Patty Schnyder a essuyé une défaite rageante [Keystone]
02.09.2007 00:36
Il n'y a plus de Suissesses en lice à l'US Open. Patty Schnyder et Martina Hingis ont été battues en 16es par respectivement Tamira Paszek et Viktoria Asarenka
Patty Schnyder a été battue 4-6 6-4 7-6 (7/1) par la junior autrichienne Tamira Paszek (WTA 43). Comme ce printemps à Paris face à Maria Sharapova, la Bâloise perd un match qu'elle aurait dû remporter mille fois. Elle a, en effet, mené 6-4 4-1 avant de laisser filer sept jeux d'affilée.
Malgré ce moment d'égarement, Patty Schnyder s'est retrouvée à deux points du match dans le dernier set à 5-4 0-30 sur le service de sa rivale. Elle fut incapable de saisir cette occasion en or. Elle craquait ensuite complètement dans le jeu décisif en perdant les six derniers points de la partie.
Quel avenir pour Martina ?
La fin de match de Martina Hingis a, également, tourné au cauchemar. Elle s'est inclinée 3-6 6-1 6-0 devant la Biélorusse Viktoria Azarenka (WTA 41). Dominée en puissance, elle n'a pas tenu la distance. Elle a cherché son salut au filet. Mais elle fut trop maladroite à la volée pour renverser le cours de la rencontre.
Une telle défaite amènera peut-être Martina Hingis à opérer des choix déchirants. A bientôt 27 ans, elle peut se demander si elle possède encore un avenir sur les courts.
« J'ai claqué beaucoup d'argent dans l'alcool, les filles et les voitures de sport - le reste, je l'ai gaspillé. » George Best
Premier set perdu par le "Maître" face au géant US mais Rodj après un premier set de réglage a vite pris l'ascendant pour ne plus rien lacher.
Il rencontrera au prochain tour Féliciano Lopez le gaucher Espagnol.
oui c'est une surprise ! Cette adversaire était à sa portée... après il est clair qu'on sait qu'elle craque parfois, mais c'est une surprise quand même !
Ben elle a tellement de problème au niveau mental ces temps, elle craque tout le temps, ce fut le cas durant toute sa saison, donc je ne vois en ca aucune surprise...
Sinon Stan est en 8eme, et ca c'est une bonne... surprise
Avant d'être fort comme un chêne il faut déjà être con comme un gland
Renard27 a écrit :Ben elle a tellement de problème au niveau mental ces temps, elle craque tout le temps, ce fut le cas durant toute sa saison, donc je ne vois en ca aucune surprise...
Donc tu considérerai que Patty qui gagne, c'est une surprise? Es-tu parti de cette idée avant la rencontre?
La vie est comme un pénis : simple, décontractée, détendue et reposante. Ce sont les femmes qui la rendent dur. (Confusius)
Retrouver Stan en 8èmes est une belle surprise. Il a su profiter d'un tableau particulièrement favorable. Il a pourtant frisé le code contre Ginepri cette nuit. Il a raté un nombre incroyable d'occasions pour se détacher au score et semblait fatigué au troisième set. Mais il faut lui reconnaître une sacrée force mentale pour s'imposer en 5 sets.
A noter que Stan a disputé 8 matches en 5 sets en grand chelem et les a tous remportés. Ca doit être un record ! Il aura un bon coup a jouer en huitième de finale contre Chela qui est un bon joueur mais largement plus accessible que Federer, Nadal, Djokovic ou Davydenko.
Pour Patty et Martina, leur sortie prématurée n'est pas une grande surprise à mes yeux bien qu'elles étaient largement mieux classées que leurs adversaires. Martina vit une saison difficile durant laquelle elle a souvent perdu contre des joueuses plus faibles qu'Azarenka. Quant à Patty, elle reste la reine de l'inconstance. Ce genre de défaites frustrantes lui arrivent si souvent que je ne vois pas bien où est la surprise. Mais il faut reconnaître que Tamira Paszek qui n'est pas encore connue du grand public possède un immense talent. Contrairement aux joueuses de l'est ou américaines qui jouent tout en puissance, elle peut compter sur une vision du jeu hors du commun et d'un toucher de balle phénoménal. Elle trouve certains angles que seule Martina Hingis semblait pouvoir réussir à une certaine époque. A 16 ans à peine, elle devrait vite devenir l'une des toutes meilleures.
"Le plus grand ennemi de la vérité n'est pas le mensonge, mais les convictions." Nietzsche
Tennis: Roger Federer bat Feliciano Lopez en quatre sets à New York
Feliciano Lopez (ATP 60) a contraint Roger Federer à serrer sa garde à New York. Le gaucher madrilène a offert une superbe réplique dans un huitième de finale remporté 3-6 6-4 6-1 6-4 par le no 1 mondial.
Comme le "géant" John Isner samedi, Feliciano Lopez a pratiqué pendant près d'une heure un tennis parfait. Il a fait jeu égal avec le Bâlois lors des deux premiers sets. Après avoir remporté la première manche en signant le break au quatrième jeu, l'Espagnol s'est retrouvé à 4-4 15-30 sur le service de Federer au deuxième set. Il n'a, toutefois, pas pu aller plus loin dans cette manche que Federer gagnait en réussissant son premier break.
Lopez avait encore sa chance au premier jeu du troisième set en menant 0-40. Mais Federer devait alors réussir un exploit singulier: gagner 35 points de suite sur son service. Il ne devait, en fait, en perdre plus qu'un seul jusqu'à la fin du match, à 5-4 30-0 au quatrième set...
Ce mercedi, Roger Federer retrouvera Andy Roddick (no 5) dans la revanche de la finale de 2006. Dernier Américain en lice dans le tableau du simple messieurs après la défaite de James Blake (no 6) - malgré trois balles de match... - face à Tommy Haas (no 10), Roddick ne compte qu'un seul succès en quatorze rencontres devant Federer. Il s'était imposé en demi-finale du Masters-Series de Montréal en 2003.
Malgré le soutien du public, le protégé de Jimmy Connors s'attaque à une sorte de mission impossible. En déjouant aussi magistralement les pièges tendus par John Isner et Feliciano Lopez, Roger Federer peut aborder ce quart de finale en pleine confiance. Il n'a jamais été aussi fort sur le "decoturf" new-yorkais. Il n'a vraiment pas grand chose à craindre d'un Andy Roddick qu'il a ridiculisé en janvier dernier en Australie.
(ats / 04 septembre 2007 05:55)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Tennis: un set de trop pour Stanislas Wawrinka à l'US Open
Il y a eu un set de trop pour Stanislas Wawrinka (ATP 49) à New York. Le Vaudois n'a malheureusement pas tenu la distance devant Juan Ignacio Chela (no 20) en huitième de finale de l'US Open. Il s'est incliné en cinq sets, 4-6 6-2 7-6 1-6 6-4, devant l'Argentin.
Stanislas Wawrinka perd ainsi pour la première fois un cinquième set dans un tournoi du Grand Chelem. Il a manqué de fraîcheur dans une dernière manche qu'il avait pourtant entamée de la meilleure des manières en menant 2-0 30-15 sur son service. Il n'a pas pu confirmer le break réalisé au deuxième jeu pour assommer son adversaire.
Juan Ignacio Chela, qui restait sur deux défaites face à Wawrinka, signait le break décisif au septième jeu. Wawrinka, qui avait raté un coup droit immanquable à 40-30 alors que le court était ouvert, commettait une double-faute sur la balle de break. Il s'inclinait finalement sur la troisième balle de match après 3 heures et 41 minutes de jeu. Il pouvait alors laisser éclater toute sa frustration en fracassant sa raquette après avoir tapé un dernier revers dans le filet. Il en avait déjà cassé une après le troisième set.
Stanislas Wawrinka ne retrouvera pas de sitôt une occasion aussi belle de se hisser en quart de finale dans un tournoi du Grand Chelem. Il a perdu une rencontre contre un homme qu'il a pourtant très largement dominé dans l'échange. Le tournant de la partie fut très certainement le tie-break de la troisième manche. "Stan" le perdait 8-6 après avoir galvaudé une balle de deux sets à un à 6-5 sur une faute en coup droit.
Juan Ignacio Chela affrontera en quart de finale le vainqueur de la rencontre qui doit opposer Rafael Nadal (no 2) à David Ferrer (no 15).
(ats / 04 septembre 2007 21:09)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Un grand bravo à Spanislas Wawrinka pour son parcours à Flushing...
Petit coup de gueule quand même: peut-être il y a-t-il une bonne raison (que je n'arrive pas à trouver puisqu'il y avait un soap à cette heure là), mais je trouve scandaleux que la TSR ne diffuse pas ce match alors que SF2 et TSI2 l'ont fait !!!
Tennis: David Ferrer élimine Rafael Nadal à l'US Open
Roger Federer et Rafael Nadal ne disputeront pas cette année une troisième finale consécutive dans un tournoi du Grand Chelem. Rafael Nadal s'est, en effet, incliné en huitième de finale de l'US Open devant son compatriote David Ferrer (no 15).
Ferrer s'est imposé 6-7 6-4 7-6 6-2 à l'issue d'un marathon de 3h 27'. Il a battu Nadal à son propre jeu en imposant sa puissance et sa vélocité en fond de court. Après la perte du troisième set, Nadal a lâché prise tant sur le plan mental que sur le plan physique. Le "guerrier" de Manacor a trouvé en la personne du Valencien plus fort que lui.
A 25 ans, David Ferrer, qui avait sauvé une balle de match dimanche contre David Nalbandian, a signé le plus bel exploit de sa carrière. Il abordera jeudi son quart de finale contre Juan Ignacio Chela (no 20), le tombeur de Stanislas Wawrinka, avec les faveurs du pronostic.
La défaite de Nadal fait, bien sûr, l'affaire de Roger Federer dans la lutte pour la première place mondiale. Le Bâlois occupera à nouveau la tête de la Race même s'il devait s'incliner ce soir contre Andy Roddick. S'il gagne dimanche un quatrième titre à Flushing Meadows, il prendra une option sans doute décisive sur la première place de la Race à la fin de l'année.
L'autre quart de finale du bas du tableau opposera Novak Djokovic (no 3) à Carlos Moya (no 17). Le Serbe a très longtemps été inquiété par l'Argentin Juan Monaco (ATP 23) avant de s'imposer 7-6 7-6 6-7 6-1. Moya reste sur une victoire face à Djokovic, il y a trois semaines à Cincinnati.
Dans le simple dames, le public new-yorkais n'aura pas droit à une demi-finale entre les soeurs Williams. Serena s'est logiquement inclinée 7-6 6-1 devant la tête de série no 1 Justine Henin. La Belge affrontera vendredi la gagante de la rencontre entre Venus Williams (no 12) et Jelena Jankovic (no 3).
(ats / 05 septembre 2007 08:10)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
Les coaches draguent Federer. Sont-ils nécessaires?
TENNIS. Smicards ou millionnaires, experts ou débrouillards, ils proposent leurs services au numéro un mondial. Balade dans les arcanes d'une corporation.
Christian Despont, New York, Mercredi 5 septembre 2007
A la réflexion, Roger Federer n'est plus sûr de vouloir s'encombrer d'un coach. Il l'a répété dans les allées de Flushing Meadows, peut-être à dessein, pour réfréner l'engouement que suscite la fonction: depuis qu'il a éconduit Tony Roche, son conseiller à temps partiel, «le maître» reçoit des offres de services par dizaines, dont beaucoup proviennent de techniciens inopérants ou abscons.
«Je n'en connais pas la moitié, avoue-t-il. En y réfléchissant, je suis bien tout seul. Si j'engage un coach, je veux savoir pourquoi: est-ce pour ramasser les balles ou pour me suivre partout? Je dois aussi savoir ce que je peux apprendre de cette personne.» La question ne sera pas facile à explorer, encore moins après l'ébauche de perfection qui, lundi, a annihilé le service de Feliciano Lopez: après deux sets dans la peau d'un gardien de buts, Roger Federer a réussi, selon ses mots français, «un match phénoménal». Statistiques: 35 points d'affilée au service, 12 fautes directes au total!
L'homme sait identifier ses besoins. A l'adolescence, Peter Lundgren fut un pédagogue excentrique, nécessaire à ses tourments de premier de classe cabochard. A l'apogée, Tony Roche fut une figure vénérable, garante d'un vécu et d'un recul. Pourquoi aujourd'hui, dans un accomplissement absolu, Federer aurait-il encore besoin d'un acolyte, d'une nounou, ou d'un tuteur?
Ses réflexions un tantinet iconoclastes coïncident avec la propre introspection du milieu, où la légitimité du coach est aussi discutée que son impact. A ce jour, aucun cursus ne disqualifie les autodidactes babilleurs, les parents despotiques et les marchands de dogmes; aucune législation ne distingue l'expertise du fétichisme. Si tel était le cas, peu de «techniciens», sans doute, postuleraient pour un emploi auprès de Federer. Sauf à imaginer la situation absurde où André Rieu donnerait des cours de violon à Niccolo Paganini.
Dans le New York Times, un émissaire de la fédération américaine pose la vraie question: «Attendons-nous des coaches qu'ils soient des porteurs de valises, des regards critiques, ou des psychologues?» En clair, sont-ils si érudits qu'un numéro un mondial, peut-être le plus complet de tous les temps, ait besoin de leur savoir?
Federer, en outre, semble peu enclin au concubinage idéologique. Comme le relève Jonas Björkmann, «sur une saison, je passe plus de temps avec mon coach qu'avec ma femme. Ces liaisons, quand elles sont basées sur le débat d'idées, deviennent vite fragiles». C'est là toute l'ambiguïté de la fonction, où l'employeur devient par nature l'employé; où le patron engage un collaborateur pour le commander. «Les entraîneurs sont nettement plus nombreux que les carrières lucratives, sourit Robert Landsdorp. De nombreux joueurs font sentir que ce sont eux qui paient, et n'écoutent pas leur coach.» Roche n'a-t-il jamais exigé de Federer qu'il fasse cent appuis faciaux?
L'essence même du tennis, son individualisme culturel et choyé, rend hybride toute forme d'amalgame. Humeur volage et mauvaise foi hygiénique des funambules de la rixe: «Sébastien Grosjean a viré Emmanuel Vanderpol parce qu'il avait raté plusieurs balles de match contre Arnaud Clément, rapporte un journaliste français. Séb reprochait à son coach de ne lui avoir pas appris à «achever» un ami.»
Vite vénérés, vite congédiés. Une corporation, deux classes sociales. Chez les entraîneurs, le smic est évalué à 1000 francs la semaine, tandis que les honoraires d'une certaine élite intellectuelle atteignent 25000 euros par semaine, primes non incluses. Paradoxalement, les alliances fondées sur les affects (Wawrinka avec son ami d'enfance Zavialoff, Nadal avec son oncle Toni) semblent beaucoup plus conséquentes et prolifiques. Dans cet ordre d'idées, le vrai coach de Federer n'est-il pas Mirka Vavrinec, sa petite amie depuis cinq ans?
En tout état de cause, le magnétisme du mentor s'arrête où commencent les limites de son pouvoir. Officiellement, l'ATP interdit le coaching pendant les matches - mais dans ses mémoires, Nick Bollettieri confesse avoir triché pendant 25 ans, «avec mes mains, en ajustant mes lunettes ou en me grattant le nez». Dans certains tournois WTA, les coaches sont autorisés à pénétrer sur le court, mais la démarche vise moins à valider une compétence qu'à reproduire une mythologie de bazar, celle du tribun glamour et prépondérant comme le football aime à le sacraliser. «C'est une plaisanterie», dénonce Federer. «Je passe tout mon temps avec ma mère. Je ne vais pas encore l'appeler sur le court», badine Martina Hingis.
Eclaboussée par les affaires de mœurs, la WTA a surtout édicté un code de conduite, largement consacré aux abus sexuels et qui, en toute inanité, condamne l'abus d'autorité et l'incompétence. «Les charlatans pullulent», milite Rainer Hofman, mari et coach de Patty Schnyder, détective privé de formation.
Seul un petit cénacle a échappé, au gré des inclinations, à la démystification du statut. D'entre tous, Brad Gilbert reste le plus prisé - «le plus surévalué», corrigent les autres. L'Américain, auteur d'un best-seller sur la rouerie tennistique, sorte de Betty Bossy du parfait enquiquineur («Winning Uggly»), a bâti sa fortune sur la rhétorique, en l'étayant d'une assurance indéfectible. Entre deux mandats, l'érudit glose sur la chaîne ESPN, à raison de 60 000 dollars par tournoi. Cette année, il a reçu un million d'euros de la fédération britannique, nets d'impôts, pour apprivoiser Andy Murray.
Brad Gilbert n'apprend rien à ses ouailles. Il le dit lui-même. Fondamentalement, sa démarche consiste à convaincre ses protégés qu'ils sont les meilleurs du monde, tâche d'autant plus aisée que Gilbert est convaincu lui-même d'être le meilleur coach du monde. Sa confiance, globalement adipeuse, est son fonds de commerce. «La psychologie sportive, c'est du bidon, soutient-il. Sur un divan, on risque d'apprendre des choses déplaisantes à son sujet.»
En cultivant le complexe de supériorité, Gilbert a transformé Agassi, son tennis ampoulé et sa dégaine de guitariste pouilleux, en dominateur. Mais Federer a-t-il vraiment besoin d'un coach à 150000 francs par mois pour lui dire: «Tu es le meilleur»?
[Le Temps 2007]
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
un gars comme Federer, ca n'a pas besoin de Coach, ou si il en a vraiment besoin, il lui faut un gars un peu comme Roch : un papy qui en a vu, et qui connait toutes les situations possibles et imaginables que le monde du tennis peut produire. Ou bien un gars qui a vécu comme lui de longues semaines au sommet du tennis mondial : Pete Sampras...
Federer n'a pas besoin de coach. Il est le meilleur joueur du monde avec ou sans coach. Mais je trouverais sympa s'il prenait un coach genre Bjorg, Noah ou Sampras
Ou alors Tiger Woods qui doit savoir comment gérer une place de numéro 1 mondial
<<Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.>>
Je pense aussi que dans son état actuel, Rodgeur est assez fort mentalement pour supporter la pression engendré durant la compétition sans avoir besoin de l'aide d'un coach sportif. Mais je constate qu'il y a du monde au portillon pour le poste! Sa notoriété et sa technique ont réellement atteint leur paroxysme aux yeux de tous.
il devra se méfier grandement de davydenko qui est en grande forme et qui n'a pas concédé le moindre set depuis le début du tournoi...
même s'il n'a pas rencontré de ténor mis à part en 1/4 contre haas, davydenko semble très dur à battre, il a toutefois un bilan très négatif contre Federer il perd 9-0!
prono: victoire de federer en 4 sets acharnés