
Si ça vous chante, vous pouvez votre la faute dont vous avez été victime
ici. La faute dont vous avez été victime mérite d'être candidate au sommet du hit-parade des pires agressions, d'autant plus que :
- l’arbitre n’a même pas vu de faute ni sanctionné Chapuisat (comme pour celle d'Inler à Sion).
- Vous n'avez, après 8 mois d’arrêt (ligaments croisés déchirés et rotule endommagée), jamais retrouvé votre meilleur niveau
- En plus d’être licencié par son club, Chapuisat fût condamné par un tribunal à vous verser 5000 francs pour lésions corporelles par négligence
- Chapuisat ne s’est jamais excusé
Lors du dernier Sion-Zürich, votre joueur, Inler, commet le même genre de faute contre l'international Angolais Kali
(on peut la revoir ici, en cliquant ensuite sur le lien à droite de l'écran, en rouge, [00:39 min] . Il s'est est fallu de peu pour que le sédunois soit, comme vous, écarté à jamais des terrains de foot.

Comme pour vous, l'arbitre n'a rien sifflé et Inler ne s'est même pas excusé de son agression caractérisée (la deuxième contre un sédunois en 2 matchs, puisqu'il avait déjà envoyé Carlitos sur la touche pour plusieurs semaines en décembre).
Vous, à l'époque, aviez fait une action pénale contre Chapuisat pour que pareil geste ne se voie plus sur un terrain de football.
Qu'en est-il aujourd'hui ? Où est le fair-play que vous réclamiez à l'époque ?
Vous avez aujourd'hui la possibilité de montrer que vous êtes un Grand Homme du Fair-Play, défenseur de l'intégrité physique des joueurs de football, plutôt qu'un simple entraîneur anonyme indiférent à la cause des autres tant qu'elle ne vous concerne pas.
Oui, Monsieur Favre, vous pouvez :
- soit proposer de rejouer le match à Sion, comme l'avait fait Arsène Wenger à Arsenal pour ballon non rendu à l'adversaire (après une faute nécessitant la civière) qui avait permis à son équipe de se qualifier en coupe d'Angleterre.
- soit suspendre votre joueur à l'interne pour 2 matchs et ainsi montrer que nous êtes concerné par la répression de la violence sur les pelouses,
- soit présenter des excuses publiques à Kali et au FC Sion en compagnie de votre joueur.
Monsieur Favre, allez-vous cautionner les agressions physiques dangereuses sur les terrains et vous discréditer par rapport à 1985 ou montrer que vous êtes un Grand parmi les Grands ?
A vous de choisir.
Salutations,