C'est pour la saison passée ! la saison en cours n'entre pas en ligne de compte !!...babadoux a écrit :Pff, Canavaro ballon d'or... Franchement, après une bonne coupe du monde, que montre -t- il au Real ? Rien. Je trouve que c'est incohérent par rapport à ce qu'il montre, notamment en Champions League...
[Ballon d'Or] FF 2006
Mais bien sûr qu'elle entre en ligne de compte !hola a écrit :C'est pour la saison passée ! la saison en cours n'entre pas en ligne de compte !!...babadoux a écrit :Pff, Canavaro ballon d'or... Franchement, après une bonne coupe du monde, que montre -t- il au Real ? Rien. Je trouve que c'est incohérent par rapport à ce qu'il montre, notamment en Champions League...
C'est le ballon d'or 2006 pas le ballon d'or 2005/2006...
« Maradona good, Pelé better, Georges best »
mad max a écrit :plus sérieusement, je vois bien CANAVARO...
champion d'Italie avec la Juve
champion du monde avec l'Italie
meilleur joueur du mondiale, derrière zidane, dans les circonstances que l'on connaît.
et pour l'ensemble de son oeuvre, ce qui permet aussi d'apporter une reconnaissance à ces travailleurs de l'ombre que sont les défenseurs.
désolé, petite séance d'auto congratulation...ca fait du bien de temps à autre...pour ceux qui critiquent le choix de cannavaro n'oubliez pas les deux derniers critères...soit l'ensemble de sa carrière (il a gagné un certain nombre de fois le scudetto...) sa régularité et surtout le fait qu'il fallait peut etre compenser le fait que zizou ait été élu meilleur joueur du mondial, alors que ce titre revenait de plein droit à l'italien.
buffon aurait été un bon choix également, mais henry....faut pas pousser..hein?
en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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Cannavaro, la besogne réhabilitée
L'Italien est seulement le troisième défenseur de l'histoire primé par le Ballon d'or, la plus haute distinction annuelle.
Christian Despont, Mardi 28 novembre 2006
Comme toutes les distinctions, le Ballon d'or avoue une inclination obligatoire pour l'extravagance, sans jugement de valeur, par goût du beau et de l'inusité. Cette année, le choix était restreint, mais pénible: il y avait l'adresse féline de Thierry Henry, l'élasticité de Gianluigi Buffon, ou, soyons fous, la géniale espièglerie de Ronaldinho, venue à bout des défenses les plus inhospitalières.
Petite surprise: le Ballon d'or 2006 dépoussière cette croyance un peu obsolète selon laquelle, en football, la mise en valeur de l'individu ne s'affranchit jamais de la performance collective, subséquemment de ses dynamismes subalternes. Les journalistes européens, cette fois, n'ont pas récompensé l'agilité sous sa forme la plus désinhibée, communément incarnée par les attaquants et les meneurs de jeu. Ils ont primé un défenseur. Plus osé: un défenseur au physique impropre, 1,76 m pour 72 kilos, anomalie superbe, enfant des rues et de la balle.
Le meilleur footballeur de l'année civile est Fabio Cannavaro, 33 ans, capitaine de l'Italie championne du monde et, depuis l'été, bonne conscience du Real Madrid cavaleur. Le choix est, par essence, contestable. Si le Mondial tient lieu de critère prépondérant, ce Ballon d'or récompense, un peu contre nature, une année exceptionnelle plutôt qu'une carrière, une épopée plutôt qu'un CV. Si la réflexion intègre, au-delà de l'exploit, les notions fondamentales du mérite, l'élection de Cannavaro donne raison à Lucien Favre (LT du 27.11.2006) sur «le talent très peu étoffé des votants», quand elle ne discrédite pas - à nouveau - les comparaisons transversales entre les époques et les fonctions.
Sur le plan philosophique, néanmoins, le collège délivre un message utile. Dans toute l'histoire du Ballon d'or, seuls deux défenseurs, Franz Beckenbauer (1972, 1976) et Matthias Sammer (1996), ont obtenu gain de cause - cause noble ou cause perdue, les élites intellectuelles du football causent toujours. A travers Cannavaro, le vote réhabilite une corporation mésestimée, reconnaissance que le collège a obstinément refusée à Franco Baresi, l'un des arrières centraux les plus intelligents du siècle dernier, ou à Paolo Maldini, figure tutélaire du défenseur racé. Ce Ballon d'or ne valorise pas seulement le sale boulot, le goût de la besogne, mais l'anticipation, la relance, l'esprit d'entreprise. Il n'honore pas la cerise, mais le gâteau.
En sus, il sacralise un gamin des quartiers populaires. Fabio Cannavaro est de Naples, «une ville plus proche de Rio que de Milan, fière, humble, qui veille tard et vit dans la rue». Naples où l'on ne dit pas «bambini», mais «scugnizzi»: gamin des rues, sans connotation péjorative. «Ils vont à la plage, jouent au foot dans un préau et inquiètent leurs parents. C'est leur mode de vie.»
Cannavaro était un vrai «scugnizzo». Ramasseur de balles le dimanche, à la liturgie du stade San Paolo. Tout le temps fourré dans la rue la semaine. «Vous jouez sans règle, dans un espace réduit, contre de nombreux joueurs. La rue change l'approche du jeu: elle fabrique des esprits intelligents et flexibles. Aujourd'hui, les jeunes qui sortent des centres sont formatés. Ils ont assimilé des schémas rigides et peinent à s'en départir.»
Les posters multicolores de Maradona tapissaient les murs de sa chambre. Exagérément standard pour un défenseur central, Cannavaro a fait fructifier l'héritage génétique de son père. Adresse, vigueur, aplomb. Courtoisie et gentillesse. C'est lui que les ronds-de-cuir envoyaient devant la presse pendant le scandale du calciopoli. Lui que les tifosi prenaient à partie au Mondial: «Toi, le gars du Sud, tu aurais pu te retrouver à la place de ces milliers d'Italiens partis travailler à l'étranger, tu ne peux pas rester insensible devant ces gamins qui pleurent parce qu'on les empêche de voir leurs idoles.»
Un gentil, un dur. Bradé par l'Inter Milan au prétexte qu'il était souvent blessé, mais heureux. Convoqué devant les tribunaux à une semaine du Mondial pour répondre de complicité de magouillage, mais paisible. Fabio Cannavaro a soulevé la Coupe du monde sans s'émouvoir davantage, au soir de sa centième sélection. «J'y repense quand je revois certaines scènes à la télévision. Je suis simplement heureux pour Naples. Je crois que, là-bas, les gens sont fiers de moi. Ils apprécient que le capitaine de l'Italie championne du monde soit un Napolitain. C'est une petite revanche pour la ville.» Grand malaise quand même: «Les médias parlent davantage du coup de tête de Zidane que de notre victoire. Je le regrette, comme j'ai mal accepté que le président de la FIFA n'ait pas daigné nous remettre le trophée. Mais le jeu continue.»
A travers Cannavaro, le Ballon d'or rend hommage aux classes populaires du football, à tous les laborieux, brillants et joyeux, qui œuvrent à sa grandeur d'âme. C'est un message utile à tous les «scugnizzi».
Le palmarès 1996 - 2006
1996: Matthias Sammer (Allemagne/Borussia Dortmund), défenseur.
1997: Ronaldo (Brésil/Inter Milan), attaquant.
1998: Zinédine Zidane (France/Juventus Turin), milieu offensif.
1999: Rivaldo (Brésil/FC Barcelone), milieu offensif.
2000: Luis Figo (Portugal/Real Madrid), milieu offensif.
2001: Michael Owen (Angleterre/Liverpool), attaquant.
2002: Ronaldo (Brésil/Inter Milan puis Real Madrid), attaquant.
2003: Pavel Nedved (Rép. tchèque/Juventus Turin), milieu offensif.
2004: Andreï Shevchenko (Ukraine/AC Milan), attaquant.
2005: Ronaldinho (Brésil/FC Barcelone), milieu offensif.
2006: Fabio Cannavaro (Italie/Juventus Turin puis Real Madrid), défenseur.
(Le Temps 2006)
L'Italien est seulement le troisième défenseur de l'histoire primé par le Ballon d'or, la plus haute distinction annuelle.
Christian Despont, Mardi 28 novembre 2006
Comme toutes les distinctions, le Ballon d'or avoue une inclination obligatoire pour l'extravagance, sans jugement de valeur, par goût du beau et de l'inusité. Cette année, le choix était restreint, mais pénible: il y avait l'adresse féline de Thierry Henry, l'élasticité de Gianluigi Buffon, ou, soyons fous, la géniale espièglerie de Ronaldinho, venue à bout des défenses les plus inhospitalières.
Petite surprise: le Ballon d'or 2006 dépoussière cette croyance un peu obsolète selon laquelle, en football, la mise en valeur de l'individu ne s'affranchit jamais de la performance collective, subséquemment de ses dynamismes subalternes. Les journalistes européens, cette fois, n'ont pas récompensé l'agilité sous sa forme la plus désinhibée, communément incarnée par les attaquants et les meneurs de jeu. Ils ont primé un défenseur. Plus osé: un défenseur au physique impropre, 1,76 m pour 72 kilos, anomalie superbe, enfant des rues et de la balle.
Le meilleur footballeur de l'année civile est Fabio Cannavaro, 33 ans, capitaine de l'Italie championne du monde et, depuis l'été, bonne conscience du Real Madrid cavaleur. Le choix est, par essence, contestable. Si le Mondial tient lieu de critère prépondérant, ce Ballon d'or récompense, un peu contre nature, une année exceptionnelle plutôt qu'une carrière, une épopée plutôt qu'un CV. Si la réflexion intègre, au-delà de l'exploit, les notions fondamentales du mérite, l'élection de Cannavaro donne raison à Lucien Favre (LT du 27.11.2006) sur «le talent très peu étoffé des votants», quand elle ne discrédite pas - à nouveau - les comparaisons transversales entre les époques et les fonctions.
Sur le plan philosophique, néanmoins, le collège délivre un message utile. Dans toute l'histoire du Ballon d'or, seuls deux défenseurs, Franz Beckenbauer (1972, 1976) et Matthias Sammer (1996), ont obtenu gain de cause - cause noble ou cause perdue, les élites intellectuelles du football causent toujours. A travers Cannavaro, le vote réhabilite une corporation mésestimée, reconnaissance que le collège a obstinément refusée à Franco Baresi, l'un des arrières centraux les plus intelligents du siècle dernier, ou à Paolo Maldini, figure tutélaire du défenseur racé. Ce Ballon d'or ne valorise pas seulement le sale boulot, le goût de la besogne, mais l'anticipation, la relance, l'esprit d'entreprise. Il n'honore pas la cerise, mais le gâteau.
En sus, il sacralise un gamin des quartiers populaires. Fabio Cannavaro est de Naples, «une ville plus proche de Rio que de Milan, fière, humble, qui veille tard et vit dans la rue». Naples où l'on ne dit pas «bambini», mais «scugnizzi»: gamin des rues, sans connotation péjorative. «Ils vont à la plage, jouent au foot dans un préau et inquiètent leurs parents. C'est leur mode de vie.»
Cannavaro était un vrai «scugnizzo». Ramasseur de balles le dimanche, à la liturgie du stade San Paolo. Tout le temps fourré dans la rue la semaine. «Vous jouez sans règle, dans un espace réduit, contre de nombreux joueurs. La rue change l'approche du jeu: elle fabrique des esprits intelligents et flexibles. Aujourd'hui, les jeunes qui sortent des centres sont formatés. Ils ont assimilé des schémas rigides et peinent à s'en départir.»
Les posters multicolores de Maradona tapissaient les murs de sa chambre. Exagérément standard pour un défenseur central, Cannavaro a fait fructifier l'héritage génétique de son père. Adresse, vigueur, aplomb. Courtoisie et gentillesse. C'est lui que les ronds-de-cuir envoyaient devant la presse pendant le scandale du calciopoli. Lui que les tifosi prenaient à partie au Mondial: «Toi, le gars du Sud, tu aurais pu te retrouver à la place de ces milliers d'Italiens partis travailler à l'étranger, tu ne peux pas rester insensible devant ces gamins qui pleurent parce qu'on les empêche de voir leurs idoles.»
Un gentil, un dur. Bradé par l'Inter Milan au prétexte qu'il était souvent blessé, mais heureux. Convoqué devant les tribunaux à une semaine du Mondial pour répondre de complicité de magouillage, mais paisible. Fabio Cannavaro a soulevé la Coupe du monde sans s'émouvoir davantage, au soir de sa centième sélection. «J'y repense quand je revois certaines scènes à la télévision. Je suis simplement heureux pour Naples. Je crois que, là-bas, les gens sont fiers de moi. Ils apprécient que le capitaine de l'Italie championne du monde soit un Napolitain. C'est une petite revanche pour la ville.» Grand malaise quand même: «Les médias parlent davantage du coup de tête de Zidane que de notre victoire. Je le regrette, comme j'ai mal accepté que le président de la FIFA n'ait pas daigné nous remettre le trophée. Mais le jeu continue.»
A travers Cannavaro, le Ballon d'or rend hommage aux classes populaires du football, à tous les laborieux, brillants et joyeux, qui œuvrent à sa grandeur d'âme. C'est un message utile à tous les «scugnizzi».
Le palmarès 1996 - 2006
1996: Matthias Sammer (Allemagne/Borussia Dortmund), défenseur.
1997: Ronaldo (Brésil/Inter Milan), attaquant.
1998: Zinédine Zidane (France/Juventus Turin), milieu offensif.
1999: Rivaldo (Brésil/FC Barcelone), milieu offensif.
2000: Luis Figo (Portugal/Real Madrid), milieu offensif.
2001: Michael Owen (Angleterre/Liverpool), attaquant.
2002: Ronaldo (Brésil/Inter Milan puis Real Madrid), attaquant.
2003: Pavel Nedved (Rép. tchèque/Juventus Turin), milieu offensif.
2004: Andreï Shevchenko (Ukraine/AC Milan), attaquant.
2005: Ronaldinho (Brésil/FC Barcelone), milieu offensif.
2006: Fabio Cannavaro (Italie/Juventus Turin puis Real Madrid), défenseur.
(Le Temps 2006)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Pour sa classe que personne ne conteste mais aussi pour son "sacrifice" de rester dans un club relégué... 
Il vaut mieux s'informer que de balancer sans réflexion.hola a écrit :C'est pour la saison passée ! la saison en cours n'entre pas en ligne de compte !!...babadoux a écrit :Pff, Canavaro ballon d'or... Franchement, après une bonne coupe du monde, que montre -t- il au Real ? Rien. Je trouve que c'est incohérent par rapport à ce qu'il montre, notamment en Champions League...
Le Ballon d'or de France Football est un titre qui récompense le meilleur joueur du football européen de l'année. Il est décerné par un jury composé de journalistes européens. Chaque pays européen est représenté par un journaliste qui désigne cinq joueurs parmi un panel de cinquante joueurs sélectionnés par la rédaction de France Football. Cinq points sont attribués au premier de ce quintet, quatre points au deuxième, trois points au troisième, deux points au quatrième et un point au cinquième.
Espérons maintenant que Buffon ait le prix du Joueur FIFA de l'année.
Même si ce prix est moins prestigieux car il existe depuis 10 ans environ, il est néanmoins plus "juste" (si on peut parler de justesse en matière de subjectivité...) car ce sont les sélectionneurs qui attribuent ce prix.
On verra ca en décembre.
Même si ce prix est moins prestigieux car il existe depuis 10 ans environ, il est néanmoins plus "juste" (si on peut parler de justesse en matière de subjectivité...) car ce sont les sélectionneurs qui attribuent ce prix.
On verra ca en décembre.
« Maradona good, Pelé better, Georges best »
Et ben c'est rappé !Illuvatar a écrit :Espérons maintenant que Buffon ait le prix du Joueur FIFA de l'année.
Même si ce prix est moins prestigieux car il existe depuis 10 ans environ, il est néanmoins plus "juste" (si on peut parler de justesse en matière de subjectivité...) car ce sont les sélectionneurs qui attribuent ce prix.
On verra ca en décembre.
Les 3 prétendants sont :
Canavaro
Ronaldinho
Zidane
Au faite, comment ca se fais que Zidane finisse 5eme au ballon d'or alors qu'il ne joue plus !! Ils sont vraiment incoérents !!
Et dire qu'ils vont encore lui donner le titre de joueur fifa
Franchement je trouve normal qu'il finisse 5ème... Il a quand même était le meilleure joueur de la coupe du monde sportivement parlant (j'entends par là sans son coup de boule...)hola a écrit :Et ben c'est rappé !Illuvatar a écrit :Espérons maintenant que Buffon ait le prix du Joueur FIFA de l'année.
Même si ce prix est moins prestigieux car il existe depuis 10 ans environ, il est néanmoins plus "juste" (si on peut parler de justesse en matière de subjectivité...) car ce sont les sélectionneurs qui attribuent ce prix.
On verra ca en décembre.
Les 3 prétendants sont :
Canavaro
Ronaldinho
Zidane
Au faite, comment ca se fais que Zidane finisse 5eme au ballon d'or alors qu'il ne joue plus !! Ils sont vraiment incoérents !!
Et dire qu'ils vont encore lui donner le titre de joueur fifa
Il a été sélectionner dans la liste des 50 donc voila point... Si tu raisonais comme ça à ce moment la il aurait fallu aussi enlevé Eto'o qui ne joue plus depuis août...
« Maradona good, Pelé better, Georges best »
Par contre une autre chose absolument scandaleuse qui n'a pas été relevé sur ce forum (du moins je ne crois pas) et pourtant il y a plein de pro-italien ici, c'est la non-présence de Materrazzi dans la sélection des 50 pour le ballon d'or 2006.
Je trouve cela déplorable et pourtant dieu sait si je n'aime pas le méchant joueur qu'il ait même si c'est un gars charmant dans la vie.
Il a quand même était l'un des 3 héros italien de la coupe du monde avec Buffon et Cannavaro.
Il a formé la charnière centrale avec Cannavaro qui n'a pas pris un seul goal durant tout le mondial sauf en finale.
Il a brillament remplacé Nesta au pied levé en défense centrale a partir du 2ème matche de la coupe du monde.
Il a marqué le but de l'italie en finale de la coupe du monde. Je pense que peu de joueur dans l'histoire du foot peuvent se targuer d'avoir réussi cet exploit !!! Surtout pour un défenseur...
Et il a réussi son tir au but face à Barthez en finale de la coupe du monde.
Enfin en Club il a remporté le scudetto (je vois déjà tous les fans de la juve bondir) avec l'inter, la coupe d'italie et la super coupe d'italie.
Pas mal non ?
En tout cas assez pour moi qui n'aime pas le joueur....
Je trouve cela déplorable et pourtant dieu sait si je n'aime pas le méchant joueur qu'il ait même si c'est un gars charmant dans la vie.
Il a quand même était l'un des 3 héros italien de la coupe du monde avec Buffon et Cannavaro.
Il a formé la charnière centrale avec Cannavaro qui n'a pas pris un seul goal durant tout le mondial sauf en finale.
Il a brillament remplacé Nesta au pied levé en défense centrale a partir du 2ème matche de la coupe du monde.
Il a marqué le but de l'italie en finale de la coupe du monde. Je pense que peu de joueur dans l'histoire du foot peuvent se targuer d'avoir réussi cet exploit !!! Surtout pour un défenseur...
Et il a réussi son tir au but face à Barthez en finale de la coupe du monde.
Enfin en Club il a remporté le scudetto (je vois déjà tous les fans de la juve bondir) avec l'inter, la coupe d'italie et la super coupe d'italie.
Pas mal non ?
En tout cas assez pour moi qui n'aime pas le joueur....
« Maradona good, Pelé better, Georges best »
c'est bien pour ca qu'il serai plus inteligent de l'atribuer sur l'année sportive et non civil !Illuvatar a écrit :
Franchement je trouve normal qu'il finisse 5ème... Il a quand même était le meilleure joueur de la coupe du monde sportivement parlant (j'entends par là sans son coup de boule...)
Il a été sélectionner dans la liste des 50 donc voila point... Si tu raisonais comme ça à ce moment la il aurait fallu aussi enlevé Eto'o qui ne joue plus depuis août...
Mais ceux qui disent que Canavaro joue mal depuis la reprise, alors que d'autre jouent pas du tout !
Question mondial, Bouffon et Canavaro sont pas trop mal non plus
