Challenge League
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Challenge League
Bellizona perd contre Delémont 1à0 alors que les jurassiens jouent à 9 contre 11....
On devra encore attendre quelques années pour revoir un tessinois en Super Ligue...
On devra encore attendre quelques années pour revoir un tessinois en Super Ligue...
fino alla fine
Re: Challenge Ligue
Et on devra se résoudre à accueillir un club du Lichtenstein...BIANCONERO a écrit :Bellizona perd contre Delémont 1à0 alors que les jurassiens jouent à 9 contre 11....
On devra encore attendre quelques années pour revoir un tessinois en Super Ligue...
Sion,heart's team; Barça,dream team
Rien n'est joué d'avance.
On peut très bien se retrouver avec Vaduz et Wil en SL l'année prochaine, comme avec St-Gall et Bellinzone.
L'avantage qu'a le 2ème de CL, c'est que le moral est bon. le 9ème de SL aura le couteau sous la gorge. donc rien n'est joué. Les statistiques qui disent que seul sion est monté via les barrages, c'est une réalité historique. Et comme rien n'est joué d'avance dans le sport...
AU moins, on aura droit à plein d'émotion et de suspense entre la fin des 2 championnats et l'Euro! Les cardiologues risquent d'avoir du boulot! Surtout ceux exercant dans le nord-est du pays!
AU passage, à mon avis, aucun club de CL ne peut prétendre, au niveau du soutien, à une place de SL!
Bellinzone : 2087 personnes par match!
Wil : 1146
Vaduz : 974
Espérons que les spectateurs liechstensteinois se fassent plus nombreux l'année passé que le Vaduz-Wil de cette année : 1485 spectateurs (record de la saison!)
On peut très bien se retrouver avec Vaduz et Wil en SL l'année prochaine, comme avec St-Gall et Bellinzone.
L'avantage qu'a le 2ème de CL, c'est que le moral est bon. le 9ème de SL aura le couteau sous la gorge. donc rien n'est joué. Les statistiques qui disent que seul sion est monté via les barrages, c'est une réalité historique. Et comme rien n'est joué d'avance dans le sport...
AU moins, on aura droit à plein d'émotion et de suspense entre la fin des 2 championnats et l'Euro! Les cardiologues risquent d'avoir du boulot! Surtout ceux exercant dans le nord-est du pays!
AU passage, à mon avis, aucun club de CL ne peut prétendre, au niveau du soutien, à une place de SL!
Bellinzone : 2087 personnes par match!
Wil : 1146
Vaduz : 974
Espérons que les spectateurs liechstensteinois se fassent plus nombreux l'année passé que le Vaduz-Wil de cette année : 1485 spectateurs (record de la saison!)
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
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Il a quoi le prix de la bière la bas?Anne Onyme a écrit :En tous les cas, si Vaduz monte, ce sera rigolo d'avoir un club de la principauté contre nous. Imagine le prix des bières et des saucisses là-bas...
Et espérons que Wil finisse 2ème et laisse ainsi St-Gall en SL, question public bien sûr, car ni Wil ni Bellinzone n'ont le public de St-Gall...
L´avenir nous dira ce qu´on va faire dans le futur. CC le 29 mai 2007
Petite constatation en passant.
En lisant le classement de Challenge League à 3 journées de la fin, je constate qu'il n'y pas qu'en SL que les choses sont indécises.
Effectivement, de la 7ème place à la 17ème place, mathématiquement tout le monde est encore relégable en 1ère ligue... c'est complètement fou...
En lisant le classement de Challenge League à 3 journées de la fin, je constate qu'il n'y pas qu'en SL que les choses sont indécises.
Effectivement, de la 7ème place à la 17ème place, mathématiquement tout le monde est encore relégable en 1ère ligue... c'est complètement fou...
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Il faut que Yverdon fasse minimum un match nul contre Vaduz et Bellinzone aura tout en main pour obtenir sa promotion en allant battre Vaduz jeudi. Il reste plus qu'a espérer que Yverdon fasse son boulot demainBastoon1 a écrit :je viens fou à l'idée que c'est Vaduz qui monte, je préférai que Bellinzonne monte direct et que Vaduz perde contre St-gall au barrage, mais bon je peux rêver, Vaduz sont encore pire que Thoune, niveau public en tout cas, niveau stade, je pense que c'est difficile de faire pire!
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La légitimité du FC Vaduz en question
FOOTBALL. Le club liechtensteinois pourrait devenir dès jeudi la première formation étrangère à évoluer au sein de l'élite helvétique. Bénéficiaire d'appuis financiers importants, l'ambitieuse équipe de Heinz Hermann fait débat.
Julien Caloz, Lundi 5 mai 2008
Le Cirque Knie n'a pas prévu d'aller raconter ses blagues au Liechtenstein cette année. «Nous n'allons pas à l'étranger, monsieur», s'est contenté de justifier un préposé aux bavardages quelconques. Dans le même temps, la tournée footballistique du FC Vaduz passera peut-être dès juillet par les plus grandes villes du pays. Il ne manque en effet que cinq unités aux «étrangers», leader avec deux longueurs d'avance sur Bellinzone, à trois journées du terme et avant de recevoir Yverdon-Sport ce soir, pour accéder au sommet de la hiérarchie helvétique et s'offrir ainsi le nouveau programme «Bellissimo» de Frédy et Franco, au Schachen argovien ou sur la place des Potences, à Sion. Source de motivation notoire.
Après 76 ans d'histoires au cours desquelles on ne lui reconnut que le droit à la participation, le FC Vaduz a bien mérité le premier rang du chapiteau. Désorienté jusqu'au-delà de la suissitude, accoudé aux esprits réfractaires des «Neinsager». Trop friqué pour mourir dans le regard oblique du voisinage, trop cabochard pour rompre sous les édits d'une ligue nationale bientôt inquiète de l'expansion d'un club qui ne devait rester qu'un «club de première ligue», depuis son intégration en 1960. Trop ambitieux pour ne pas finir par monter en LNB, été 2001. La Ligue nationale dispense alors le FCV d'une éventuelle promotion, avant d'accorder aux «étrangers» le droit à l'excellence par une convention «aux détails confidentiels», signée comme un testament.
«Elle a été acceptée par l'immense majorité des clubs et porte jusqu'en 2010», éclaircit aujourd'hui Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football League, lequel admet avoir été «sceptique, au début». Taiseux sur des conditions financières «secrètes», il concède néanmoins que le FC Vaduz «paie une prime d'entrée (ndlr: d'aucuns parlent de 250000 francs suisses en cas de promotion) ainsi qu'une taxe annuelle. Ils ont les mêmes droits et devoirs financiers que les autres, mais ne disposent pas de redevances et de subventions dans le domaine de la formation. Ils paient enfin tous les frais liés à l'arbitrage (ndlr: 30000 francs par an en Challenge League)».
Puis, explicite: «Il y a un donateur étranger qui leur garantit plusieurs millions.» Objection d'une communauté aphasique par intérêt, voire par principe: «Je ne connais pas cette personne, ose Hanspeter Negele, membre du FC Vaduz depuis 1965, président depuis 2003. Nos deux principaux sponsors sont l'entreprise de gestion de fortune MBPI et la Liechtensteinische Landesbank», lesquels auraient d'ores et déjà annoncé l'extension des facilités en cas de promotion. Le FCV est porté également par une majorité de membres influents du club des supporters, «environ 250», selon Negele, et les subventions de «l'UEFA et la FIFA à la fédération du Liechtenstein qui la redistribue ensuite entre ses membres, à savoir le FC Vaduz!» selon Paul-André Cornu, président d'Yverdon-Sport.
Bien entourée, bien implantée dans un territoire de nantis aux compétences mathématiques reconnues, la profession converse aujourd'hui des avantages fiscaux du club de la Principauté. «Aucuns», selon Negele, lequel souligne qu'un joueur approché par Vaduz «devra toujours choisir entre une vie sociale à Bâle ou Zurich et une expérience au Liechtenstein». «Je ne pense pas qu'ils puissent avoir un avantage, abonde Xavier Oberson, professeur genevois de droit fiscal. Pour les athlètes, l'imposition concerne le lieu de la performance et non pas le lieu de résidence.»
Au-delà d'une arithmétique de grossiste, quelle légitimité le FCV aurait-il en Super League? «Le scandale tient du fait qu'ils écrasent chaque année des cadors du football de talus en finale de la Coupe du Liechtenstein (ndlr: 37 victoires dont les onze dernières) et accèdent ainsi à la Coupe de l'UEFA, s'émeut Yves Martin, président du groupe de supporters lausannois BWFK. Lorsqu'ils héritent du PSG en Coupe d'Europe en 1996, le club s'assure un budget confortable rien qu'en droits télé.» Cornu: «Il s'agit d'une concurrence déloyale, c'est évident.»
Quelle concurrence? «Ils ne peuvent pas être champion suisse puisqu'ils dépendent de la fédération du Liechtenstein, confesse Isoz. Mais il faut remettre Vaduz à sa place. Si un club avec un budget relatif (ndlr: 8 millions l'an prochain ) et une moyenne de spectateurs économe devient champion, le football suisse serait gravement malade.»
«C'est complètement stupide de penser ainsi. Qu'adviendra-t-il lorsque Vaduz aura fait ses points et évité ainsi la relégation? Quel intérêt aura-t-il alors à gagner ses matches?» s'enquiert Christian Constantin, opposant prosélyte à la montée du FCV, tandis que son homologue neuchâtelois Sylvio Bernasconi ne veut pas «refaire le règlement aujourd'hui» et note que «cela fonctionne très bien avec Monaco chez nos voisins». Et qu'au pays de Galles, aussi, les tacticiens contournent le canal de Bristol pour saccager les chevilles en championnat anglais.
Vaduz reste néanmoins une destination footballistique originale. On ne parle pas encore de hooliganisme (974 spectateurs de moyenne cette saison au Rheinpark), ni même de l'influence du houblon sur le neurone des brutes épaisses, parce que la bière n'a manqué qu'une seule fois au pub Old Castle Inn, lors de la réception d'une meute britannique à l'occasion d'un match de l'équipe nationale du Liechtenstein. Les sept équipes du coin évoluent toutes dans les championnats helvétiques et, avec quelque 1700 licenciés pour 36000 habitants, le «pays» connaît l'un des plus hauts taux de footballeurs du monde.
On espère aujourd'hui «quelque 5000 spectateurs par match l'an prochain si nous montons», selon Negele. On parle d'un travail mérité, élaboré avec l'arrogance des cadets, des infrastructures adaptées et 1,4 million de francs de budget lors de l'arrivée en Ligue nationale B (2001). Achevé avec plus de 5 millions cette saison, le coaching efficace du très expansif Heinz Hermann (international helvétique le plus capé avec 126 piges) et la promptitude du Brésilien Gaspar (31 matches, 31 buts). Il ne manque aujourd'hui que cinq unités au FCV pour atteindre le sommet de la hiérarchie helvétique et réaliser un rêve de gosse. Le cirque Knie, place des Potences.
[Le Temps 2008]
FOOTBALL. Le club liechtensteinois pourrait devenir dès jeudi la première formation étrangère à évoluer au sein de l'élite helvétique. Bénéficiaire d'appuis financiers importants, l'ambitieuse équipe de Heinz Hermann fait débat.
Julien Caloz, Lundi 5 mai 2008
Le Cirque Knie n'a pas prévu d'aller raconter ses blagues au Liechtenstein cette année. «Nous n'allons pas à l'étranger, monsieur», s'est contenté de justifier un préposé aux bavardages quelconques. Dans le même temps, la tournée footballistique du FC Vaduz passera peut-être dès juillet par les plus grandes villes du pays. Il ne manque en effet que cinq unités aux «étrangers», leader avec deux longueurs d'avance sur Bellinzone, à trois journées du terme et avant de recevoir Yverdon-Sport ce soir, pour accéder au sommet de la hiérarchie helvétique et s'offrir ainsi le nouveau programme «Bellissimo» de Frédy et Franco, au Schachen argovien ou sur la place des Potences, à Sion. Source de motivation notoire.
Après 76 ans d'histoires au cours desquelles on ne lui reconnut que le droit à la participation, le FC Vaduz a bien mérité le premier rang du chapiteau. Désorienté jusqu'au-delà de la suissitude, accoudé aux esprits réfractaires des «Neinsager». Trop friqué pour mourir dans le regard oblique du voisinage, trop cabochard pour rompre sous les édits d'une ligue nationale bientôt inquiète de l'expansion d'un club qui ne devait rester qu'un «club de première ligue», depuis son intégration en 1960. Trop ambitieux pour ne pas finir par monter en LNB, été 2001. La Ligue nationale dispense alors le FCV d'une éventuelle promotion, avant d'accorder aux «étrangers» le droit à l'excellence par une convention «aux détails confidentiels», signée comme un testament.
«Elle a été acceptée par l'immense majorité des clubs et porte jusqu'en 2010», éclaircit aujourd'hui Edmond Isoz, directeur de la Swiss Football League, lequel admet avoir été «sceptique, au début». Taiseux sur des conditions financières «secrètes», il concède néanmoins que le FC Vaduz «paie une prime d'entrée (ndlr: d'aucuns parlent de 250000 francs suisses en cas de promotion) ainsi qu'une taxe annuelle. Ils ont les mêmes droits et devoirs financiers que les autres, mais ne disposent pas de redevances et de subventions dans le domaine de la formation. Ils paient enfin tous les frais liés à l'arbitrage (ndlr: 30000 francs par an en Challenge League)».
Puis, explicite: «Il y a un donateur étranger qui leur garantit plusieurs millions.» Objection d'une communauté aphasique par intérêt, voire par principe: «Je ne connais pas cette personne, ose Hanspeter Negele, membre du FC Vaduz depuis 1965, président depuis 2003. Nos deux principaux sponsors sont l'entreprise de gestion de fortune MBPI et la Liechtensteinische Landesbank», lesquels auraient d'ores et déjà annoncé l'extension des facilités en cas de promotion. Le FCV est porté également par une majorité de membres influents du club des supporters, «environ 250», selon Negele, et les subventions de «l'UEFA et la FIFA à la fédération du Liechtenstein qui la redistribue ensuite entre ses membres, à savoir le FC Vaduz!» selon Paul-André Cornu, président d'Yverdon-Sport.
Bien entourée, bien implantée dans un territoire de nantis aux compétences mathématiques reconnues, la profession converse aujourd'hui des avantages fiscaux du club de la Principauté. «Aucuns», selon Negele, lequel souligne qu'un joueur approché par Vaduz «devra toujours choisir entre une vie sociale à Bâle ou Zurich et une expérience au Liechtenstein». «Je ne pense pas qu'ils puissent avoir un avantage, abonde Xavier Oberson, professeur genevois de droit fiscal. Pour les athlètes, l'imposition concerne le lieu de la performance et non pas le lieu de résidence.»
Au-delà d'une arithmétique de grossiste, quelle légitimité le FCV aurait-il en Super League? «Le scandale tient du fait qu'ils écrasent chaque année des cadors du football de talus en finale de la Coupe du Liechtenstein (ndlr: 37 victoires dont les onze dernières) et accèdent ainsi à la Coupe de l'UEFA, s'émeut Yves Martin, président du groupe de supporters lausannois BWFK. Lorsqu'ils héritent du PSG en Coupe d'Europe en 1996, le club s'assure un budget confortable rien qu'en droits télé.» Cornu: «Il s'agit d'une concurrence déloyale, c'est évident.»
Quelle concurrence? «Ils ne peuvent pas être champion suisse puisqu'ils dépendent de la fédération du Liechtenstein, confesse Isoz. Mais il faut remettre Vaduz à sa place. Si un club avec un budget relatif (ndlr: 8 millions l'an prochain ) et une moyenne de spectateurs économe devient champion, le football suisse serait gravement malade.»
«C'est complètement stupide de penser ainsi. Qu'adviendra-t-il lorsque Vaduz aura fait ses points et évité ainsi la relégation? Quel intérêt aura-t-il alors à gagner ses matches?» s'enquiert Christian Constantin, opposant prosélyte à la montée du FCV, tandis que son homologue neuchâtelois Sylvio Bernasconi ne veut pas «refaire le règlement aujourd'hui» et note que «cela fonctionne très bien avec Monaco chez nos voisins». Et qu'au pays de Galles, aussi, les tacticiens contournent le canal de Bristol pour saccager les chevilles en championnat anglais.
Vaduz reste néanmoins une destination footballistique originale. On ne parle pas encore de hooliganisme (974 spectateurs de moyenne cette saison au Rheinpark), ni même de l'influence du houblon sur le neurone des brutes épaisses, parce que la bière n'a manqué qu'une seule fois au pub Old Castle Inn, lors de la réception d'une meute britannique à l'occasion d'un match de l'équipe nationale du Liechtenstein. Les sept équipes du coin évoluent toutes dans les championnats helvétiques et, avec quelque 1700 licenciés pour 36000 habitants, le «pays» connaît l'un des plus hauts taux de footballeurs du monde.
On espère aujourd'hui «quelque 5000 spectateurs par match l'an prochain si nous montons», selon Negele. On parle d'un travail mérité, élaboré avec l'arrogance des cadets, des infrastructures adaptées et 1,4 million de francs de budget lors de l'arrivée en Ligue nationale B (2001). Achevé avec plus de 5 millions cette saison, le coaching efficace du très expansif Heinz Hermann (international helvétique le plus capé avec 126 piges) et la promptitude du Brésilien Gaspar (31 matches, 31 buts). Il ne manque aujourd'hui que cinq unités au FCV pour atteindre le sommet de la hiérarchie helvétique et réaliser un rêve de gosse. Le cirque Knie, place des Potences.
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ll y a quand-même une très grande différence avec Monaco et la France : ils peuvent être sacrés champions de France et prennent une place en Champions League/UEFA s'ils se qualifient. Il n'y a pas de championnat ni de coupe monégasque qui donne droit à une place européenne.
Le pays de Galles a beaucoup plus d'équipes de football que le Liechtenstein. Aucune n'est quasi assurée de finir européenne sans lutter.
La comparaison n'est pas de mise. Le Liechtenstein est un cas unique.
Le pays de Galles a beaucoup plus d'équipes de football que le Liechtenstein. Aucune n'est quasi assurée de finir européenne sans lutter.
La comparaison n'est pas de mise. Le Liechtenstein est un cas unique.
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Vaduz vient de concéder le nul face à Yverdon.
Bellinzone accuse donc un retard de 3 points sur Vaduz avec une différence de but moins bonne de 3 gaols.
Une victoire 0-2 voir 0-3 pour Bellinzone à Vaduz leur redonnerai les commandes de la Chl à une journée de la fin. Le match ce jouera jeudi à Vaduz.
Bellinzone accuse donc un retard de 3 points sur Vaduz avec une différence de but moins bonne de 3 gaols.
Une victoire 0-2 voir 0-3 pour Bellinzone à Vaduz leur redonnerai les commandes de la Chl à une journée de la fin. Le match ce jouera jeudi à Vaduz.
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Vaduz va certainement obtenir sa promotion en allant jouer au Tessin contre Chiasso déjà relégué suite à sa défaite 4-0 contre Yverdon. Un nul suffit à Vaduz pour assurer sa montée. Bellinzone à raté, ce soir, une magnifique occasion d'arracher la promotion.
Sinon concernant ce match entre Yverdon et Chiasso j'étais présent et j'ai bien regardé la performance de Diallo :
Toujours très très rapide, il fait complètement paniquer la défense adverse. Maintenant ses passements de jambes sont jolis mais il se dribble lui même de temps à autre.
Au final j'ai un sentiment très mitigé ... un très bon joueur, rapide, très technique, avec un énorme potentiel ... mais le déchet est tellement grand : mauvais centre, balles perdue bêtement au milieu de ses 13 passements de jambes qu'il oublie le ballon, tirs en plein sur le gardien, que j'ai trouvé sa performence plus que moyenne ce soir. Maintenant, peut être qu'entourer d'autres joueurs que ceux qui jouent actuellement à Chiasso il pourrait mieux s'exprimer. A voir.
Sinon concernant ce match entre Yverdon et Chiasso j'étais présent et j'ai bien regardé la performance de Diallo :
Toujours très très rapide, il fait complètement paniquer la défense adverse. Maintenant ses passements de jambes sont jolis mais il se dribble lui même de temps à autre.
Au final j'ai un sentiment très mitigé ... un très bon joueur, rapide, très technique, avec un énorme potentiel ... mais le déchet est tellement grand : mauvais centre, balles perdue bêtement au milieu de ses 13 passements de jambes qu'il oublie le ballon, tirs en plein sur le gardien, que j'ai trouvé sa performence plus que moyenne ce soir. Maintenant, peut être qu'entourer d'autres joueurs que ceux qui jouent actuellement à Chiasso il pourrait mieux s'exprimer. A voir.
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De toute manière Vaduz vient d'obtenir le match nul qu'ils allaient chercher à Chiasso. Il y aura donc bel et bien un déplacement hors Suisse l'année prochaine pour affronter Vaduz.ItAlIa_RePrEzAnTe a écrit :Si Vaduz perd et que B'zona gagne,ca se joue au goal-average ou bien ?
Bellinzone jouera les barrages contre St Gall
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Isoz maintient que sans nouveau stade, pas plus de club en SL:
son raisonnement:
«Une réduction du nombre des clubs conduit à une concentration des moyens financiers et à une augmentation des spectateurs», explique le directeur de la Swiss Football League. L'attractivité même de la compétition et le confort des nouveaux stades justifient aussi cette forte tendance à la hausse. «Avec cette formule, tout le monde reste plus longtemps concerné. On l'a encore vu cette année.» Un retour à 12 clubs n'est donc pas à l'ordre du jour. «Il ne peut y avoir de changement de formule sans nouveaux stades», conclut M. Isoz, sachant que le dernier mot reviendra aux clubs.
donc si on a plus que 6 clubs en SL, on aurait des matchs à 30'000 de moyennes....
de plus, Servette avec son nouveau stade fait le plein tous les week-ends,....
http://www.lematin.ch/fr/sport/football ... _13-153782
son raisonnement:
«Une réduction du nombre des clubs conduit à une concentration des moyens financiers et à une augmentation des spectateurs», explique le directeur de la Swiss Football League. L'attractivité même de la compétition et le confort des nouveaux stades justifient aussi cette forte tendance à la hausse. «Avec cette formule, tout le monde reste plus longtemps concerné. On l'a encore vu cette année.» Un retour à 12 clubs n'est donc pas à l'ordre du jour. «Il ne peut y avoir de changement de formule sans nouveaux stades», conclut M. Isoz, sachant que le dernier mot reviendra aux clubs.
donc si on a plus que 6 clubs en SL, on aurait des matchs à 30'000 de moyennes....
de plus, Servette avec son nouveau stade fait le plein tous les week-ends,....
http://www.lematin.ch/fr/sport/football ... _13-153782
"On est pas des marionnettes ou bien"
Il est amusant de remarquer que Isoz mesure son action avec une seule métrique: la moyenne de spectateurs de la 1ere division.
Ainsi, c'est pour cela que depuis au moins 1998, Bâle joue systématiquement son dernier match à domicile: pour la ligue qui fait le calendrier cela augmente la probabilité d'un grand nombre de spectateurs (grand stade + Bâle bien classé); pour l'équité sportive, c'est plus douteux...
Ainsi, c'est pour cela que depuis au moins 1998, Bâle joue systématiquement son dernier match à domicile: pour la ligue qui fait le calendrier cela augmente la probabilité d'un grand nombre de spectateurs (grand stade + Bâle bien classé); pour l'équité sportive, c'est plus douteux...
Il n'y a que 10 sortes de personnes: ceux qui comprennent le binaire et les autres.
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C'est sûr que si tous les clubs ont un nouveau stade et appliquent une politique tarifaire très populaire comme Xamax ou le FCZ, des wagons entiers de familles de classe moyenne, de retraités et de jeunes vont aller au stade. Bravo Isoz pour ce raisonnement à haute valeur ajoutée.Djul a écrit :Isoz maintient que sans nouveau stade, pas plus de club en SL:
son raisonnement:
«Une réduction du nombre des clubs conduit à une concentration des moyens financiers et à une augmentation des spectateurs», explique le directeur de la Swiss Football League. L'attractivité même de la compétition et le confort des nouveaux stades justifient aussi cette forte tendance à la hausse. «Avec cette formule, tout le monde reste plus longtemps concerné. On l'a encore vu cette année.» Un retour à 12 clubs n'est donc pas à l'ordre du jour. «Il ne peut y avoir de changement de formule sans nouveaux stades», conclut M. Isoz, sachant que le dernier mot reviendra aux clubs.
Moins d'ambition, plus de passion !
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.