- Quoi que je fasse, ils me soutiendront.
- La baisse de forme actuelle de l'équipe de Suisse pèse-t-elle dans votre réflexion?
- Non, cela ne m'influence pas. Lorsque je m'engagerai, mon choix portera, je l'espère, sur dix ou quinze ans de carrière.
- Déjà en tête de son groupe qualificatif, la Croatie serait proche de l'Euro en gagnant ses deux matches début juin...
- (Sourire). Je suivrai attentivement ces matches. Mais je regarderai aussi le Suisse-Argentine.
- En attendant, le FC Bâle et vous-même êtes toujours en course pour le doublé Coupe-Championnat. Comment gérez-vous tout cela?
- Les choses sont allées très vite. Pour ma première saison en Super League, je suis confronté à beaucoup de tension et de nervosité. Mais c'est pour cela que je joue, que je travaille. Cette pression, en fait, j'en ai toujours rêvé. Je donne tout pour le football. C'est ma vie.
- Comment envisagez-vous le dénouement du championnat?
- Pour nous, la situation est difficile. Nous devons d'abord nous concentrer sur notre match et battre Young Boys. Ensuite, il ne restera plus qu'à espérer. Grasshopper vient de changer d'entraîneur et je ne pense pas qu'il ait très envie de voir ses rivaux du FC Zurich fêter le titre de champion sur la pelouse du Hardturm... Je sais que GC donnera tout.
- L'affaire Muntwiler, qui a permis à Zurich de récupérer deux points sur le tapis vert, constitue-t-elle un sujet de conversation dans le vestiaire bâlois?
- Oui, bien sûr qu'on en parle. Mais on ne peut plus rien y changer, nous devons vivre avec ça. En principe, nous devrions être en tête du championnat à l'heure actuelle. Et si Zurich était sacré pour un point jeudi soir, ce ne serait pas très correct.
Quelques binationaux célèbres
Ils ont choisi la Suisse: Tranquillo Barnetta, Valon Behrami, Diego Benaglio, Ricardo Cabanas, Fabio Coltorti, Johan Djourou, Blerim Dzemaili, Gökhan Inler, Philippe Senderos, Ciriaco Sforza, Boris Smiljanic, Kubilay Türkyilmaz, Johan Vonlanthen, Murat et Hakan Yakin.
Ils ont opté pour leur pays d'origine: Roberto Di Matteo (Italie), Massimo Gottardi (Italie), Zdravko Kuzmanovic (Serbie), Mladen Petric (Croatie).
INQUIETUDE. Après Kuzmanovic, qui a choisi la Serbie, Rakitic pourrait opter pour la Croatie. L'ASF, qui les a formés, s'indigne.
Simon Meier, Jeudi 24 mai 2007
«Je n'ai absolument rien à dire à ce sujet!» Hansruedi Hasler, directeur technique de l'Association suisse de football (ASF), semble très remonté au bout du fil. La confirmation officielle vient de tomber ce mercredi: «grâce» à l'aval définitif de la FIFA, Zdravko Kuzmanovic consacrera sa carrière internationale à la sélection serbe. Le double-national, né à Thoune le 22 septembre 1987 et transféré cet hiver du FC Bâle à la Fiorentina pour 4,8 millions de francs, a donc définitivement tourné le dos à l'équipe de Suisse. «Ça fait mal», soupire Hasler, concepteur du système de formation helvétique lancé en 1995.
La Nati, qui bénéficie depuis longtemps de l'apport des secondos élevés ou non dans le giron fédéral, fait face à un danger de plus en plus pressant: la fuite des talents binationaux vers leur pays d'origine. Dépassée sur le cas Kuzmanovic, l'ASF craint de devoir laisser filer Ivan Rakitic. Le meneur de jeu croato-suisse se tâte et dit avoir besoin de se sentir désiré. Les dirigeants helvétiques ne se montrent-ils pas assez convaincants? «Que peut-on faire de plus», rétorque Hansruedi Hasler. «Nous avons tout mis en œuvre pour qu'Ivan progresse, il a été appelé en sélection dès les «M16», intégré au projet Footuro (ndlr: suivi individuel destiné à optimiser la carrière de 33 jeunes talents en collaboration avec leur club), et Köbi Kuhn a rencontré ses parents pour la première fois alors qu'il avait 18 ans. Si une visite de deux jours du sélectionneur croate suffit à faire pencher la balance, je n'y comprends plus rien...»
Rakitic se dit reconnaissant envers les gens qui l'ont formé. Mais à l'heure de trancher, d'autres paramètres entrent en ligne de compte. L'argent? «Dès les M15, un joueur nous coûte 25000 francs par année et nous nous refusons à verser davantage», reprend Hasler. «Ils disent tous que l'aspect financier n'importe pas mais si un jeune né en Suisse, qui y a tous ses amis et sa famille, finit par opter pour la Croatie, dites-moi quel autre argument logique a bien pu l'influencer!» Le cœur? «Je comprends très bien que les parents tiennent à leurs racines, mais Ivan a toutes ses attaches en Suisse.»
Le directeur technique de l'ASF fustige «une injustice incroyable, par la faute d'un règlement complètement débile». Depuis que la FIFA a modifié ses statuts, en 2003, un jeune a jusqu'à 21 ans pour choisir son maillot, tant qu'il ne dispute pas un match officiel avec l'équipe A. Auparavant, un sélectionné en M17 ne pouvait plus changer d'avis. «La Suisse, comme l'Allemagne, la France ou d'autres nations à forte immigration, le paie cher», déplore Hasler. «On pourrait au moins nous verser des indemnités de formation, comme c'est le cas entre clubs.»
Concernant Ivan Rakitic, tout espoir n'est pas encore perdu. «Pour le match du 2 juin contre l'Argentine, il a évoqué le mariage de son frère (ndlr: Dejan, par ailleurs son agent). Il est témoin et vu l'importance que revêt la famille en Croatie, nous comprenons parfaitement sa position», dit Hasler. «Nous allons continuer à lui parler et essayer de le convaincre en vue de la rencontre du mois d'août face aux Pays-Bas.»
Christian Gross, son coach à Bâle, lui a conseillé la Suisse. Mais Mladen Petric, le «grand frère» qui l'a pris sous son aile, a fait le choix inverse et est aujourd'hui l'attaquant vedette de la Croatie. Zorislav Srebric, secrétaire général de la fédération, s'est récemment déclaré très optimiste quant à la probabilité de voir les deux hommes sous le maillot national...
Le choix cornélien d'Ivan Rakitic: «Je dois penser à moi»
Le joyau croate, serti.
Jeans, tee-shirt blanc col en V, brosse blonde et dégaine relax. Ivan Rakitic, 19 ans, a les allures d'un ado ordinaire; et la prestance d'un routinier. Le meneur de jeu du FC Bâle ne semble pas souffrir de sa notoriété subite, des nombreuses sollicitations dont il est l'objet. Au contraire, il savoure. En cas de faux pas du FC Zurich face à Grasshopper, le jeune homme pourrait fêter ce soir son premier titre de champion national. Il remportera peut-être, le lundi de Pentecôte face au FC Lucerne, la finale de la Coupe de Suisse. Lui, le Croate né et façonné dans l'Argovie profonde. Köbi Kuhn, sélectionneur helvétique en mal d'allant offensif, en rêve. Mais son homologue de Zagreb, Slaven Bilic, le drague au moins autant. Le voilà tenaillé par un choix cornélien: son talent doit-il épouser les couleurs de la mère patrie ou celles de son pays d'adoption?
Le Temps: Que ferez-vous le 2 juin prochain, jour du match amical Suisse-Argentine et de la rencontre qualificative pour l'Euro 2008 entre l'Estonie et la Croatie?
Ivan Rakitic:(Sourire). Je serai en vacances. Je n'accepterai aucune des deux sélections. Je prendrai ma décision fin juin.
- Où irez-vous en vacances?
- En Croatie, comme d'habitude, et ensuite un peu plus loin.
- Comment vivez-vous la situation?
- Avec fierté. C'est un honneur d'être sollicité comme ça par deux pays. Cela signifie que je suis sur la bonne voie. Mais les gens doivent me comprendre. J'ai besoin de temps et de tranquillité pour me décider.
- Vous sentez-vous Suisse ou Croate?
- Je suis un Croate qui a passé toute sa vie en Suisse et qui s'y sent très bien.
- Quand avez-vous vu Köbi Kuhn et Slaven Bilic pour la dernière fois?
- J'ai vu Slaven Bilic il y a deux jours (ndlr: dimanche), et Köbi Kuhn avant le match contre Lucerne (samedi dernier). Le timing n'a pas d'importance. Nous avons eu de bonnes conversations des deux côtés, mais aucune promesse n'a été faite. Je dois savoir où je me sentirai bien, à ma place. Je dois sentir qu'on compte sur moi.
- Vous auriez pu disputer le Suisse-Argentine sans fermer la porte à la Croatie, puisqu'il s'agit d'un match amical...
- Lorsque je jouerai une fois pour l'une ou l'autre sélection, ce sera la bonne.
- Beaucoup de gens doivent chercher à vous influencer...
- Oui, et c'est une situation très spéciale. J'en rigole. Cette décision, je ne la prendrai qu'une fois dans la vie. Je dois penser à moi.
- Qu'en disent vos parents?
- Quoi que je fasse, ils me soutiendront.
- La baisse de forme actuelle de l'équipe de Suisse pèse-t-elle dans votre réflexion?
- Non, cela ne m'influence pas. Lorsque je m'engagerai, mon choix portera, je l'espère, sur dix ou quinze ans de carrière.
- Déjà en tête de son groupe qualificatif, la Croatie serait proche de l'Euro en gagnant ses deux matches début juin...
- (Sourire). Je suivrai attentivement ces matches. Mais je regarderai aussi le Suisse-Argentine.
- En attendant, le FC Bâle et vous-même êtes toujours en course pour le doublé Coupe-Championnat. Comment gérez-vous tout cela?
- Les choses sont allées très vite. Pour ma première saison en Super League, je suis confronté à beaucoup de tension et de nervosité. Mais c'est pour cela que je joue, que je travaille. Cette pression, en fait, j'en ai toujours rêvé. Je donne tout pour le football. C'est ma vie.
- Comment envisagez-vous le dénouement du championnat?
- Pour nous, la situation est difficile. Nous devons d'abord nous concentrer sur notre match et battre Young Boys. Ensuite, il ne restera plus qu'à espérer. Grasshopper vient de changer d'entraîneur et je ne pense pas qu'il ait très envie de voir ses rivaux du FC Zurich fêter le titre de champion sur la pelouse du Hardturm... Je sais que GC donnera tout.
- L'affaire Muntwiler, qui a permis à Zurich de récupérer deux points sur le tapis vert, constitue-t-elle un sujet de conversation dans le vestiaire bâlois?
- Oui, bien sûr qu'on en parle. Mais on ne peut plus rien y changer, nous devons vivre avec ça. En principe, nous devrions être en tête du championnat à l'heure actuelle. Et si Zurich était sacré pour un point jeudi soir, ce ne serait pas très correct.
Quelques binationaux célèbres
Ils ont choisi la Suisse: Tranquillo Barnetta, Valon Behrami, Diego Benaglio, Ricardo Cabanas, Fabio Coltorti, Johan Djourou, Blerim Dzemaili, Gökhan Inler, Philippe Senderos, Ciriaco Sforza, Boris Smiljanic, Kubilay Türkyilmaz, Johan Vonlanthen, Murat et Hakan Yakin.
Ils ont opté pour leur pays d'origine: Roberto Di Matteo (Italie), Massimo Gottardi (Italie), Zdravko Kuzmanovic (Serbie), Mladen Petric (Croatie).
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
je ne veux pas passer pour un raciste...mais il y a certains faits qui doivent être mis en lumière.
lorsque les personnes originaires de l'ex yougoslavie font l'objet de décision de renvoi, alors on en a plein les jouraux tant c'est un drame pour elles de devoir rentrer dans leur patrie d'origine, tant pour elles elles se sentent suisses et j'en passe et des meilleures.
lorsque c'est même personne peuvent tout à coup faire la fierté de leur patrie d'origine, leur patrie d'adoption qui leur a tout donné ne rentre même plus en ligne de compte.
conclusion: la suisse est une vache à lait, juste bonne à être traite aux yeux de la grande majorité des personnes venues de l'étranger et en particulier des pays slaves....la preuve dans la bouche de rakitic...qui dit avoir besoin de se sentir désiré...comprenez par là que ce qu'il veut c'est du cash pour jouer sous nos couleurs...
franchement qu'ils aillent au bois et qu'à l'avenir, on fasse signer une convention de formation aux parents de ces joueurs, convention qui sera ratifiée par ceux-ci dès l'âge de 18 ans.
faut les prendre par ou ils comprennent...la pompe à blé.
lorsque les personnes originaires de l'ex yougoslavie font l'objet de décision de renvoi, alors on en a plein les jouraux tant c'est un drame pour elles de devoir rentrer dans leur patrie d'origine, tant pour elles elles se sentent suisses et j'en passe et des meilleures.
lorsque c'est même personne peuvent tout à coup faire la fierté de leur patrie d'origine, leur patrie d'adoption qui leur a tout donné ne rentre même plus en ligne de compte.
conclusion: la suisse est une vache à lait, juste bonne à être traite aux yeux de la grande majorité des personnes venues de l'étranger et en particulier des pays slaves....la preuve dans la bouche de rakitic...qui dit avoir besoin de se sentir désiré...comprenez par là que ce qu'il veut c'est du cash pour jouer sous nos couleurs...
franchement qu'ils aillent au bois et qu'à l'avenir, on fasse signer une convention de formation aux parents de ces joueurs, convention qui sera ratifiée par ceux-ci dès l'âge de 18 ans.
faut les prendre par ou ils comprennent...la pompe à blé.
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
-
fab
