FC Sion 4 ever

silicone a écrit :Un match ne se gagne pas en pensant qu'on est les plus fort, mais bien en ce disant que la défaite est toujours possible!

El-Hadary: «O
n va gagner, in cha' allah»
Essam El-Hadary: «Je souhaite sauver Sion et repartir ensuite, sans doute en Égypte»



Le FC Sion a rejoint hier l'Oberland bernois. L'Egyptien, qui sera titularisé, est certain que son club perpétuera l'histoire avec l'aide de Dieu. Dans les vestiaires, le gardien écoutera des versets du Coran

Nicolas Jacquier - le 18 mai 2009, 22h32
Le Matin

2 commentaires

Pour le FC Sion, l'opération «11e Coupe» a commencé hier à Martigny et s'achèvera demain soir, au Stade de Suisse, avec la remise d'un trophée que le capitaine Monterrubio rêve de présenter à tout un canton en liesse. A l'occasion de la transhumance du club valaisan, «Le Matin» a choisi de suivre les chercheurs de Coupe à travers le regard d'Essam el-Hadary. Avant d'abréger son séjour à Tourbillon - en dépit d'un contrat courant jusqu'en juin 2011, le portier entend retourner chez lui en fin de saison -, le Buffon africain espère, lui aussi, soulever une première coupe sur sol européen.

Martigny, 12 h 15
A la Porte d'Octodure, dans le fief de son président, El-Hadary termine une assiette du jour. Réunie au sous-sol, toute l'équipe mange au carnotzet. L'Egyptien ne devrait pas s'éterniser en Valais. «Je souhaite sauver Sion et repartir ensuite, sans doute en Egypte, peut-être même à Al-Ahly, mon ancien club. Ma famille me manque.»

Martigny, 12 h 55
Le Pharaon s'engouffre dans le car officiel du club, plaque VS 7147. «Je suis là pour aider Sion à aller chercher la coupe.» Des trophées, le No 1 de Tourbillon en a déjà gagné 31 dans son pays - notamment des Coupes, «remportées devant 120 000 spectateurs» précise Essam. Le gardien sait qu'il jouera demain soir. Tholot nous l'avait déjà confirmé la veille, en dépit de la promesse que Constantin avait faite à Beney de disputer la finale. «J'ignore ce qu'a dit le patron, relève le Français. Tout ce que je sais, c'est que c'est moi qui décide. Et que je sais qui est notre No 1.» A 13 h 01, le car démarre, 170 km l'attendent.

Oberhofen, 14 h 58
Sion retrouve le Parkhotel, au bord du lac de Thoune, où l'abonné de la Coupe a l'habitude de préparer ses finales. El-Hadary, lui, découvre les lieux, évoque le nouvel état d'esprit qui règne depuis l'arrivée de Tholot. «Avec lui, constate-t-il, il y a plus d'harmonie et de cohérence dans le groupe. Six entraîneurs en moins d'une saison, je n'avais jamais connu ça!» L'occupant de la chambre 407 connaît l'histoire de la Coupe, toute la passion unissant un canton à son équipe. «Sion en est à 10 sur 10. Eh bien demain soir, ce sera 11 sur 11!» La confiance règne. Il en faudra.

Lerchenfeld, 16 h 46
Sur un terrain synthétique, El-Hadary tente d'apprivoiser les ballons Jako de la finale. Contre YB, le portier enfilera son traditionnel pantalon de training, une manie qui ne le quitte plus depuis des années. «Qu'il fasse zéro ou 40 degrés, je joue toujours en pantalon. J'ai mis une fois un short et ce fut une catastrophe.» A 36 ans, El-Hadary est toujours, tout comme Sion, sous le coup d'une suspension prononcée par la FIFA dans le cadre de son transfert rocambolesque en Suisse. «Suivant la décision, il y aura des recours. A ce rythme, je ne serai déjà plus footballeur quand le verdict tombera (rires).»

Oberhofen, 18 h 55
Dans le jardin de l'hôtel, Essam est déjà plongé dans son match. Dans le vestiaire, il répétera demain soir les mêmes gestes, la même préparation. «Avant chaque match, nous a-t-il confiés, je prie et j'écoute des versets du Coran (...) Avec l'aide de Dieu, on va gagner, c'est sûr. Inch Allah!»

Alors oui, Sion gagnera. Si Dieu le veut...

Die «Hauptprobe» für den Cupfinal am letzten Mittwoch erlebte Regazzoni gelb-gesperrt auf der Tribüne des Stade de Suisse mit Blick.ch.

«Ich hatte eine schöne Zeit.»

Seine Erinnerungen an den Wahnsinns-Final vor drei Jahren: «Wir waren als NLB-Team der Aussenseiter. Ich erinnere mich genau. Ich verwandelte den entscheidenden Penalty ins Tor bei den YB-Fans, drehte dann ab und lief auf die rot-weissen Sion-Fans zu. Das war der schönste Moment in meiner Karriere.»

Überhaupt redet der Tessiner gerne über seine drei Jahre im Wallis: «Ich hatte eine schöne Zeit. Die Fans im Wallis sind euphorisch und stehen hinter dem FC Sion.»

Doch Regazzoni konstatiert, dass in den letzten beiden Jahren die Stimmung in Sion etwas gekippt sei: «Die Unruhe im Umfeld des Klubs ist zu gross geworden. Beim Cupsieg vor drei Jahren war es noch anders.»

Der kleine Flügelflitzer (1,69 Meter) spielt jetzt seine zweite Saison bei YB und steht nach einem harzigen Start vor seinem ersten richtigen Highlight mit den Bernern.

Druck liegt auf beiden Mannschaften

«Für mich war es schwierig. Es gab Probleme auf der menschlichen Ebene mit Trainer Andermatt. Aber die Mannschaft siegte ohne mich, da konnte ich nicht viel sagen», sagt Regazzoni, der YB aber nie verlassen wollte. «Ich hatte auch Angebote aus dem Ausland. Aber einfach nach einem Jahr abzuhauen, ist nicht meine Art.»

Tempi passati. Regazzoni orientiert sich an der mittelfristigen – er hat bei YB einen Vertrag bis 2011 – und an der nahen Zukunft: dem Cupfinal. «Der Druck liegt auf beiden Mannschaften.

YB hat seit 22 Jahren nichts gewonnen. Jetzt wollen die Leute endlich wieder einmal einen Pokal. Aber auch Sion steht unter Zugzwang. Kein Spieler will zu
jenem Sion-Team gehören, das zum ersten Mal einen Cupfinal verliert.»

Nur einer kann den neuen alten Schweizer Cup behalten
YBs Baumann und Chassot von Sion mit dem Cup. (Keystone)
Das ist er, der Pokal, um den es morgen Abend geht: Die altehrwürdige Sandoz-Trophäe aus dem Jahr 1925, die liebevoll restauriert worden ist und den Swisscom-Pokal ablöst. Die beiden Sportchefs, Fredy Chassot (Sion) und Alain Baumann (YB), durften als Erste Hand anlegen. Chassot flachste: «Das kann ich viel besser als du!» Der Freiburger wurde 6-mal Cupsieger. Die Young Boys trainierten derweil im Stade de Suisse, bevor es nach Hause ging. Denn der Final wird wie ein normales Meisterschaftsspiel vorbereitet. Auf Trainings im Wankdorf verzichtet hat der FC Sion. Trainer Didier Tholot: «Ich habe keinen Bock darauf, dass YB unsere Trainings aus irgendeinem Büro filmt.» Sion trainiert in Lerchenfeld bei Thun. Nicht mit dabei ist einiges an Prominenz: Tholot hat Dominguez, Saborio und Brellier aus dem Kader gestrichen.

A. Ku.

mad max a écrit : première info: Saborio, Dominguez et Brellier ne prendront pas part à la finale...

Didier Crettenand et Olivier Monterrubio sont faits pour s'entendre. Compagnons de chambre lors des mises au vert du FC Sion, ils se retrouvent voisins de tables lors de l'unique conférence de presse de l'équipe valaisanne qui précède la finale contre Young Boys mercredi. Tous deux connaissent le prix d'une victoire en coupe. Le Valaisan a remporté la version suisse en 2006 contre la même équipe bernoise. Le Français a brandi deux fois le modèle tricolore avec Nantes en 1999 et en 2000. Les similitudes s'arrêtent à l'âge. 23 ans pour le Valaisan en quête d'affirmation, 33 ans pour le Français au curriculum copieusement rempli. «Nous échangeons beaucoup, j'apprécie son soutien», confie le cadet. Les deux hommes déposent leurs bagages pour deux nuits au Parkhotel d'Oberhofen sur les bords du lac de Thoune. «Nous n'avons pas encore parlé de la finale. La conversation abordera peut-être le sujet ce soir (ndlr.: hier) ou demain.» Les supporters et l'entourage proche ont anticipé sur les conseils de son coéquipier. «Tout le monde me rappelle le tir au but que j'ai réussi lors de notre victoire en 2006. «On te fait entrer pour les penalties de nouveau» est la remarque que j'ai le plus entendue depuis notre qualification à Lucerne. C'est impressionnant comme un moment ponctuel peut rester dans les mémoires.»

Jouer avant les prolongations
Crettenand avait relayé Léonard Thurre dans l'avant-dernière minute des prolongations, il avait parfaitement transformé le troisième tir au but de la formation sédunoise. Le souvenir le rattrape aujourd'hui. Il souhaite le dépasser. «120 minutes de jeu précèdent la série décisive dans une finale, je veux les jouer cette année», espère-t-il. «J'ai envie de faire quelque chose de grand, de montrer que je suis capable de m'exprimer à un haut niveau de compétition.» Titularisé à Berne contre Young Boys mercredi, puis contre Neuchâtel samedi, le Bovernion postule à un maillot de titulaire. Il a marqué contre les Bernois avant de confirmer contre les Xamaxiens. «J'ai joué les deux matches qu'il fallait, juste avant la finale.» L'approche est plus agréable que trois ans auparavant. «Christophe Moulin m'avait écarté du groupe lors des trois journées qui précédaient la finale. J'avais joué avec les moins de 21 ans et j'avais marqué deux fois. J'étais déjà content d'appartenir au groupe des 18 qui figuraient sur la feuille de match.»

Les différences...
Cette nouvelle édition pourrait lui permettre de vivre plus intensément l'événement. «Je ne me souviens pas du tout des journées qui ont précédé la finale», avoue-t-il. «Je suis incapable de vous dire si ce que nous vivons depuis notre rassemblement à Martigny ressemble à l'expérience précédente. Le jour du match est bien fixé dans ma tête, la montée de l'avenue de la Gare aussi. La différence se ressent dans l'approche du match. Je suis moins stressé, plus détendu. J'essaie d'être plus naturel, plus décontracté.» Le contexte sera totalement différent. «Nous ne sommes plus en Challenge League, la pelouse sera synthétique, les deux équipes ont beaucoup changé, surtout nous.» La conclusion se livre avec un sourire. Le Valaisan espère que les changements subis depuis 2006 l'amèneront sur le terrain demain.

mad max a écrit :Dur pour Dominguez ça...sur un match comme celui là il sait être transcendant, comme il l'a montré par le passé.

Cette décision ne me satisfait pas autant que toi Trilu... §-)

Gautier10 a écrit :

mad max a écrit :Dur pour Dominguez ça...sur un match comme celui là il sait être transcendant, comme il l'a montré par le passé.

Cette décision ne me satisfait pas autant que toi Trilu... §-)

De plus, notre qualification à St-Gall, on le doit en grande partie à Dominguez

Mystik a écrit :

silicone a écrit :Un match ne se gagne pas en pensant qu'on est les plus fort, mais bien en ce disant que la défaite est toujours possible!

Respect pour cette phrase!!!

je pense que ca résume parfaitement l'état d'esprit que doivent avoir les joueurs du coup d'envoi aux 3 coups de sifflets finaux!

Football: Coupe de Suisse

Demain, c'est la finale!





Partager Cette onzième finale de Coupe de Suisse, la quatrième déjà contre les Young Boys, sera la plus dure à gagner pour le FC Sion. Au Stade de Suisse où les Bernois n'ont connu qu'une seule défaite depuis l'intronisation de leur entraîneur Vladimir Petkovic en août dernier, le FC Sion est très loin de partir avec les faveurs du pronostic ce mercredi (TSR2/20.30).

le 19 mai 2009, 10h15
LeMatin.ch & les agences

0 commentaires

Avec dix victoires, trois nuls et une seule défaite en championnat, un
3-1 concédé le 31 août dernier devant les Grasshoppers, les Young Boys
peuvent s'appuyer sur un bilan très respectable sur la pelouse
artificielle du Stade de Suisse. Soutenus par un public fervent qui
attend un titre depuis... vingt-deux ans, les Bernois n'auront
franchement pas le droit à l'erreur.

Faute professionnelle

Depuis deux ans, les Young Boys sont vraiment capables de rivaliser
avec le FC Bâle et le FC Zurich pour la suprématie nationale. Laisser
passer cette Coupe de Suisse qui leur tend les bras depuis leur
qualification en demi-finale aux dépens de Bâle relèverait de la faute
professionnelle. Finaliste malheureux l'an dernier avec Bellinzone face
au FC Bâle, Vladimir Petkovic a, selon ses joueurs, insufflé une
nouvelle mentalité. Le Serbe ne cesse de les pousser vers l'avant.

Il est l'adepte d'un 3-4-3 qui lui permet de miser sur deux ailiers
capables, à tout moment, d'amener de la folie dans un match. Carlos
Varela et Alberto Regazzoni, l'homme qui avait inscrit le dernier
penalty pour le dixième sacre du FC Sion il y a trois ans, détiennent
sans doute les clés de cette finale. S'ils sont dans un grand soir, la
tâche qui attend les défenseurs sédunois risque bien d'être infernale.

L'un des atouts majeurs des Young Boys réside également dans la
richesse du banc. Vladmir Petkovic possède une très grande marge de
manoeuvre dans son coaching. Avec Haeberli, David Degen et, surtout,
l'Ivoirien Doumbia, il peut, à tout moment, sortir de sa manche un
joker gagnant.

Jouer sur l'émotion

Toujours à la lutte pour éviter la culbute en Challenge League, le FC
Sion rêve, bien sûr, d'entretenir le mythe, cette formidable
invincibilité dans les finales avec ses dix victoires, dont deux
obtenues aux tirs au but (Lucerne 1997 et Young Boys 2006) et deux
autres après avoir été mené 2-0 (Young Boys 1991 et Servette 1996).
Même pour une équipe qui n'est plus aussi ancrée dans ses racines que
par le passé, ce merveilleux roman d'amour avec la Coupe consitue son
meilleur atout pour mercredi soir.

Depuis lundi matin, Christian Constantin est aux côtés de ses joueurs
sur les rives du Lac de Thoune avec une seule idée en tête: les
convaincre qu'ils seront invincibles mercredi. Rappeler l'histoire est
impératif aux yeux du président pour donner à son équipe ce supplément
d'âme qui lui a trop souvent fait défaut cette saison. Marteler sans
cesse que tout se ligue contre son club, la désignation de l'arbitre et
le choix - il est vrai discutable - du lieu de la finale, entre bien
sûr dans cette stratégie de l'émotionnel.

Un nouveau dispositif

Si Christian Constantin se charge de l'approche psychologique de cette
finale, un art dans lequel il excelle, il revient à Didier Tholot de
trouver les armes sur le plan tactique pour s'opposer aux Bernois.
Samedi dernier face à Neuchâtel Xamax, l'entraîneur français avait
innové en plaçant Monterrubio en soutien direct de l'attaquant.
L'ancien joueur de Rennes s'est parfaitement acquitté de cette tâche.

Ce nouveau dispositif apporte deux autres avantages: le recul
d'Obradovic qui fait du Serbe, buteur lors de la finale 2006, le
véritable dépositaire du jeu, et la titularisation de Crettenand. Le
joueur de Bovernier a su saisir sa chance lors des deux derniers
matches contre les Young Boys et Neuchâtel Xamax. Après une saison bien
difficile, Crettenand entrevoit à 23 ans à nouveau la lumière. Trois
ans après avoir été, faut-il le rappeler, l'un des tireurs victorieux
lors de la séance des penalties de la dernière finale du FC Sion.

mais quoi qu'il arrive, quels que soient les évènements qui viendront nous barrer la route, nous ne voulons et n'accepterons qu'une seule chose

LA VICTOIRE A LA FIN DU COMBAT!!!

Tourbillonator a écrit :En cas de défaite ce qui n'est jamais arrivé encore je me demande quelle serait la réaction des valaisans au stade ???

Les joueurs seraient quand même applaudi et soutenu à la fin du match ???
ou
Les sifflets du publics valaisans hanteraient le stade de Suisse ???

La réponse j'espère ne pas la connaître demain soir...


HOP SION RAMENONS LA COUPE CHEZ ELLE...

20min.ch a écrit :Auteur du tir au but décisif pour Sion en 2006, Regazzoni espère gagner la Coupe avec Young Boys demain.

L’attaquant tessinois Alberto Regazzoni avait décroché la Coupe en 2006 avec Sion.

Trois ans, un mois et trois jours après avoir crucifié le gardien des Young Boys Wölfli et apporté à Sion sa 10e Coupe (1-1, 5-3 tab), l’attaquant tessinois a changé de vestiaire. Lié au club de la capitale jusqu’en 2011, il entend briser l’hégémonie valaisanne en infligeant au FC Sion sa première défaite en finale de la compétition. «La série sédunoise va passer de 10 sur 10 à 10 sur 11, prévient-il. L’histoire parle en faveur des Valaisans, qui se sentent imbattables en finale. On va les laisser croire ça!» A l’heure de dégager un favori pour ce match, Regazzoni botte en touche: «C’est du 50-50!» Avant de concéder: «C’est sûr, c’est le moment de gagner quelque chose à Berne. Et le fait d’évoluer dans notre stade, sur notre pelouse synthétique, constitue un petit avantage.»

Toujours très présent dans ses souvenirs, le sentiment de 2006 agit comme un électrochoc dans la tête de l’international suisse: «Je me remémore parfaitement notre arrivée à la place de la Planta (n.d.l.r.: à Sion), où 40 000 personnes nous attendaient. C’était de la folie. J’imagine qu’en ville de Berne, ça risque d’être la même chose si l’on parvient à remporter cette finale. Après vingt-deux ans sans titre, Berne n’attend que ça! J’avais 4 ans lorsque les Young Boys ont remporté leur dernière Coupe. Chaque fois qu’on emprunte le tunnel des vestiaires, on passe devant un panneau qui rappelle les heures glorieuses du club. On va aller chercher cette Coupe!»

Tourbillonator a écrit :En cas de défaite ce qui n'est jamais arrivé encore je me demande quelle serait la réaction des valaisans au stade ???

Victor Junior a écrit :Question:

Y a-t-il un lieu de rendez-vous spécifique à Berne pour les Valaisans désireux de boire une (ou plusieurs) petite (s) bière (s) sur une place ensoleillée durant l'après-midi avant la finale ?

pinelardo a écrit :pas de souci à te faire.... tu viens avec ton carton et basta....
Si tu ne jettes pas les vides par le fenêtre.....

Victor Junior a écrit :

Victor Junior a écrit :Question:

Y a-t-il un lieu de rendez-vous spécifique à Berne pour les Valaisans désireux de boire une (ou plusieurs) petite (s) bière (s) sur une place ensoleillée durant l'après-midi avant la finale ?

Sans réponse de votre part, je me permets de réitérer ma question...