FC Sion 4 ever

Arnaud peux-tu nous faire un copier coller de l'article car pas abonné... merci

Trapattoni intéressé, ne veut pour l'instant pas quitter l'équipe du Vatican. Peut-être au printemps...

http://www.ticinonews.ch/sport/181786/l ... trapattoni

Le technicien français remplit les critères d'admission fixés par Christian Constantin avant la victoire contre Grasshopper.

Laurent Roussey réussit son premier examen. Sans s'enflammer. La victoire contre Gras shopper dimanche se limite à une épreuve partielle qui n'en traînera aucune annotation dans le bulletin de notes final. Chris tian Constantin ne l'inscrira même pas dans une évaluation mensuelle provisoire. Même si une lecture de la performance sédunoise, basée sur les vérités présidentielles assénées en semaine, le confortera dans l'analyse qui l'a incité à rapatrier le technicien français.

Il relance les bannis
Les recrues: "Avant de condamner les joueurs recrutés cet été, utilisons-les" , avait riposté Christian Constantin en répon se aux performances mitigées des nouveaux éléments.

Il ne reprochera pas à Laurent Roussey d'avoir ignoré les ressources mises à sa disposition pour cette première. Yartey, Ru fli et Bühler apparaissent dans le onze de départ après plusieurs semaines de mise à l'écart ou de banc de touche. "Ce n'était pas un pari. Faire appel à eux était plus facile pour moi parce que je les connais" , confie l'entraîneur du FC Sion. "Mon choix aurait été plus compliqué si les éléments qui avaient disposé d'un faible temps de jeu jusque-là avaient été des inconnus. L'idée de faire appel à leur envie de revanche aurait demandé plus de réflexion. Je n'aurais pas eu des certitudes sur leur potentiel. Ma causerie a rappelé à Yartey et à Rufli qu'ils avaient joué un rôle majeur dans la qualifi cation européenne obtenue par Servette qui était néo-promu et que je comptais sur eux. Vincent a été international. Je lui ai demandé s'il avait envie de retrouver ce statut. Ce sont des mots, des arguments à exploiter."

Bühler et les deux anciens Gre nat ont disputé l'intégralité de la rencontre contre GC. "Les indications que m'a fournies Amar (ndlr. Boulimat, le préparateur physique de l'équipe sédunoise) avaient effacé les craintes que je pouvais nourrir sur leur capacité à tenir nonante minutes. Ce sont de gros moteurs."

Roussey n'attend pas la pause pour agir
Assifuah enfile son premier maillot de titulaire en championnat. "Quand j'ai découvert sa vitesse de course lors de l'opposition interne que nous avons mise en place mercredi, j'ai tout de suite voulu exploiter cet atout." Le jeu ne Ghanéen remercie de la confiance témoignée avec un but plein de sang-froid pour ouvrir la marque.

La lecture du match: Cons tantin avait rappelé en semaine l'un des principes défendus par Giovanni Trapattoni. "Un entraîneur doit apporter quelque chose en cours de match."

Roussey n'attend pas la pause pour agir et modifier son équipe. Perrier relaye Basha à quatre minutes du retour provisoire aux vestiaires. "Il ne faut pas y voir un échec du joueur" , motive le nouveau patron de l'équipe sédunoise. "Au-delà de quelques pertes de balle, Vullnet a levé le pied dans un duel tout proche de nos dix-huit mètres. L'avertissement subi en début de match (ndlr. à la 6e minute) l'incitait à une certaine retenue. Dans sa position et par rapport à l'esprit que je souhaitais de mon groupe, continuer avec un élément qui n'ose plus y aller franchement n'était pas possible. Le groupe avait besoin d'un élément agressif, qui avance sur le ballon. Mais cette mesure n'est pas une sanction. Elle est ponctuelle, elle se prend pour l'intérêt général. Je l'ai expliquée au joueur ce matin."

Peu avant l'heure de jeu, Ndoye s'installe devant la défense pour permettre à Kouassi et Perrier de presser plus haut dans le terrain. "L'idée était de passer en 4-1-4-1 en mettant une présence athlétique dans l'axe et en montant deux éléments avec du jus afin de percuter GC qui évoluait plus haut et qui imposait sa maîtrise technique."

LE CAS VIDOSIC
"J'ai demandé à mon staff combien de temps lui sera nécessaire pour détruire Vidosic" , s'était plaint Constantin. L'Australien apparaît revigoré par la rocade à la tête de la formation sédunoise. Son ouverture décisive sur le but d'Assifuah est un modèle. Il offre le 2-0 sur le plat du pied de Yartey qui n'appuie pas suffisamment sa reprise et se heurte à un arrêt sensationnel de Bürki qui détourne sa reprise de la tête. "Il va vite, sa prise de balle est excellente, tout comme son dribble. Je me dis que nous pourrions exploiter ces qualités plus haut dans le terrain" , analyse Roussey. "Il faut trouver quelqu'un capable de servir Dario dans de bonnes conditions, un élément au registre plus technique qui soit l'homme de la dernière passe. Herea ressemble à ce profil. Peut-il s'y exprimer pleinement ?" La réponse à cette interrogation permettrait au nouvel entraîneur de l'équipe sédunoise de corriger l'une des carences relevées face à GC. "Nous devons avoir plus de maîtrise du ballon dans le coeur du jeu. Il faut que nous gérions mieux le jeu lorsque nous menons à la marque. C'est le bémol du match." Le correctif pourrait intervenir dès samedi contre Lucerne à Tourbillon. "Une victoire facilite la transmission du message" , se réjouit Roussey. SF

Petite info sur Margairaz !!

http://www.lematin.ch/sports/football/m ... y/31117653

Voici le texte de l'article du matin du jour sur Vidosic (version papier)

«JE VEUX TOUJOURS LE BALLON»

Le meneur de jeu croato-australien du FC Sion, DARIO VIDOSIC, n’a pas encore goûté la fondue. Mais, amoureux du ballon, il sent qu’il y a de quoi faire en Valais.

Dario Vidosic, qu’avez-vous ressenti quand soudain, dimanche contre Grasshopper, le FC Sion s’est mis à jouer au football?
Quand tu aimes jouer au football, avoir du plaisir sur un terrain, c’est toujours un bon sentiment. Ce qu’on a fait était bien, mais il y a encore beaucoup de choses à améliorer. Si on continue comme contre GC, on pourra battre n’importe quelle équipe dans cette ligue. L’écart est peut-être un peu trop grand avec Bâle, mais nous avons de quoi très bien faire, on sait maintenant qu’on peut battre les meilleurs.

Durant ces trois premiers mois en Valais, avez-vous parfois éprouvé du désespoir?
Non, j’y ai toujours cru. C’est la chose la plus importante: croire en ce que nous pouvons accomplir. Là, nous sommes quelques points derrière les autres, mais la route est encore longue. Il suffirait de quelques victoires pour vite remonter. Donc il faut bosser à l’entraînement et y croire.

Entre Sion et l’équipe d’Australie, vous avez perdu deux coaches en quelques jours. Comment l’avez-vous vécu?
C’est toujours triste quand un entraîneur s’en va, parce que ce sont eux qui vous ont pris. C’est Michel Decastel qui m’a donné ma chance ici, je lui en suis reconnaissant. Après, on connaît le business, lui s’en va et l’équipe doit continuer à travailler.

Vous sentez-vous coupable, en un sens, en tant que joueur?
Un peu, je pense, oui. On veut toujours donner notre meilleur, après, je ne sais pas ce qui se passe, mais des fois ça se passe.

Aviez-vous entendu parler de Sion avant de signer?
J’ai parlé à Aurelio Vidmar (ndlr: qui passa la saison 1995-96 en Valais) . Il m’a dit: «Tu dois absolument y aller, tu vas adorer.» Il m’a dit que c’était une toute petite ville, très belle, avec des montagnes autour, que le football y était important, avec un président passionné, qui donne tout pour son équipe. Il m’a dit aussi que si j’avais la chance d’aller en finale de Coupe, je ferais une belle expérience. Après cette discussion, c’était décidé, j’étais prêt à partir.

Trois mois plus tard, qu’est-ce qui vous a le plus surpris?
Ici? Rien ne m’a vraiment surpris. J’aime le temps que je passe ici et j’espère que nous allons vite remonter au classement. On s’avance vers deux bons matches contre Lucerne, l’un devant notre public en championnat (samedi) et l’autre chez eux, en Coupe (le 10 novembre). Je connais les statistiques de Sion dans cette compétition. Or si on gagne ce match-là, on ne sera plus qu’à deux parties de la finale. Tout peut arriver et comme footballeur, il n’y a rien de plus beau que de soulever un trophée.

En vous voyant jouer, on sent que vous aimez le ballon. Parlez nous de votre relation à cet objet?
Je veux toujours le ballon, l’avoir près de moi. Même quand on fait de la course à l’entraînement, je le veux. Si je ne l’ai pas, je deviens très frustré, fâché. Mais je comprends aussi que pour l’avoir, dans un match, il faut aussi bosser dur pour le récupérer. Vous savez, quand je quitte le terrain, je ne peux être heureux que si mon équipe a bien joué, si on a eu le ballon et si on s’est créé des occasions. Je ne peux pas être content après un match où j’ai couru après, comme contre Thoune. J’ai besoin d’avoir le ballon, d’être créatif.

Avez-vous déjà testé la fondue?
Non, pas encore.

Peur?
Non, mais je n’ai pas eu l’occasion. Je goûterai, mais je ne suis pas spécialement impatient.

Lors de votre séjour allemand (2007-11), Nuremberg vous avait prêté à Duisbourg et à Bielefeld. Pour un kangourou de Croatie, ça a dû être un sacré choc culturel, non?
C’était bien. J’étais là-bas pour le football. Le seul truc, au début, c’était d’apprendre la langue (ndlr: il parle bien allemand) , comme c’est le cas aussi depuis que je suis à Sion. Je suis ici comme je l’étais là-bas pour le football, j’apprends la base d’une langue et je fais attention à mon corps. Je me relaxe, je prends les choses tranquille et je me tiens prêt pour le prochain entraînement. Je bosse et je me réjouis du week-end, du match, avec la foule. C’est ce que nous aimons faire, c’est ce sur quoi je me concentre.

Tout ça sonne très pro… Etes-vous aussi sérieux que ça?
Oui, il faut l’être. C’est notre boulot de prendre soin de nous pour être performants le week-end. Chaque fois que je vais sur un terrain, j’ai envie d’être le meilleur joueur, pour moi-même et pour mon équipe. J’ai envie de marquer, de faire des passes décisives, de défendre, de faire tout ce qui est possible. Tu ne sais jamais, tu ne joueras peut-être plus… Je prends chaque match comme si c’était le dernier, en essayant d’être meilleur que lors du précédent. Le foot, c’est quelque chose qu’on aime, on a grandi là-dedans. Peu de gens ont cette chance d’avoir une passion pour métier, il faut la prendre comme une bénédiction.

TEXTE: SIMON MEIER,

Oldbast a écrit :Petite info sur Margairaz !!

http://www.lematin.ch/sports/football/m ... y/31117653

Article dans la pure ligne du matin...
pas très clair tout ca...

Ils disent non reconduction de son contrat
plus payé
mais sous contrat jusqu'en 2015

il faut qu'un juriste m'explique comment tout ca peut etre simultané ou alors CC a des dieux comme avocats pour lui boucler ses contrats....

Sans être juriste et au risque de me tromper. Je pense que cela signifie tout simplement que Xavier n'est plus payé car il ne travaille plus pour le club. Il ne s'entraîne plus avec l'équipe de Sion et n'a pas participé à aucun match. Par contre, dans le contexte particulier du football, tant qu'il n'y aura pas eu de rupture de contrat ou de rachat du contrat par un club tiers, son contrat le liant au FC Sion jusqu'en 2015 l'empêchera de joueur pour un autre club. Voilà comment je le comprends.

coach a écrit :Sans être juriste et au risque de me tromper. Je pense que cela signifie tout simplement que Xavier n'est plus payé car il ne travaille plus pour le club. Il ne s'entraîne plus avec l'équipe de Sion et n'a pas participé à aucun match. Par contre, dans le contexte particulier du football, tant qu'il n'y aura pas eu de rupture de contrat ou de rachat du contrat par un club tiers, son contrat le liant au FC Sion jusqu'en 2015 l'empêchera de joueur pour un autre club. Voilà comment je le comprends.

C'est également ma lecture et ce qui me fait dire que Margairaz était la contre-partie permettant de récupérer Laurent Roussey.

uranus2011 a écrit :http://www.20min.ch/ro/sports/football/ ... --22162745

Je suis très content pour Assifuah, car ce jeune a un potentiel énorme et la tête sur les épaules. Je reste convaincu qu'un Roussey saura en tirer profit et je me réjouis de le revoir à l'oeuvre ... souvent.

Vivement demain soir, j'ai hâte de me retrouver à Tourbillon.

Ouais trop heureux de retrouver ces joueurs à leurs meilleurs niveaux me réjouis aussi d'être demain à tourbillon pour voir ce match que j'espère dans la continuité du week end dernier.

Roussey a la classe mondiale quand même et à su parler aux joueurs!! Peut-être qu'on retrouvera aussi Herrea à son meilleur niveau et Christofi ça va être super!!

smile66 a écrit :

coach a écrit :Sans être juriste et au risque de me tromper. Je pense que cela signifie tout simplement que Xavier n'est plus payé car il ne travaille plus pour le club. Il ne s'entraîne plus avec l'équipe de Sion et n'a pas participé à aucun match. Par contre, dans le contexte particulier du football, tant qu'il n'y aura pas eu de rupture de contrat ou de rachat du contrat par un club tiers, son contrat le liant au FC Sion jusqu'en 2015 l'empêchera de joueur pour un autre club. Voilà comment je le comprends.

C'est également ma lecture et ce qui me fait dire que Margairaz était la contre-partie permettant de récupérer Laurent Roussey.

De source fiable, Margairaz ne touche effectivement plus de salaire de Sion. (il sont actuellement en litige, CC estime qu'il aurait commis une "faute garve" en rapport du droit suisse du travail et le joueur se défends de remplir tout les critère de l'employé modèle).

Ce qui est sûr c'est que CC ne le laissera pas partir sans dédommagement (tant qu'il a un contrat avec Sion). Si la justice casse le contrat de travail, CC ne touchera rien. Mais de procédure en procédure ça peut durer longtemps. CC à le temps et l'argent !!!!

Dommage pour les deux partie quand on pense au début de saison passée de Xavier. Détruire un joueur simplement parce qu'il a laisser parler ses émotions, c'est pas super Fair-Play. Mais essayer de menacer votre patron et on verra si il ne vous le fait pas payer avec tout les moyens dont il dispose... Quand même un fourbe ce CC, business is business §-)

Dans tout les cas Margairaz n'a pas été une monnaie d'échange, car si c'était le cas, tout serait déjà réglé. Au contraire Alain-Joseph a peut-être mal joué le coup et aurait dû profiter de l'intérêt de Sion pour LR.

Pas facile de jouer au poker menteur avec CC

Oldbast a écrit :

smile66 a écrit :

coach a écrit :Sans être juriste et au risque de me tromper. Je pense que cela signifie tout simplement que Xavier n'est plus payé car il ne travaille plus pour le club. Il ne s'entraîne plus avec l'équipe de Sion et n'a pas participé à aucun match. Par contre, dans le contexte particulier du football, tant qu'il n'y aura pas eu de rupture de contrat ou de rachat du contrat par un club tiers, son contrat le liant au FC Sion jusqu'en 2015 l'empêchera de joueur pour un autre club. Voilà comment je le comprends.

C'est également ma lecture et ce qui me fait dire que Margairaz était la contre-partie permettant de récupérer Laurent Roussey.

De source fiable, Margairaz ne touche effectivement plus de salaire de Sion. (il sont actuellement en litige, CC estime qu'il aurait commis une "faute garve" en rapport du droit suisse du travail et le joueur se défends de remplir tout les critère de l'employé modèle).

Ce qui est sûr c'est que CC ne le laissera pas partir sans dédommagement (tant qu'il a un contrat avec Sion). Si la justice casse le contrat de travail, CC ne touchera rien. Mais de procédure en procédure ça peut durer longtemps. CC à le temps et l'argent !!!!

Dommage pour les deux partie quand on pense au début de saison passée de Xavier. Détruire un joueur simplement parce qu'il a laisser parler ses émotions, c'est pas super Fair-Play. Mais essayer de menacer votre patron et on verra si il ne vous le fait pas payer avec tout les moyens dont il dispose... Quand même un fourbe ce CC, business is business §-)

Dans tout les cas Margairaz n'a pas été une monnaie d'échange, car si c'était le cas, tout serait déjà réglé. Au contraire Alain-Joseph a peut-être mal joué le coup et aurait dû profiter de l'intérêt de Sion pour LR.

Pas facile de jouer au poker menteur avec CC

MARGAIRAZ S’ENTRAÎNE AU FC LAUSANNE-SPORT
01.11.2013 - Sans équipe depuis la fin de la saison dernière, l’ex-international Xavier Margairaz (29) s’entraîne depuis mardi avec le FC Lausanne-Sport. Le meneur de jeu est-il sérieusement susceptible de renforcer son club formateur? «Nous avons envie de collaborer avec lui depuis longtemps», ne cache pas le président Alain Joseph, lequel s’entretiendra avec l’ancien Sédunois dans les prochains jours.
Site de la ligue

Oldbast a écrit :

smile66 a écrit :

coach a écrit :Sans être juriste et au risque de me tromper. Je pense que cela signifie tout simplement que Xavier n'est plus payé car il ne travaille plus pour le club. Il ne s'entraîne plus avec l'équipe de Sion et n'a pas participé à aucun match. Par contre, dans le contexte particulier du football, tant qu'il n'y aura pas eu de rupture de contrat ou de rachat du contrat par un club tiers, son contrat le liant au FC Sion jusqu'en 2015 l'empêchera de joueur pour un autre club. Voilà comment je le comprends.

C'est également ma lecture et ce qui me fait dire que Margairaz était la contre-partie permettant de récupérer Laurent Roussey.

De source fiable, Margairaz ne touche effectivement plus de salaire de Sion. (il sont actuellement en litige, CC estime qu'il aurait commis une "faute garve" en rapport du droit suisse du travail et le joueur se défends de remplir tout les critère de l'employé modèle).

Ce qui est sûr c'est que CC ne le laissera pas partir sans dédommagement (tant qu'il a un contrat avec Sion). Si la justice casse le contrat de travail, CC ne touchera rien. Mais de procédure en procédure ça peut durer longtemps. CC à le temps et l'argent !!!!

Dommage pour les deux partie quand on pense au début de saison passée de Xavier. Détruire un joueur simplement parce qu'il a laisser parler ses émotions, c'est pas super Fair-Play. Mais essayer de menacer votre patron et on verra si il ne vous le fait pas payer avec tout les moyens dont il dispose... Quand même un fourbe ce CC, business is business §-)

Dans tout les cas Margairaz n'a pas été une monnaie d'échange, car si c'était le cas, tout serait déjà réglé. Au contraire Alain-Joseph a peut-être mal joué le coup et aurait dû profiter de l'intérêt de Sion pour LR.

Pas facile de jouer au poker menteur avec CC

@ Oldbast, en effet ton hypothèse fait du sens, bien vu et merci.

Pensées à ce supporter qui n'a malheureusement pas pu voir le match.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/sports/f ... 83-1232105
On peut que lui souhaiter un bon rétablissement pour qu'il puisse retourner au plus vite au stade.

Parait qu'il est mal pris, j’espère qu'il s'en sortira.

c_doux_nous_mMm a écrit :Pensées à ce supporter qui n'a malheureusement pas pu voir le match.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/sports/f ... 83-1232105
On peut que lui souhaiter un bon rétablissement pour qu'il puisse retourner au plus vite au stade.

D'ailleurs cette traversée de route est dangereuse a l'heure du match ! Pas de passage piéton a l'horizon....

Trilu a écrit :

c_doux_nous_mMm a écrit :Pensées à ce supporter qui n'a malheureusement pas pu voir le match.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/sports/f ... 83-1232105
On peut que lui souhaiter un bon rétablissement pour qu'il puisse retourner au plus vite au stade.

D'ailleurs cette traversée de route est dangereuse a l'heure du match ! Pas de passage piéton a l'horizon....

En même temps, on roule pas à 50/h avant le match, il y a trop de piétons.

Eventuellement avec la nuit, on peut ne pas tout voir. Mais si on ne voit pas tout, on roule douuuuuuuucement

Gattuso règle ses comptes avec Constantin

L'ancien champion du monde italien Gennaro Gattuso n'a apparemment pas gardé un excellent souvenir de son passage en Valais la saison dernière.

Dans une interview parue dans le magazine «So Foot» de ce mois novembre, Gattuso revient sur son aventure sédunoise. Pour l'ancien champion du monde italien le FC Sion "était un club complètement désorganisé. Un vrai bordel". Intronisé entraîneur-joueur durant trois mois le printemps dernier, "Rino" n'appréciait pas véritablement l'omniprésence de son président dans les vestiaires et lui a fait savoir: "Constantin voulait tout faire tout seul, même entraîner. Il me donnait des avis sur les joueurs, même devant eux. Un jour, il (ndlr: Constantin) m'a rendu tellement furieux que je l'ai pris par les couilles et l'ai sorti du vestiaire".

Dans le même entretien, le Calabrais compare Christian Constantin à l'ancien président de Marseille Bernard Tapie: "Je pense que lui aussi va avoir des problèmes, il devrait faire attention. Constantin n’est pas correct. Il me doit encore 100000 euros".

Gattuso précise finalement que Constantin "reste plus éduqué" que son dernier président Zamparini qu’il a côtoyé à Palerme avant de se faire limoger à la fin du mois de septembre.

Pas de souci pour Constantin

En Valais, Constantin ne se préocuppe guère des accusations de son ancien capitaine parue dans un média français "qui cherche à faire du buzz" et avoue toujours avoir une bonne relation avec Gattuso: "Il n'y a jamais eu de problème entre nous dans les vestiaires. Les joueurs qui étaient là peuvent le confirmer. Et, il n’y en a toujours pas maintenant qu'il n'est plus au club. La preuve, je le revois la semaine prochaine."

L'article complet dans l'édition du "Nouvelliste" du mercredi 6 novembre.

Par JT

popppins a écrit :"Il n'y a jamais eu de problème entre nous dans les vestiaires. Les joueurs qui étaient là peuvent le confirmer. Et, il n’y en a toujours pas maintenant qu'il n'est plus au club. La preuve, je le revois la semaine prochaine."

L'article complet dans l'édition du "Nouvelliste" du mercredi 6 novembre.

Par JT

Le revoir la semaine prochaine est une chose. Sûrement pas pour parler de la pluie ou du beau temps mais pour régler les comptes.

Message pour Andris:

"C'est quand que tu nous en fais une pareille?"

http://www.lematin.ch/sports/football/i ... y/14130189
Hop Sion

«Trois pauvres ensemble, ça fait pas un riche»

«Bon je vais commencer à l’heure, à 18h, je dois être à Prague»

Il est 15h et le show peut commencer. J’ai mon bloc-notes et je suis prêt à noter aussi bien les sorties cultes que les possibles informations utiles sur le club valaisan et sa gestion. Le tableau est dressé avec un slide powerpoint ronflant : «Le management de la performance à l’épreuve du sport et de l’entreprise». Le responsable de communication est assis, Constantin debout, et c’est parti. Visiblement bien préparé, notre CC cantonal se lance dans des théories sur la gestion. C’est du management 101 avec les lieux communs qui y sont rattachés :

«Il faut bâtir le succès»
«Il faut construire pierre après pierre»
«Il faut savoir saisir les opportunités»
«Pour y arriver, il faut mouiller la chemise»

L’audience s’endort peu à peu et c’est surtout la déception qui domine mais arrive le premier coup d’éclat de l’architecte martignerain. Alors qu’il est en plein discours, son responsable communication lance une vidéo à la gloire du conférencier: CC en discussion, CC sur un terrain, CC au gala, CC sur un chantier, CC en ville de Sion ou CC en train de montrer du doigt Valère. De la propagande monstrueusement délicieuse et vaniteuse sur un fond techno, un régal !

«Les dictateurs ne sont pas forcément des mauvaises personnes»

Puis arrive enfin la première question qui va détendre Tintin parti en mode automatique en assénant des théories dont l’académie peut bien se passer. «Est-il possible que Sion vive sans un mécène ?». Sur la base de cette question va se lancer un Q/A fort intéressant. On y apprend d’abord que la masse salariale de la première équipe est d’environ 350’000 frs par mois (15% du budget), ce qui peut paraître en dessous des attentes. Cependant, la restructuration du club et l’élimination des gros salaires de l’an passé laissait augurer un chiffre raisonnable mais ce montant paraît vraiment minime en sachant que Gattuso gagnait plus de 100’000 frs par mois. Ensuite, sur ses 15 ans de présidence, CC aurait injecté environ 60 millions de francs (selon ses dires). Cependant, l’architecte reconnaît qu’il s’y retrouve pas mal car, grâce à ce fric injecté, il a également réussi à signer des contrats très importants.

«Entre avoir le pognon et le donner, il y a une différence»

Puis, il attaque le transfert El Haddary. Il avoue à demi-mot que ce transfert est purement tactique pour ses affaires au Qatar. Ainsi, lors d’une réunion dans le petit pays du Golfe, il perçoit un grand intérêt de la part de son interlocuteur pour le foot africain. Ce dernier relève pourtant que le gardien égyptien n’a jamais eu sa chance en Europe malgré un talent apparent. Ni une, ni deux, Tintin engage le pharaon et dans la foulée décroche un contrat de construction de trois milliards (!) dans la région (le fameux bâtiment en forme de Cervin avec un stade juste à côté). L’audience a le droit à une nouvelle vidéo promotionnelle aux relents communistes, du grand art !

«L’argent c’est pas comme les carottes, ça pousse pas dans les champs»

Puis il parle du club de manière plus générale. Comme déjà entendu, il maintient que le bassin économique valaisan ne pourrait pas permettre au FC Sion de vivre en première division. Selon ses chiffres, 60% des sponsors viennent de ses partenaires du bureau d’architecture. Donc en plus d’injecter du pognon, CC en rapporte. «Il n’y a qu’à regarder Lausanne pour comprendre que le fric attire le fric. S’ils s’en sortent, c’est un miracle d’ailleurs». Il aborde également l’Europa League et on y apprend que le jeu n’en vaut pas forcément la chandelle pour le club valaisan notamment. «L’Europa League te coûte du pognon» mais c’est également une bonne vitrine pour ses joueurs et le club, bien que financièrement la manne est nulle voire négative. Il ajoute qu’il faudra repenser la structure de la compétition sans quoi son attrait deviendra nul aussi bien pour les grands clubs que les plus petits.

«Si t’as pas d’or, tu peux pas faire de Rolex»

Puis arrive enfin le sujet brûlant du stade. CC annonce d’emblée qu’il n’a jamais eu l’intention de construire un stade nulle part. Que ça soit au Chablais ou à Riddes, les terrains étaient des investissements commerciaux sur lesquels il a pu faire «7 ou 8 centres commerciaux». La justification vient d’un raisonnement simple, faire un stade signifie investir moins d’argent pour ses joueurs donc diminuer la possibilité de gagner des titres. Il cite Arsenal et son sevrage de titres depuis l’Emirates. Il dévoile cependant son plan concernant Tourbillon. Le boss valaisan a l’intention de laisser la municipalité de Sion continuer à payer la mise à niveau annuelle des infrastructures. Lui paie un loyer de 150’000 francs annuels pour en bénéficier. Une fois que la ville refusera de continuer à injecter l’oseille, probablement lors d’un changement de législature, alors CC proposera un deal. Il espère ainsi obtenir toutes les zones aux abords du stade pour y construire des immeubles locatifs et en échange s’engagerait à moderniser de manière conséquente, voire à reconstruire Tourbillon. «Aux abords 2017 ou 2018». Plutôt futé mais également rassurant pour les fans valaisans dont la vétusté du stade peut commencer à inquiéter.


«Gattuso, il me donne une super vitrine médiatique». Mais le problème est que le transalpin arrive avec ses problèmes oculaires. Il doit donc s’injecter quotidiennement de la cortisone pour pouvoir continuer à jouer. En contrepartie, il est obligé de courir 8 km par jour au minimum pour éliminer les calories liées aux injections («Sinon il gonfle») et de garder la forme physique pour continuer à jouer. Arrive Noël et Rino annonce au président qu’il en a «ras-le-cul» de ces injections et du rythme infernal qu’il doit assumer pour jouer des bouts de match. Il demande donc à Christian d’accélérer sa reconversion et convainc le vestiaire que c’est lui l’homme de la situation. «D’accord mais si ça marche pas, je vire tout le monde». La suite, on la connaît. Gattuso foire et CC se sépare d’un total de 27 joueurs (!). Faut pas qu’il dise qu’il n’était pas prévenu.

«Un budget de 10 millions. C’est bien si tu veux aller en Challenge League»

La fin de la conférence approche à grand pas et le jet présidentiel est déjà prêt pour rallier Prague. Les dernières questions fusent et touchent plutôt l’état actuel du club. CC avoue que Decastel est une erreur de casting. «Il a voulu faire avec la première équipe ce qu’il faisait avec les M-21». C’est également normal que ça soit tout le temps l’entraîneur qui trinque car il ne peut pas virer 30 joueurs. Il parle ensuite de ses réseaux en Afrique et de la politique de recrutement. «Un Africain, faut le sortir jeune d’Afrique» car sur place les infrastructures sont mauvaises et les talents sont ralentis dans leurs progressions. «Assifuah était à la limite». L’argent investi dans les centres de formation fini trop souvent dans la poche d’intermédiaire et on ne l’y reprendra plus à engager des Africains de 25 ans qui n’ont jamais joué ailleurs qu’en Afrique. A part pour un prochain contrat au Qatar peut-être ?

«Si tu fais un appart à Crans, faut pas faire le même qu'à Montreux»

La conférence touche à sa fin et CC fait la traditionnelle photo qui finira sur le site officiel ou Le Matin ou les deux tant qu’à faire. Sur l’heure passée, CC a balancé pas mal d’infos intéressantes tout en contournant certaines questions embarrassantes sur le cas Margairaz par exemple ou sur la gestion humaine du groupe de l’an passé. En fin rhétoricien, il a captivé l’audience par ses punchlines dont je vous laisserais une dernière sélection pour terminer cet article :

«Baulmes, c’est une anecdote. Salvi s’est emporté. Son stade, c’est comme la gare derrière Ventimiglia. Elle a beau être grande mais il n’y a aucun train qui passe».

«Des fois, il faut savoir faire de la poésie».

«Les gens de parole sont les gens les plus importants que vous pouvez avoir».

«Le sport est une chaîne de la vie».

«Il a qu’à gagner, et il y aura pas de problème» (en parlant de Roussey).



On prend ce qu'on veut de ce torchon qu'est Carton Rouge, mais il y a quand-même quelques sorties intéressantes...

Le Valais accepte de renforcer les mesures contre les hooligans

Le parlement valaisan a accepté mercredi les modifications du concordat intercantonal sur les mesures de lutte contre la violence dans les stades. Mais même si le hooliganisme est condamné, le renforcement des mesures n'a pas fait l'unanimité.

Le Grand Conseil a accepté mercredi, par 80 oui, 26 non et 9 abstentions, les modifications du concordat intercantonal pour des mesures contre les violences lors des manifestations sportives.

Les socialistes haut-valaisans ont toutefois annoncé préparer un recours, démarche déjà lancée dans d'autres cantons.

Des craintes

L'opposition à ce concordat est aussi bien venue des rangs de la gauche que de l'UDC du Haut et des élus PDC du Haut.

La socialiste Jennifer Näpfli estime que le concordat limite le droit des supporters de manière disproportionnée. Elle dénonce les contrôles des cartes d'identité de citoyens normaux lors des compétitions sportives ou des fouilles.

Le socialiste Julien Délèze émet des réserves sur la possibilité donnée à des agents de sécurité privés de pratiquer des fouilles.

Le PDC du Haut craint aussi une explosion des frais pour les clubs sportifs, regrette les interdictions d'alcool s'appliquant à tout le monde alors que seule une poignée d'hooligans causent des problèmes.

Les démocrates-chrétiens haut-valaisans sont favorables à un renforcement de la prévention et à un renforcement des punitions pour les seuls fauteurs de trouble.

Carole Furrer (PDC du Centre) approuve le concordat, mais déclare: "il ne faudrait pas que l'étape suivante soit l'obligation de la ceinture de sécurité pour les fans dans les gradins..."

Pesée d'intérêts

Le conseiller d'Etat Oskar Freysinger estime qu'il faut pratiquer une pesée d'intérêt entre la sécurité et le respect des droits individuels. Personnellement il préfère prévenir en durcissant les mesures que de devoir agir après un drame.

Il nuance certaines mesures. Par exemple, les fouilles ne pourront pas être être pratiquées de manière systématique dans un stade accueillant 12 000 supporters, mais bien dans les seuls secteurs à risque.

Rappel des faits

Pour les 18 matchs du FC Sion, l'Etat doit supporter 1,5 million de frais pour la sécurité, la Commune de Sion 0,2 million et le club un demi-million.

Lors d'un week-end de matchs 900 policiers sont mobilisés dans l'ensemble de la Suisse.

www.nouvelliste.ch


HS: mais quand tu vois la légende de la photo, t'as juste envie de pleurer!
HS2: la fin de l'alcool à Tourbillon...?!

Dimanche matin à Martigny-Bourg...

Retardé dans un premier temps avec une balade dominicale dans les rues, le départ en congé du contingent a été maintenu. Après négociations.

Les joueurs du FC Sion sont en vacances. Officiellement. Le congé a débuté hier au lendemain d'une quatrième défaite de rang, la troisième en championnat suite au revers subi à Lausanne (1-3). La semaine supplémentaire d'entraînement décrétée par Christian Constantin au coup de sifflet final est annulée au terme d'une rencontre entre les deux parties organisée durant la journée à Riddes. Les négociations débouchent sur un arrangement qui délivre les visas de départ aux joueurs. La situation paraissait pourtant bloquée en début de matinée. Au lieu de boucler les valises pour un envol sous les tropiques ou vers leur pays natal, les membres du contingent de la première équipe se sont retrouvés dans les vestiaires du centre du club à Martigny-Croix dès 7 heures. Au menu du petit-déjeuner, promenade en training dans les rues de Martigny. Et le réveil punitif aurait dû sonner aux aurores durant toute la semaine. "Ils doivent comprendre que c'est du donnant-donnant" , commente Laurent Roussey à l'heure où la sanction présidentielle demeurait en vigueur. "La performance de la deuxième période est intolérable de la part de professionnels. Des internationaux de diverses nationalités, des hommes qui gagnent bien leur vie ne peuvent pas livrer une telle prestation."

Sans révolte, ni envie, le visiteur sombre au cours de la dernière demi-heure après l'entrée en jeu de l'inspiré Pascal Feindouno. L'apport du Gui-néen et l'apathie sédunoise inversent le cours des événements favorables aux visiteurs jusqu'à cet instant grâce à un pénalty transformé par Herea dans le temps additionnel de la première mi-temps. "La réponse du terrain montre clairement que tout ce que nous avons fait à Riddes durant cette semaine ne suffit pas." Une semaine d'introspection durant laquelle tout aurait été dit, étalé et arrangé. Les paroles s'envolent et les actes restent. "Votre équipe voulait-elle gagner ce match après la mi-temps?" , demande un journaliste. "La même interrogation me préoccupe et je n'en possède pas la réponse" , avoue le technicien français. Quatre revers de rang entre coupe et championnat relèguent dans un passé très lointain les deux succès qui ont suivi son retour sur le banc de touche de Tourbillon le 20 octobre. Une série souvent synonyme de fin de parcours en Valais. "Christian fera ce qu'il doit faire. Je sais comment fonctionne le football professionnel" , reprend Roussey, serein face à la question.

Il n'est pas le premier technicien à imposer un horaire matinal. En octobre 2009, Didier Tholot avait fixé deux séances à 7 h 15 avec présence aux vestiaires dès 6 h 45 après une élimination en prolongations en coupe contre Thoune, pensionnaire de Challenge League à l'époque. "Un joueur professionnel est un privilégié qui a des devoirs. Je veux que les gars prennent conscience de ce que signifie se lever à 6 heures pour aller au boulot pour des personnes dont le salaire est sans rapport avec celui des sportifs" , avait-il motivé. Roussey utilise des mots différents. Le fond du discours est similaire.

Et le Blick:

Das war Scheisse!

Für die Leistung seiner Mannschaft beim 1:3 in Lausanne findet Sion-Boss Christian Constantin nur einen Ausdruck: «Das war Scheisse!» Sich selbst auferlegt er die Höchststrafe.
CC ratlos? Doch, doch. Das gibts. Spätestens nach dem peinlichen 1:3 beim Tabellenletzten ist es so weit: «Ich habe keine Erklärung für unsere Leistungen.»

Die erste Kurzanalyse: «Ich habe viele gute Spieler im Kader, aber keine Mannschaft. Es ist keine Kunst, gute Fussballer zu holen. Die wahre Kunst ist es, solche zu finden, die zueinander passen.» Das ist der Job des Sportchefs. Hat also CC versagt? «Sicher ist es nicht die Schuld von Coach Laurent Roussey.»

CC will der Sache nun auf den Grund gehen. «Ich werde mir alle 17 Vorrunden-Spiele nochmals anschauen. In voller Länge! Danach bin ich hoffentlich schlauer.» 17 mal 90 Minuten. Macht über 25 Stunden DVD-Studium! Woher nimmt der Business-Mann diese Zeit? CC: «Schneidet man die tote Zeit raus, verbleibt eine Stunde pro Match. Ich schaue mir vier Spiele pro Tag an. Mitte Woche bin ich durch.» Wir sind gespannt auf das Ergebnis dieser präsidialen Selbstkasteiung!

Bref:
Je n'ai pas une explication pour cette performance!
On a bcp de bonne joueurs dans notre contingent, mais pas d'équipe! C'est pas du magique de faire venir des bonne joueurs, mais c'est difficile de trouvé des joueurs qui font une équipe.
C'est pas la faute a LR!
Je vais regardé tous les match du premier tour, chaque jour 4, dans 5 jours je suis fini. J’espère d'etre plus inteligent après cette analyse et je suis curieux du résultat.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/sports/f ... 83-1245192
J'hallucine

georgeslechat a écrit :http://www.lenouvelliste.ch/fr/sports/f ... 83-1245192
J'hallucine

C'est excellent pour l'ambiance ça....

Tellement drôle, Rufli s'entraîne seul avec 5 entraîneurs. Une honte !!! On est à 12 points de l europa league donc autant dire qu'ils auront un mois de salaire en moins. Je serai les joueurs je perdrai exprès pendant un mois. Vous me direz qu'ils le font déjà non ?