Elections françaises
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je re, je vais chercher le kärcherssee a écrit :Les messages circulent :
Plus oficial tu MEUR t love de moi tu PLEUR souvent dmovaise humeur jai la cote de l horreur jlai baise tous demande leurs dit :
Sarkozy e t Pré ident, lundi 7 Mai , Blocu Et Manife tation dan Tout Le college Et Lycée de France {Fait Tourner}

Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
ssee a écrit :Les messages circulent :
Plus oficial tu MEUR t love de moi tu PLEUR souvent dmovaise humeur jai la cote de l horreur jlai baise tous demande leurs dit :
Sarkozy e t Pré ident, lundi 7 Mai , Blocu Et Manife tation dan Tout Le college Et Lycée de France {Fait Tourner}
bon Dr ... là ça fait beaucoup à la fois

vrai aussi que le Karcher n'est pas loin ...
« Un jour les Valaisans domineront le monde. Mais pas demain, y'a apéro »
La déception est grande de mon côté. Bien que pas forcément pro Sego, je dois dire que le candidat de l'économie et des riches me fait craindre pour la France. M'enfin bon. S'il tient ses promesses, notamment celles de son discours de ce soir à propos de la morale, du travail, des femmes, de l'ouverture et du respect, pourquoi pas.
Mais laissez moi en douter. Fortement.
Mais laissez moi en douter. Fortement.
Win the yes !
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oui, viens en Suisse, on te fera une place!reset du 56 a écrit :Mon dieu je pars de la France si c'est vraiment lui !!lol!Je vais venir vivre en Suisse je crois !!
Sa va cramer dans les banlieue !Vive les blocus devant les lycées!!
On a pas fini de ch*** avec c'est partit je sens pour 5ans de galère!


très déçu également du vote des français... §-)
C'est quoi cette histoire de lacrymogène ?zorgg a écrit :Rennes, Bordeaux, Paris ...
déjà des lacrymogènes pour fêter l'avènement de la droite "nouvelle"
En tout cas, je peux vous dire que je suis pressé d'être samedi prochain et que l'on ne parle plus de ces élections parce que ca commence à me rendre fou. J'en rai le bol d'entendre parler de Ségo et Sarko, ainsi que des autres candidats...
Les élections américaines commencent à prendre le relais...Oilk a écrit :C'est quoi cette histoire de lacrymogène ?zorgg a écrit :Rennes, Bordeaux, Paris ...
déjà des lacrymogènes pour fêter l'avènement de la droite "nouvelle"
En tout cas, je peux vous dire que je suis pressé d'être samedi prochain et que l'on ne parle plus de ces élections parce que ca commence à me rendre fou. J'en rai le bol d'entendre parler de Ségo et Sarko, ainsi que des autres candidats...
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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Heurts à Paris entre policiers et manifestants anti-Sarkozy
PARIS - Des heurts ont éclaté dimanche soir à Paris deux heures après la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, entre de jeunes manifestants hostiles à M. Sarkozy et la police, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les heurts se déroulaient sur l'une des principales place de Paris, où des manifestants s'étaient réunis dans la soirée.
Des manifestants, pour certains masqués par des foulards, jetaient des projectiles sur des policiers anti-émeutes. Ces derniers répliquaient par des tirs de grenades lacrymogènes.
Plus de 3.000 policiers avaient été déployés dimanche dans les banlieues autour de Paris, théâtre d'émeutes en 2005, et dans la capitale même, dans la crainte de violences liées au résultat du second tour de la présidentielle.
(©AFP / 06 mai 2007 22h20)
PARIS - Des heurts ont éclaté dimanche soir à Paris deux heures après la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, entre de jeunes manifestants hostiles à M. Sarkozy et la police, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les heurts se déroulaient sur l'une des principales place de Paris, où des manifestants s'étaient réunis dans la soirée.
Des manifestants, pour certains masqués par des foulards, jetaient des projectiles sur des policiers anti-émeutes. Ces derniers répliquaient par des tirs de grenades lacrymogènes.
Plus de 3.000 policiers avaient été déployés dimanche dans les banlieues autour de Paris, théâtre d'émeutes en 2005, et dans la capitale même, dans la crainte de violences liées au résultat du second tour de la présidentielle.
(©AFP / 06 mai 2007 22h20)
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Sont malins ceux là, donne de l'eau pour faire tourner le moulin de la droite, c'est bien ....nufc a écrit :Heurts à Paris entre policiers et manifestants anti-Sarkozy
PARIS - Des heurts ont éclaté dimanche soir à Paris deux heures après la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, entre de jeunes manifestants hostiles à M. Sarkozy et la police, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les heurts se déroulaient sur l'une des principales place de Paris, où des manifestants s'étaient réunis dans la soirée.
Des manifestants, pour certains masqués par des foulards, jetaient des projectiles sur des policiers anti-émeutes. Ces derniers répliquaient par des tirs de grenades lacrymogènes.
Plus de 3.000 policiers avaient été déployés dimanche dans les banlieues autour de Paris, théâtre d'émeutes en 2005, et dans la capitale même, dans la crainte de violences liées au résultat du second tour de la présidentielle.
(©AFP / 06 mai 2007 22h20)

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Ouai ben justement, ça va m'énerver d'une force ça...reset du 56 a écrit : Sa va cramer dans les banlieue !Vive les blocus devant les lycées!!
Toutes les mascarades anti-sarkozy seront une attaque contre la démocratie, et un profond manque de respect pour les dizaines de millions de Français qui ont voté Sarkozy.
Et pourtant je ne l'aime pas, et bien que je déteste encore plus la personne qu'est Royal, je peux pas donner mon vote à Sarkozy et à sa politique, j'ai voté Royal (et ça m'a fait très très mal au ***).
Maintenant, les Français ont fait leur choix, qu'on attende un peu avant de faire de l'anti-sarkozysme primaire, on jugera quand on pourra le faire.
Et dire que j'étais à deux doigts de faire une demande pour faire mon M2 en Suisse moi... Si j'avais su...
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Moi j'aurai voté Sarko car Faudel le soutient
Bref, une bonne chose cette élection en espérant qu'il respectera ses promesses ! Notamment régler l'insécurité et comme on a encore pu le voir encore cette nuit, il y a du boulot avec ses hémorroïdes de rougeots...
La gauche est au plus bas, bientôt la fin de cette mouvance idéaliste dégageant un flux massif d'idées utopiques ? oh joie !

Bref, une bonne chose cette élection en espérant qu'il respectera ses promesses ! Notamment régler l'insécurité et comme on a encore pu le voir encore cette nuit, il y a du boulot avec ses hémorroïdes de rougeots...
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mais c'est ça qui est incroyable ! au lieu de soutenir un candidat, on est d'abord 100% anti... ça ne fait pas avancer le schmilblick ! les violences après 20h ? pour la plupart, ce sont soit des parasites anarchistes, soit des abrutis de banlieues qui prétextent l'élection de Sarko pour foutre le bordel (ça démontre une nouvelle fois qu'il est nécessaire d'aller karcheriser la moindre dans ces ghettos)inter a écrit :Pourtant....pourtant....sur 100 français, 45 sont contre l'arrivée de Sarko au pouvoir...Rebellion il y aura, ces élections françaises ne sont de loin pas finies....
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Heurts sporadiques à Paris et en province, véhicules brûlés en banlieue
PARIS - Des heurts ont suivi dimanche soir à Paris et en province la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, entre de jeunes manifestants hostiles à M. Sarkozy et la police, tandis que des dizaines de véhicules étaient incendiés en banlieue parisienne.
Des échauffourées ont duré environ une heure sur l'une des principales places de Paris, la Place de la Bastille, entre les forces de l'ordre et une partie des quelques milliers de manifestants hostiles à M. Sarkozy qui s'y étaient réunis dans la soirée.
De 100 à 300 manifestants d'extrême gauche selon la police, pour certains masqués par des foulards ont jeté des projectiles sur des policiers anti-émeutes. Ces derniers ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes, dont les volutes noyaient en partie la place, et de canons à eau, avant d'évacuer totalement la place.
Plus de 3.000 policiers avaient été déployés dimanche dans les banlieues autour de Paris, théâtre d'émeutes en octobre-novembre 2005, et dans la capitale même, dans la crainte de violences, notamment de groupes d'extrême gauche, mécontents du résultat du second tour de la présidentielle.
Dans les grandes villes de France, plusieurs milliers de manifestants appartenant essentiellement "à la mouvance anarchiste ou d'extrême gauche", selon la police, ont manifesté aux cris de "Sarko facho, le peuple aura ta peau".
Des heurts ont éclaté dans le sud-ouest de la France à Toulouse entre policiers et manifestants d'extrême gauche après une manifestation de quelques 2.500 personnes. D'autres incidents similaires ont eu lieu à Lille (nord) où du mobilier urbain et des véhicules ont été incendiés, ainsi qu'à Nantes (ouest), Lyon (centre-est), Nancy et Metz (est).
A Marseille, les forces de l'ordre ont dispersé à coups de grenades lacrymogènes quelque 200 à 300 manifestants.
En fin de soirée, le chef du Parti socialiste, François Hollande, compagnon de la candidate socialiste Ségolène Royal, a appelé les électeurs de gauche "au calme et à la cohérence".
Une association de banlieue, créée après les émeutes qui avaient embrasé des cités défavorisées fin 2005, a appelé les jeunes de ces quartiers à ne pas "répondre par la violence" à l'élection de M. Sarkozy alors que plusieurs dizaines de voitures étaient incendiées dans divers départements frontaliers de Paris, où une dizaine d'interpellations ont eu lieu.
Dans le département de Seine-Saint-Denis, d'où étaient parties les émeutes en 2005, la situation "est relativement calme, équivalente à un samedi soir", a déclaré le prêfet Jean-François Cordet. De vingt à trente voitures ont brûlé.
De nombreux jeunes de ces quartiers à forte proportion d'habitants d'origine immigrée vouent une vive animosité à M. Sarkozy depuis ses déclarations en 2005 contre la "racaille" des banlieues.
En 2005, plus de 10.000 véhicules et des centaines de bâtiments publics avaient été incendiés pendant les émeutes.
(©AFP / 07 mai 2007 00h49)
PARIS - Des heurts ont suivi dimanche soir à Paris et en province la victoire de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle, entre de jeunes manifestants hostiles à M. Sarkozy et la police, tandis que des dizaines de véhicules étaient incendiés en banlieue parisienne.
Des échauffourées ont duré environ une heure sur l'une des principales places de Paris, la Place de la Bastille, entre les forces de l'ordre et une partie des quelques milliers de manifestants hostiles à M. Sarkozy qui s'y étaient réunis dans la soirée.
De 100 à 300 manifestants d'extrême gauche selon la police, pour certains masqués par des foulards ont jeté des projectiles sur des policiers anti-émeutes. Ces derniers ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes, dont les volutes noyaient en partie la place, et de canons à eau, avant d'évacuer totalement la place.
Plus de 3.000 policiers avaient été déployés dimanche dans les banlieues autour de Paris, théâtre d'émeutes en octobre-novembre 2005, et dans la capitale même, dans la crainte de violences, notamment de groupes d'extrême gauche, mécontents du résultat du second tour de la présidentielle.
Dans les grandes villes de France, plusieurs milliers de manifestants appartenant essentiellement "à la mouvance anarchiste ou d'extrême gauche", selon la police, ont manifesté aux cris de "Sarko facho, le peuple aura ta peau".
Des heurts ont éclaté dans le sud-ouest de la France à Toulouse entre policiers et manifestants d'extrême gauche après une manifestation de quelques 2.500 personnes. D'autres incidents similaires ont eu lieu à Lille (nord) où du mobilier urbain et des véhicules ont été incendiés, ainsi qu'à Nantes (ouest), Lyon (centre-est), Nancy et Metz (est).
A Marseille, les forces de l'ordre ont dispersé à coups de grenades lacrymogènes quelque 200 à 300 manifestants.
En fin de soirée, le chef du Parti socialiste, François Hollande, compagnon de la candidate socialiste Ségolène Royal, a appelé les électeurs de gauche "au calme et à la cohérence".
Une association de banlieue, créée après les émeutes qui avaient embrasé des cités défavorisées fin 2005, a appelé les jeunes de ces quartiers à ne pas "répondre par la violence" à l'élection de M. Sarkozy alors que plusieurs dizaines de voitures étaient incendiées dans divers départements frontaliers de Paris, où une dizaine d'interpellations ont eu lieu.
Dans le département de Seine-Saint-Denis, d'où étaient parties les émeutes en 2005, la situation "est relativement calme, équivalente à un samedi soir", a déclaré le prêfet Jean-François Cordet. De vingt à trente voitures ont brûlé.
De nombreux jeunes de ces quartiers à forte proportion d'habitants d'origine immigrée vouent une vive animosité à M. Sarkozy depuis ses déclarations en 2005 contre la "racaille" des banlieues.
En 2005, plus de 10.000 véhicules et des centaines de bâtiments publics avaient été incendiés pendant les émeutes.
(©AFP / 07 mai 2007 00h49)
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367 voitures brûlées en France après la victoire de Sarkozy
PARIS - Trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France dans la nuit après des échauffourées provoquées à Paris et dans d'autres villes par la victoire du candidat de droite Nicolas Sarkozy à la présidence. 270 personnes ont été interpellées et 28 policiers blessés.
Mais globalement, "le second tour de l'élection présidentielle n'a pas amené de grands mouvements de violences urbaines dans les quartiers sensibles. Seuls quelques petits groupes ont, ici et là, mis le feu à des poubelles et à des voitures", a indiqué la direction générale de la police (DGPN).
Des craintes avaient été émises avant le 2e tour sur le risque de répétition d'émeutes comme celles qui avaient embrasé le pays à l'automne 2005. Le dispositif policier avait été renforcé.
La candidate socialiste Ségolène Royal avait mis en garde vendredi contre le risque de violences en cas de victoire de son adversaire de droite, l'ancien ministre de l'Intérieur étant considéré comme un ennemi par nombre de jeunes dans les banlieues défavorisées.
Au total, sur l'ensemble des véhicules incendiés, 172 l'ont été en région parisienne, dont moins d'une dizaine à Paris, a indiqué la direction de la police. Police et gendarmerie ont interpellé "270 personnes, dont 136 en province, 46 à Paris et 88 dans le reste de l'Ile-de-France", la région parisienne.
La nuit a donné lieu "dans plusieurs centres villes, tels qu'à Lyon, Nantes, Paris, Toulouse ou Rennes par exemple, à des regroupements initiés par des mouvements d'extrême gauche, anarchistes ou autonomes qui ont dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre", et "28 policiers et gendarmes ont été blessés", a recensé la DGPN.
(ats / 07 mai 2007 10:53)
PARIS - Trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France dans la nuit après des échauffourées provoquées à Paris et dans d'autres villes par la victoire du candidat de droite Nicolas Sarkozy à la présidence. 270 personnes ont été interpellées et 28 policiers blessés.
Mais globalement, "le second tour de l'élection présidentielle n'a pas amené de grands mouvements de violences urbaines dans les quartiers sensibles. Seuls quelques petits groupes ont, ici et là, mis le feu à des poubelles et à des voitures", a indiqué la direction générale de la police (DGPN).
Des craintes avaient été émises avant le 2e tour sur le risque de répétition d'émeutes comme celles qui avaient embrasé le pays à l'automne 2005. Le dispositif policier avait été renforcé.
La candidate socialiste Ségolène Royal avait mis en garde vendredi contre le risque de violences en cas de victoire de son adversaire de droite, l'ancien ministre de l'Intérieur étant considéré comme un ennemi par nombre de jeunes dans les banlieues défavorisées.
Au total, sur l'ensemble des véhicules incendiés, 172 l'ont été en région parisienne, dont moins d'une dizaine à Paris, a indiqué la direction de la police. Police et gendarmerie ont interpellé "270 personnes, dont 136 en province, 46 à Paris et 88 dans le reste de l'Ile-de-France", la région parisienne.
La nuit a donné lieu "dans plusieurs centres villes, tels qu'à Lyon, Nantes, Paris, Toulouse ou Rennes par exemple, à des regroupements initiés par des mouvements d'extrême gauche, anarchistes ou autonomes qui ont dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre", et "28 policiers et gendarmes ont été blessés", a recensé la DGPN.
(ats / 07 mai 2007 10:53)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Histoire surement de faire la fêtenufc a écrit :367 voitures brûlées en France après la victoire de Sarkozy
PARIS - Trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France dans la nuit après des échauffourées provoquées à Paris et dans d'autres villes par la victoire du candidat de droite Nicolas Sarkozy à la présidence. 270 personnes ont été interpellées et 28 policiers blessés.
Mais globalement, "le second tour de l'élection présidentielle n'a pas amené de grands mouvements de violences urbaines dans les quartiers sensibles. Seuls quelques petits groupes ont, ici et là, mis le feu à des poubelles et à des voitures", a indiqué la direction générale de la police (DGPN).
Des craintes avaient été émises avant le 2e tour sur le risque de répétition d'émeutes comme celles qui avaient embrasé le pays à l'automne 2005. Le dispositif policier avait été renforcé.
La candidate socialiste Ségolène Royal avait mis en garde vendredi contre le risque de violences en cas de victoire de son adversaire de droite, l'ancien ministre de l'Intérieur étant considéré comme un ennemi par nombre de jeunes dans les banlieues défavorisées.
Au total, sur l'ensemble des véhicules incendiés, 172 l'ont été en région parisienne, dont moins d'une dizaine à Paris, a indiqué la direction de la police. Police et gendarmerie ont interpellé "270 personnes, dont 136 en province, 46 à Paris et 88 dans le reste de l'Ile-de-France", la région parisienne.
La nuit a donné lieu "dans plusieurs centres villes, tels qu'à Lyon, Nantes, Paris, Toulouse ou Rennes par exemple, à des regroupements initiés par des mouvements d'extrême gauche, anarchistes ou autonomes qui ont dégénéré en affrontements avec les forces de l'ordre", et "28 policiers et gendarmes ont été blessés", a recensé la DGPN.
(ats / 07 mai 2007 10:53)

C'est dommage, du coup Sarko n'a meme plus a argumenter le problème de l'insécurité. Je trouve navrant que la gauche soit comme ça. On gagne pas, on manifeste, on casse tout .... b.o.f, esperons que le centre prenne leur place

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Félicitations à Nicolas Sarkozy pour cette victoire claire et nette qui ne souffre d'aucune discussion. De toute l'histoire de la 5ème République, c'est le candidat à la présidentielle qui aura le mieux mené sa campagne. Il a été élu dès sa première tentative et il a su agir avec une grande intelligence et un sens de la stratégie qui ferait pâlir de jalousie les plus grands entraîneurs de football de la planète. Sa victoire est une bonne chose dans un sens car la France est dans l'ornière depuis un certain temps déjà et Sarkozy est sans doute le mieux placé pour redresser l'économie et réduire l'abyssale dette française.
Cependant, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs et j'ai bien peur que l'aspect social en prenne un sacré coup. De plus, la liberté d'expression s'en trouve également menacée. Seule une infime minorité des journaux français osent véritablement s'opposer à Sarkozy (Le Canard enchaîné, Marianne ou Charlie Hebdo). Le nouveau président français a une facheuse tendance à mettre la pression sur les journalistes qu'il mène souvent par le bout du nez. Dernièrement encore, un éditorialiste a été viré sous pression sarkozienne car il avait été un peu trop virulent à son égard...
Comment Sarkozy peut-il arriver à ce genre de résultat quand on sait la liberté de la presse qu'il existe en France ? Tout simplement car il est un ami intime des trois grands magnats de la presse française, à savoir Bouygues, Lagardère et Dassault, qui, à eux trois, dirigent le 90% des journaux de l'Hexagone. Sacré hasard non ?
Cependant, on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs et j'ai bien peur que l'aspect social en prenne un sacré coup. De plus, la liberté d'expression s'en trouve également menacée. Seule une infime minorité des journaux français osent véritablement s'opposer à Sarkozy (Le Canard enchaîné, Marianne ou Charlie Hebdo). Le nouveau président français a une facheuse tendance à mettre la pression sur les journalistes qu'il mène souvent par le bout du nez. Dernièrement encore, un éditorialiste a été viré sous pression sarkozienne car il avait été un peu trop virulent à son égard...
Comment Sarkozy peut-il arriver à ce genre de résultat quand on sait la liberté de la presse qu'il existe en France ? Tout simplement car il est un ami intime des trois grands magnats de la presse française, à savoir Bouygues, Lagardère et Dassault, qui, à eux trois, dirigent le 90% des journaux de l'Hexagone. Sacré hasard non ?
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France: 730 voitures brûlées après la victoire de Sarkozy
PARIS - Quelque 730 voitures ont été brûlées en France métropolitaine après l'élection à la présidence de Nicolas Sarkozy, contre une centaine en temps normal. La police a pour sa part interpellé 592 personnes, dont 79 dans la capitale Paris.
Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle. Environ 10'000 personnes ont manifesté dans toute la France pour protester contre le résultat de l'élection.
Ce bilan ne rend pas compte de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales. Il ne fait ainsi pas mention d'attaques d'autobus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville.
Le bilan ne fait également pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées.
(ats / 07 mai 2007 18:42)
PARIS - Quelque 730 voitures ont été brûlées en France métropolitaine après l'élection à la présidence de Nicolas Sarkozy, contre une centaine en temps normal. La police a pour sa part interpellé 592 personnes, dont 79 dans la capitale Paris.
Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle. Environ 10'000 personnes ont manifesté dans toute la France pour protester contre le résultat de l'élection.
Ce bilan ne rend pas compte de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales. Il ne fait ainsi pas mention d'attaques d'autobus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville.
Le bilan ne fait également pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées.
(ats / 07 mai 2007 18:42)
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moi ce qui me fait rire, c'est les commentaires de certains politiciens qui disent que les francais sont les plus "civiques" d'Europe avec une participation exceptionnelle, que c'est un exemple pour le reste du monde...
et que dans la rue, on brûle des voitures et on engage des heurts pour que sarko ne soit pas président, bref on ne respecte pas les urnes et le symbole de la démocratie.
si j'étais francais, j'aurai voté sarko... et voir ca me conforte encore plus... même pas foutu de respecter la voie des urnes
et que dans la rue, on brûle des voitures et on engage des heurts pour que sarko ne soit pas président, bref on ne respecte pas les urnes et le symbole de la démocratie.
si j'étais francais, j'aurai voté sarko... et voir ca me conforte encore plus... même pas foutu de respecter la voie des urnes

"disons que booooon...."
- nufc
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Johnny Hallyday retournera "certainement" en France, selon Laeticia
PARIS - Johnny Hallyday, qui s'était exilé en Suisse pour des raisons fiscales, reviendra "certainement" en France après l'élection de Nicolas Sarkozy, a annoncé sa femme Laeticia. Le chef de l'UMP a promis un plafonnement de l'imposition.
"La politique de Nicolas Sarkozy va faire qu'on va certainement revenir en France", a déclaré Laeticia à la radio RTL dans une interview enregistrée lundi soir. Elle a rappelé que le président élu "veut mettre le bouclier fiscal à 50%", contre 60% actuellement.
Le "bouclier fiscal" est une mesure fiscale pays visant à plafonner le montant maximum de certains impôts payés par certains contribuables.
"On aime notre pays, on aime la France, (...) Johnny appartient à la France", a souligné Laeticia en disant "comprendre ce que les Français ont pu ressentir" à l'annonce du départ du chanteur. Mais "aujourd'hui, la fiscalité en France est inacceptable", a-t-elle ajouté.
Le couple s'est installé en décembre à Gstaad, où il était censé passer six mois et un jour par an, afin de bénéficier d'un forfait fiscal. Cet exil a suscité des vagues en France où le chanteur a été cependant défendu par Nicolas Sarkozy qu'il soutenait en tant que candidat de droite à l'élection présidentielle.
(ats / 08 mai 2007 11:26)
PARIS - Johnny Hallyday, qui s'était exilé en Suisse pour des raisons fiscales, reviendra "certainement" en France après l'élection de Nicolas Sarkozy, a annoncé sa femme Laeticia. Le chef de l'UMP a promis un plafonnement de l'imposition.
"La politique de Nicolas Sarkozy va faire qu'on va certainement revenir en France", a déclaré Laeticia à la radio RTL dans une interview enregistrée lundi soir. Elle a rappelé que le président élu "veut mettre le bouclier fiscal à 50%", contre 60% actuellement.
Le "bouclier fiscal" est une mesure fiscale pays visant à plafonner le montant maximum de certains impôts payés par certains contribuables.
"On aime notre pays, on aime la France, (...) Johnny appartient à la France", a souligné Laeticia en disant "comprendre ce que les Français ont pu ressentir" à l'annonce du départ du chanteur. Mais "aujourd'hui, la fiscalité en France est inacceptable", a-t-elle ajouté.
Le couple s'est installé en décembre à Gstaad, où il était censé passer six mois et un jour par an, afin de bénéficier d'un forfait fiscal. Cet exil a suscité des vagues en France où le chanteur a été cependant défendu par Nicolas Sarkozy qu'il soutenait en tant que candidat de droite à l'élection présidentielle.
(ats / 08 mai 2007 11:26)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Paris: grève et occupation d'une faculté contre le projet de réforme Sarkozy
PARIS - Quelques centaines d'étudiants ont tenté de lancer mercredi à Paris un mouvement contre les réformes à venir du nouveau président Nicolas Sarkozy, un choix qui ne fait toutefois pas l'unanimité des organisations étudiantes, a constaté l'AFP.
Environ 800 étudiants réunis mercredi en assemblée générale à la faculté de Paris I Panthéon-Sorbonne ont voté une grève et l'occupation d'un site universitaire parisien.
Après trois heures d'assemblée générale, les étudiants se sont prononcés pour la grève et le blocage immédiat du site de Tolbiac, une tour dont les salles sont accessibles par des ascenseurs qu'il suffit de bloquer pour interdire tout accès. Lors d'une autre assemblée plus tard, l'occupation des lieux a été votée à main levée.
Les étudiants dénoncent notamment la "privatisation" à venir de l'université et la "liquidation de l'esprit de mai 68".
Mais de nombreux étudiants du principal syndicat Unef ont fait part de leurs réserves face à cette grève et cette occupation, estimant que "c'est trop tôt" et que cela risque de faire de M. Sarkozy "un martyr", alors que le président élu n'a pas encore commencé la mise en oeuvre de son programme.
"Où on va ? Où on va ? On va reporter nos partiels ! Il y a des gens ici qui viennent de province! C'est de la foutaise. Il (Nicolas Sarkozy, ndlr) a été élu au suffrage universel. Les Français ont voté!", a hurlé un étudiant opposé à la grève, après s'être emparé du micro.
Vers 19h00 (17H00 GMT), le site était encore ouvert et on ignorait si les occupants obtiendraient d'y rester pour la nuit.
Nicolas Sarkozy s'est engagé à accorder "une autonomie réelle aux universités volontaires" qui seront notamment libres de recruter leurs enseignants et leurs chercheurs, et de moduler les rémunérations et les charges d'enseignement. Il a également souhaité que "l'orientation sélective" ne soit plus une "question taboue" et veut "adapter les flux d'entrée dans chaque filière en fonction de la réalité des débouchés".
Le ministre délégué à l'Enseignement supérieur, François Goulard, a estimé mercredi "profondément inadmissible" le blocage de la faculté, dénonçant le "mépris de la démocratie" d'une "minorité d'extrémistes".
La faculté est traditionnellement très ancrée à l'extrême gauche et très mobilisée. Avant de voter mercredi, l'assemblée générale avait lancé un "appel à tous les travailleurs": "Rejoignez-nous dans la grève, unissons nos forces pour combattre la politique libérale, autoritaire, raciste de Sarkozy".
Lors du mouvement contre le contrat-jeunes (Contrat première embauche, CPE), proposé par le gouvernement de Dominique de Villepin en mars 2006, les ascenseurs de Tolbiac avaient été bloqués pendant plusieurs semaines dans cette université.
(©AFP / 09 mai 2007 21h30)
On se demande pourquoi la France ne fonctionne plus...
PARIS - Quelques centaines d'étudiants ont tenté de lancer mercredi à Paris un mouvement contre les réformes à venir du nouveau président Nicolas Sarkozy, un choix qui ne fait toutefois pas l'unanimité des organisations étudiantes, a constaté l'AFP.
Environ 800 étudiants réunis mercredi en assemblée générale à la faculté de Paris I Panthéon-Sorbonne ont voté une grève et l'occupation d'un site universitaire parisien.
Après trois heures d'assemblée générale, les étudiants se sont prononcés pour la grève et le blocage immédiat du site de Tolbiac, une tour dont les salles sont accessibles par des ascenseurs qu'il suffit de bloquer pour interdire tout accès. Lors d'une autre assemblée plus tard, l'occupation des lieux a été votée à main levée.
Les étudiants dénoncent notamment la "privatisation" à venir de l'université et la "liquidation de l'esprit de mai 68".
Mais de nombreux étudiants du principal syndicat Unef ont fait part de leurs réserves face à cette grève et cette occupation, estimant que "c'est trop tôt" et que cela risque de faire de M. Sarkozy "un martyr", alors que le président élu n'a pas encore commencé la mise en oeuvre de son programme.
"Où on va ? Où on va ? On va reporter nos partiels ! Il y a des gens ici qui viennent de province! C'est de la foutaise. Il (Nicolas Sarkozy, ndlr) a été élu au suffrage universel. Les Français ont voté!", a hurlé un étudiant opposé à la grève, après s'être emparé du micro.
Vers 19h00 (17H00 GMT), le site était encore ouvert et on ignorait si les occupants obtiendraient d'y rester pour la nuit.
Nicolas Sarkozy s'est engagé à accorder "une autonomie réelle aux universités volontaires" qui seront notamment libres de recruter leurs enseignants et leurs chercheurs, et de moduler les rémunérations et les charges d'enseignement. Il a également souhaité que "l'orientation sélective" ne soit plus une "question taboue" et veut "adapter les flux d'entrée dans chaque filière en fonction de la réalité des débouchés".
Le ministre délégué à l'Enseignement supérieur, François Goulard, a estimé mercredi "profondément inadmissible" le blocage de la faculté, dénonçant le "mépris de la démocratie" d'une "minorité d'extrémistes".
La faculté est traditionnellement très ancrée à l'extrême gauche et très mobilisée. Avant de voter mercredi, l'assemblée générale avait lancé un "appel à tous les travailleurs": "Rejoignez-nous dans la grève, unissons nos forces pour combattre la politique libérale, autoritaire, raciste de Sarkozy".
Lors du mouvement contre le contrat-jeunes (Contrat première embauche, CPE), proposé par le gouvernement de Dominique de Villepin en mars 2006, les ascenseurs de Tolbiac avaient été bloqués pendant plusieurs semaines dans cette université.
(©AFP / 09 mai 2007 21h30)
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y en manquent pas une pour se couvrir de ridicule, s'ils veulent un peu avancer faudrait voir pour bosser pour sortir de leur fosse sceptique, d'autant plus que ce sont généralements des connards de fils de bourge qui lancent ce genre de truc, qui en ont rien à péter au final et qui en plus emmerdent ceux qui se battent pour leur avenir.
GROS CONS
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Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
DERNIERE MINUTE : Tremblement de terre en Algérie
Le monde entier réagit déjà...!!
Un puissant tremblement de terre, d'une intensité inouïe de 8,9 sur
l'échelle de Richter, s'est produit ce matin au centre de l'ALGERIE,
tuant sur place au moins 25.OOO habitants, tandis que des milliers
d'autres sont blessés.
Des villes entières sont complètement dévastées, la population
survivante se lamente parmi les ruines.
L'Amérique a immédiatement envoyé son armée pour aider à la
reconstruction du pays anéanti.
La Russie a déjà envoyé des vivres. L'Angleterre et la Belgique ont
envoyé de l'argent.
La France, par la voix de son président Sarkozy, qui ne veut à aucun
prix rester passive, enverra dès demain 25.OOO nouveaux Algériens...
Le monde entier réagit déjà...!!
Un puissant tremblement de terre, d'une intensité inouïe de 8,9 sur
l'échelle de Richter, s'est produit ce matin au centre de l'ALGERIE,
tuant sur place au moins 25.OOO habitants, tandis que des milliers
d'autres sont blessés.
Des villes entières sont complètement dévastées, la population
survivante se lamente parmi les ruines.
L'Amérique a immédiatement envoyé son armée pour aider à la
reconstruction du pays anéanti.
La Russie a déjà envoyé des vivres. L'Angleterre et la Belgique ont
envoyé de l'argent.
La France, par la voix de son président Sarkozy, qui ne veut à aucun
prix rester passive, enverra dès demain 25.OOO nouveaux Algériens...