Le Trochon Orange & le Fc Sion

[Stef]

j'ouvre ce topic car on dis tous plein de chose sur ce pauvre torchon orange qui utilise le FC Sion pour remplir ces pages.
mon avis est assez simple. ils lechent le Q de Christian Constantin non-stop.
les journaliste de ce torchon doivent pas aimer le FC Sion car en général, ils demontent le club sauf CC.
et vous c'est quoi votre avis sur ce magnifique rammassi de papier avec une grosse entete organge ?

[aebifan]

J'avais entendu que soi-disant, Le Matin utilisait une moyenne de mots inférieures à l'homme moyen et que donc ne lire que ça était nuisible pour le vocabulaire....
J'ignore si c'est vrai.

[stikmou16]

Tout à fait d'accord que c'est un torchon.Tout comme le 20minutes!!!

[enfoire]

Hello.

C'est surtout un journaliste ( Nicolas Jaquier) qui fout la m**** la ou il n'y en a pas... Et apres ce Monsieur dit qu'il aime le FC Sion, non mais de qui se fout il ....!?

Qu'il foute la paix au FC Sion et à Challande, car d'histoires il n'y a que lui qui en trouvent.

Ah oui si jamais j'ai son numero de Natel

SalutaSION

enfoire

[kebion]

Hello.

C'est surtout un journaliste ( Nicolas Jaquier) qui fout la m**** la ou il n'y en a pas... Et apres ce Monsieur dit qu'il aime le FC Sion, non mais de qui se fout il ....!?

Qu'il foute la paix au FC Sion et à Challande, car d'histoires il n'y a que lui qui en trouvent.

Ah oui si jamais j'ai son numero de Natel

SalutaSION

enfoire

C'est Gabet qui te la filé ?

[Misterno]

C'est surtout un journaliste ( Nicolas Jaquier) qui fout la m**** la ou il n'y en a pas... Et apres ce Monsieur dit qu'il aime le FC Sion, non mais de qui se fout il ....!?

Tiens, j'étais prêt à écrire la même chose que toi ! C'est clair qu'il devrait plutôt aller voir son Stade Nyonnais à la dérive et ainsi nous lâcher un peu la grappe ! Il revient toujours avec ses mêmes théories de licenciement dès qu'il y a une défaite... Qu'il parle plutôt de football, mais est-ce vraiment dans ses moyens ?... J'en doute fortement !

Je préférerais encore Tschoumy et ses problèmes d'alcool

[fidel]

C'est surtout un journaliste ( Nicolas Jaquier) qui fout la m**** la ou il n'y en a pas... Et apres ce Monsieur dit qu'il aime le FC Sion, non mais de qui se fout il ....!?

Tiens, j'étais prêt à écrire la même chose que toi ! C'est clair qu'il devrait plutôt aller voir son Stade Nyonnais à la dérive et ainsi nous lâcher un peu la grappe ! Il revient toujours avec ses mêmes théories de licenciement dès qu'il y a une défaite... Qu'il parle plutôt de football, mais est-ce vraiment dans ses moyens ?... J'en doute fortement !

Je préférerais encore Tschoumy et ses problèmes d'alcool

Il vaut pas mieux... mais il supporte un poil mieux...

[Zotte3]

CC gros actionnaire du TO.

[Raph-07]

Ils ont tout récemment engagé Julien Caloz (ex-20minutes), valaisan pure souche et très bon journaliste.

[Monsieur Belette]

Ils ont tout récemment engagé Julien Caloz (ex-20minutes), valaisan pure souche et très bon journaliste.

Pour dire le format des articles du 20 minutes, il réussissait souvent d'excellentes interviews.

[Raph-07]

Ils ont tout récemment engagé Julien Caloz (ex-20minutes), valaisan pure souche et très bon journaliste.

Pour dire le format des articles du 20 minutes, il réussissait souvent d'excellentes interviews.

Bon, il faut un début à tout. Tu vas pas te retrouver comme par magie directement à la TSR...

[Stef]

voila une page de plus pour mettre la pommade pfff
Avec Constantin, c’est «je t’aime, vous non plus»

Le boss du FC Sion est passé maître dans l’art de mettre la pression. Morceaux choisis.

Nicolas Jacquier - le 21 février 2011, 22h59
Le Matin

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Super League Martigny

L’offensive verbale, c’est son style, sa marque de fabrique. Plus offensif que son équipe quand il passe à l’attaque (ce qu’il fait souvent), Christian Constantin est coutumier des coups de gueule. Martelés, répétés, assénés. Quand il s’agit de mettre la pression, le patron ne s’embarrasse pas de fioritures. La forme, c’est pour les autres. Lui préfère agir sur les émotions, en faisant vibrer la corde sensible jusqu’à susciter, chez ses joueurs, des rébellions qui tardent à éclater. Avec un discours outrancier, sans doute beaucoup plus maîtrisé qu’on ne pourrait le supposer, l’homme de Tourbillon sait s’y prendre pour occuper le terrain, y faire souffler le chaud et le froid. Dans ses excès, il peut agacer, déranger, faire tilt, mal ou parfois sourire – une tactique qui en irrite plus d’un mais ne laisse personne indifférent, en tout cas pas ceux qui en sont les victimes.

Avec ses entraîneurs, la lune de miel ne dure jamais très longtemps, comme l’atteste sa tumultueuse relation avec Bernard Challandes – une relation d’amour et de haine, qui, passé les premières semaines d’observation, n’a cessé de se détériorer. Et les arbitres en prennent eux aussi régulièrement pour leur grade.

Ballottage défavorable
Avec le boss de Tourbillon, c’est «je t’aime, vous non plus» sur tous les tons, à tous les modes. Et c’est parce qu’il exagère, souvent à dessein, que beaucoup lui pardonnent ses emportements. Mais l’homme sait tout aussi bien se moquer de son propre personnage comme l’a prouvé sa récente apparition sur scène, quand, à l’occasion du repas de gala de son club, il n’a pas hésité à interpréter son rôle.

Depuis le début de la saison, CC, fidèle à son personnage, a fait du CC dans le texte, sans toujours mettre à exécution ses menaces. Ainsi la campagne de pub TV qu’il projetait de s’offrir dans sa croisade contre les arbitres n’a jamais vu le jour, remplacée par une escapade aux Canaries. Quant à Challandes, de nouveau en grand danger depuis dimanche – plus que la défaite concédée à Bâle, c’est le manque de résultat qui pourrait être fatal au Neuchâtelois –, son sort et son avenir sur le banc demeurent flous. Son employeur a repoussé le verdict à ce mardi (lire ci-contre). En ballottage défavorable, Challandes n’a jamais été aussi proche de la sortie. Après avoir fait mine de le condamner verbalement, Constantin lui offrira-t-il un nouveau sursis?


La saison verbale du président du FC Sion

28 mai 2010 lors de la présentation officielle de son nouvel entraîneur
«Challandes a une qualité que peu d'entraîneurs en Suisse ont. Il a été capable de quitter un poste étatique, dans le fonctionnariat, pour vivre du football. Il ne sera pas dépaysé en Valais, puisque c'est un homme des Montagnes neuchâteloises qui connaît les hivers rigoureux et n'est pas né avec une cuillère en or dans la bouche.»
7 août 2010 après la première erreur d’arbitrage
«Si on me refait le même type d’entourloupe, je retire l’équipe et on se casse. En cas de nouvelle décision foireuse, je demande aux gars de quitter le terrain, on file aux vestiaires, on se change, on saute dans le car et on rentre en Valais. J’en ai marre de subir les conséquences des erreurs des autres.»

9 novembre 2010 après le penalty fantaisiste sifflé à Thoune
«La volonté des arbitres, c’est de nous tuer. Ils sont blanchis par la Commission d’arbitrage et bien notés quand ils nous font du tort. On a affaire à une véritable mafia.»
14 novembre 2010 après la défaite à domicile contre Saint-Gall
«Je peux m’occuper du cadre, mais je ne peux rien pour la qualité de la peinture.»

19 novembre 2010 avant le match de Coupe de Suisse à Lugano
«Si je devais virer tous les gens qui me déçoivent en ce moment, je devrais me séparer de tout le monde.»

28 novembre 2010 au soir de la défaite contre YB
«Bernard ne m’amène aucune plus-value. On est très fort avec la théorie. Pour le reste… Sur le «Titanic» aussi, tout le monde s’entendait bien. Cela ne l’a pas empêché de couler. Dans une descente de Coupe du monde, on serait l’ouvreur!»
29 novembre 2010 au lendemain du match contre YB
«J’en ai marre de cette équipe qui ronronne. Moi, quand je veux me faire un jus de citron, je presse le citron. Challandes, lui, il en caresse la pelure. Ce n’est pas comme ça qu’on fait du jus!»
1er février 2011 cinq jours avant la reprise contre Xamax
«Si je pouvais transmettre à un Neuchâtelois la mentalité d’un autre Neuchâtelois, je donnerais l’état d’esprit de Cuche à Bernard Challandes (…). Si les gars et le coach ne m’amènent pas ce que je veux, je ne tergiverserai pas longtemps. S’il n’y a pas de résultat à Neuchâtel, il y aura de la casse chez nous.»


20 février 2011 au soir de la défaite contre Bâle au Parc Saint-Jacque
«L’encéphalogramme est toujours plus plat. Après le 1-0, il n’y avait plus d’équipe sur le terrain. Bernard n’a rien fait pour m’arranger. Il me fout délibérément dans la m****. Que faire, maintenant? Comme président, je me retrouve dans la pire des situations.»





«Stop ou encore? c’est du 50-50»

«C’était le match qui pouvait nous relancer. Au lieu de ça, c’est le match qui nous tue.» Au lendemain de la défaite de Sion sur la pelouse de Saint-Jacques, Christian Constantin s’est livré à un exercice devenu traditionnel: il a tenu à visionner le match à la TV comme il le fait après chaque échec de son club. «J’ai l’impression de revoir chaque fois le même scénario catastrophe.» Sur le coup de 13 h, il a ensuite rencontré, pendant près d’une heure, Bernard Challandes, une entrevue qui n’a servi qu’à différer le verdict – son entraîneur est-il toujours, ou non, l’homme de la situation? – et à prolonger le suspense lié au sort de son technicien sur le banc de Tourbillon. «Je suis toujours dans une phase d’hésitation, expliquait alors son président. Soit je relance comme au poker soit je plie le jeu. Stop ou encore? C’est du 50-50.» Voilà où l’on en était sur le coup de 14 h 45.

Deux heures plus tard, pareil, avec un «verdict» repoussé en début de soirée avant d’être ajourné à ce mardi, en début d’après-midi. Où il est toujours question de pesée d’intérêts. «Dois-je provoquer le destin en jouant mon va-tout ou admettre de ne rien faire et advienne que pourra?» Hier soir, le boss n’avait toujours pas tranché. «On reste sur 8 matches/9 points, détaille Constantin. Autant dire que je suis loin du compte. Le Totomat n’est pas du côté de l’entraîneur.

Or, si je veux décrocher l’Europe, je dois absolument augmenter ma moyenne (…). Aujourd’hui, on n’a pas de schémas offensifs, on manque d’enthousiasme et notre jeu n’est pas assez riche. C’est exactement ce que je redoutais après notre match amical peu convaincant contre Servette avant la reprise.»

Si le titre est définitivement perdu, l’enjeu demeure aussi financier, lié à une participation européenne. «Si je pense qu’avec Bernard je ne peux plus améliorer le rendement du groupe, je dois changer.

J’ai besoin d’un gars qui y croit.

Si, à l’inverse, je ne devais pas bouger, je ne pourrais me faire des reproches qu’à moi-même au cas où l’équipe devrait continuer à s’enfoncer.» Au jeu des successeurs potentiels, CC dit tenir un nom au frigo.

«Si je l’appelle, cette personne vient tout de suite. La contacter équivaut à me séparer de Challandes.» Pour sa défense, celui-ci a évoqué hier la possibilité de changer de plan de jeu, de redistribuer les cartes en phase offensive. «Bernard est-il encore capable de me relancer cette équipe? C’est toute la question.

Le public valaisan ne peut pas se contenter de ce qu’on lui offre actuellement.»

Après s’être vu supprimer le jour de congé initialement prévu aujourd’hui, les joueurs ont rendez-vous cet après-midi à 15 h à la Porte d’Octodure. Ils y rencontreront soit Challandes, soit son successeur. On saura alors qui sera assis sur le banc valaisan lors de la double confrontation contre GC (en championnat samedi, puis en Coupe de Suisse le 2 mars). N. Jr.
la c'est pas CC qui fout la pression mais ce pauvre journaliste fout la m**** dans notre club.

[jutti]

«Si je l’appelle, cette personne vient tout de suite. La contacter équivaut à me séparer de Challandes.» Pour sa défense, celui-ci a évoqué hier la possibilité de changer de plan de jeu, de redistribuer les cartes en phase offensive. «Bernard est-il encore capable de me relancer cette équipe? C’est toute la question.

Je vois pas qui ?!?

Il y a que Gabet qui peut accepter cela rapidement