http://www1.sf.tv/sfsport/tabelle.php?s ... 2007&f=akt
Dans les autres matchs, Zurich n'est pas parvenu à battre Thoune (0-0) et voit Bâle se rapprocher à 1 point.
31e journée : la claque de Lucerne
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mijack
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31e journée : la claque de Lucerne
Avant la finale de la coupe, Lucerne ne s'est pas vraiment rassuré en perdant 1-6 chez lui contre GC. Les images des derniers buts avec la passivité des joueurs lucernois sont vraiment affligeantes.
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Dans les autres matchs, Zurich n'est pas parvenu à battre Thoune (0-0) et voit Bâle se rapprocher à 1 point.
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Dans les autres matchs, Zurich n'est pas parvenu à battre Thoune (0-0) et voit Bâle se rapprocher à 1 point.
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touristpower
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Re: 31e journée : la claque de Lucerne
mijack a écrit :Avant la finale de la coupe, Lucerne ne s'est pas vraiment rassuré en perdant 1-6 chez lui contre GC.
comme quoi on est pas les seul a se prendre beaucoup de but ( 5-1)
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ...
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gaetan6669
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Dommage pour lucerne...mais ce qui est inquiétant pour sion...c'est que bale revient à 1 point de zurich (puisque si sion vise la 4eme place pour l'europe il faut absolument que zurich gagne le championnat et bale la coupe...car si bale realise le doubé 
la 4eme place qualificative pour l'europe reviendra au finaliste de la coupe (lucerne)!!!¨
la 4eme place qualificative pour l'europe reviendra au finaliste de la coupe (lucerne)!!!¨
Tu vas me dire que je suis p-e trop optimiste, mais la 3ème place est encore tout à fait jouable!!gaetan6669 a écrit :Dommage pour lucerne...mais ce qui est inquiétant pour sion...c'est que bale revient à 1 point de zurich (puisque si sion vise la 4eme place pour l'europe il faut absolument que zurich gagne le championnat et bale la coupe...car si bale realise le doubé
Surtout qu'on joue contre GC, Yb, et St Gall......
Mais bon, je suis quand même conscient que cela dépendra aussi de d'autres résultats...
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supp_séd
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Ouais, la 3ème place est encore nettement jouable...
On n'a qu'un point de retard sur Saint-Gall, un retard qui pourrait être combé sachant qu'on joue contre eux. On peut devancer GC aujourd'hui même.
Quant aux Bernois, à 5 points devant nous, ils ne bénéficient pas d'un calendrier très favorable. Sachant qu'ils doivent encore jouer à 2 reprises contre Bâle ainsi qu'une fois contre Zürich, on a largement les moyens de les devancer.
On n'a qu'un point de retard sur Saint-Gall, un retard qui pourrait être combé sachant qu'on joue contre eux. On peut devancer GC aujourd'hui même.
Quant aux Bernois, à 5 points devant nous, ils ne bénéficient pas d'un calendrier très favorable. Sachant qu'ils doivent encore jouer à 2 reprises contre Bâle ainsi qu'une fois contre Zürich, on a largement les moyens de les devancer.
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al-skweek
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sur le site de GC y mettent 175 cm ( ou un peu plus je crois ) pour 74 kilos, c'est pas possibleSteven a écrit :C'est clair que la défense est passive mais j'ai été surpris d'Ailton, il a encore de la vitesse! Il a mis une acceleration dont beaucoup de joueurs ne peuvent meme pas y penser.touristpower a écrit :Dur dur pour le mec qui se fait prendre de vitesse par Ailton
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
"Oui. Ce ne sera ni Zeidler ni Fournier. En cas de défaite le 25 mai, j’assumerai la responsabilité de ce résultat. " CC, 12.05.2017
CONSTANTIN DEMISSION
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BIANCONERO
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al-skweek a écrit :sur le site de GC y mettent 175 cm ( ou un peu plus je crois ) pour 74 kilos, c'est pas possibleSteven a écrit :C'est clair que la défense est passive mais j'ai été surpris d'Ailton, il a encore de la vitesse! Il a mis une acceleration dont beaucoup de joueurs ne peuvent meme pas y penser.touristpower a écrit :Dur dur pour le mec qui se fait prendre de vitesse par Ailton
Tu as inversé c'est 175kg pour 74 cm....
fino alla fine
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al-skweek
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oui mais je pensais tout de même une fois au début de la saison pour le site off... sinon y doivent se peser chaque jour, mais ca nous regarde pas cadoglover964 a écrit :Tu sais les joueurs se pèsent pas avant chaque match, c'est pas de la F1al-skweek a écrit :
sur le site de GC y mettent 175 cm ( ou un peu plus je crois ) pour 74 kilos, c'est pas possible
c'est sûrement les chiffres au début de sa carrière il y a un dizaine d'année en arrière...
Si vous perdez la finale, vous serez donc le principal responsable?
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La victoire est impérative contre YB dans une semaine. Mais il ne faut pas être trop optimiste, gagner à St-Gall, à GC et à Bâle sera très dur ...
Mais j'y crois ,après la prestation d'aujourd'hui
Mais j'y crois ,après la prestation d'aujourd'hui
<<Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.>>
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Davide Chiumiento, la fin du voyage
FOOTBALL. Le joueur de Young Boys prêté par la Juventus, génie annoncé d'il y a quelques années, lambine aujourd'hui dans le brouillard. La gloire que le «tout-football» lui promettait est plus que jamais hypothétique.
Julien Caloz, Lundi 7 mai 2007
Il était le petit génie de Heiden, bourgade de l'extrême nord-est helvétique, presque en Allemagne. Et tapait la balle comme pas deux. Gamin, il pelote le cuir au FC Saint-Gall. Davide Chiumiento est bon. Cela se voit, s'entend et se concrétise, à 16 ans à peine. La Juventus de Turin le happe. «J'ai pris la bonne décision», s'efforce-t-il d'assurer aujourd'hui encore. Les premiers résultats ne lui donnent pas tort. Le gamin rafle tout avec l'équipe espoir du club turinois, puis s'ébat en Série A et Ligue des champions. En italien, on dit: «Stupendo!» La bouche ouverte, quelques secondes après encore.
Au sortir de ses années de formation transalpine, il est prêté par la «Vieille Dame». L'Appenzellois bourlingue: Sienne, Le Mans, puis YB. Fin du voyage. A 22 ans et après un exercice 2006/2007 pénible, l'Italo-Suisse s'est heurté aux conditions du club bernois concernant la prochaine saison, «surtout au niveau financier», précise-t-il. L'année de contrat qui lui reste avec la Juve est boiteuse. La carrière éclatante que tous lui prédisaient devra sentir la sueur. En 2004, pourtant, le magazine officiel de la Ligue des champions le citait comme l'un des 25 joueurs de moins de 25 ans les plus prometteurs du continent. Derrière son nom: «Petit joyau qui a déjà été intronisé successeur de Del Piero.» Cadeau? Non. Fardeau.
A force de flamber, Davide Chiumiento s'est-il brûlé les ailes par-delà les Alpes? «A la Juve, on se sent de toute façon plus fort qu'on ne l'est réellement», constate Bernard Challandes, l'entraîneur des «Titans», qui a dirigé le Suisse lorsque celui-ci évoluait avec les M21. Médias, dirigeants, parents et amis, Chiumiento obéissait à l'époque à une exigence quasi tyrannique imposée par son entourage. Le minot était condamné au tour de force, plus au football.
Alors, ses années d'intérim l'éteignent doucement. «Cela fait maintenant plusieurs fois qu'il ne passe pas», constate Challandes aujourd'hui. Les chiffres (vingt matchs avec YB cette saison, deux buts), la réaction demandée par son entraîneur Daniel Andermatt qui n'est «jamais venue», ainsi que la discrétion médiatique qui aura accompagné sa saison helvétique le poussent sur le banc de touche. Or, «une carrière se fait en jouant beaucoup, explique Daniel Jeandupeux, qui l'a fait venir au Mans alors qu'il était directeur sportif. S'il était resté en Suisse, il aurait déjà plus d'une centaine de matches au sein de l'élite. Aujourd'hui, il compte une quarantaine de rencontres pros, c'est insuffisant.» Chiumiento eut pourtant la possibilité, il y a un an et demi, de s'établir à Neuchâtel Xamax, et, surtout, de jouer. Il a dédaigné l'offre comme un nabab. «Ses proches lui ont dit: «Ne va pas là-bas, ce n'est pas assez bien pour toi. Tu es quand même un joueur de la Juve!» raconte Jeandupeux. Lui glisse: «Je ne voulais pas toucher trois ou quatre fois moins d'argent.» Chiumiento semble avoir abandonné le ballon en route.
Il ne regrette pourtant rien. Ni la Juve, «qui a été la plus belle période de ma vie de footballeur», ni même YB, malgré le recul et «la déception, quand même». Il dit, amer: «Je ne veux pas trop parler de Young Boys parce que je suis encore ici. Parfois, dans le football, c'est mieux de se taire. Mais quand la saison sera terminée, je parlerai.» Où jonglera Davide Chiumiento l'an prochain? Il a, depuis, torché les opportunités. «La Juve ne me prêtera plus, dit-il. Ou je pars, ou ils me vendent. Il y a quelques pistes, mais c'est encore trop tôt pour se prononcer. Une chose est sûre, je veux jouer. Et ne plus changer de club.»
Pour cela, «il devra s'adapter au milieu dans lequel il vit, estime Bernard Challandes. Il a tendance à croire que le football va évoluer selon lui. Aujourd'hui, il faut beaucoup courir, il ne suffit plus d'être créatif!» Daniel Jeandupeux, lui, zieute en amont: «Sa carrière a été entamée par le mauvais bout. On ne commence pas un repas par le dessert! A chaque fois, il a visé trop haut. A chaque fois, il a voulu du dessert. Son parcours a fait de lui une star.» Sur la feuille de route à l'encre dorée d'il y a quelques saisons, jaillissent les ratures. Davide Chiumiento devra s'employer à les effacer avant d'imaginer la suite. L'été passé, il était tout proche du FC Sion. Du passé?
Ces autres phénomènes jamais confirmés
Talents précoces, trop vite encensés, ils sont nombreux à être tombés dans l'oubli.
• Sandro Burki et la désillusion bavaroise
Révélé au championnat d'Europe 2002 des «moins de 17 ans», le milieu de terrain argovien du FC Zurich Sandro Burki séduit le Bayern de Munich, qui l'enrôle dans son centre de formation. Il a alors 17 ans, seulement. A la clé, un trois-pièces à deux pas du très réputé quartier de Grünewald et un salaire estimé à 60000 euros annuels. Suivront quelques apparitions en équipe réserve. Sans plus. Retour en Suisse en 2004: YB, Wil, et enfin Vaduz, en Challenge League. Sandro Burki évolue aujourd'hui à Aarau, bon dernier.
• Gerardo Seoane et la galère galicienne
Le remarquable gaucher du FC Lucerne a débuté au sein de l'élite à 17 ans, sous l'œil admiratif de Jean-Paul Brigger. Gerardo Seoane débarque ensuite au Deportivo La Corogne, où il galère: trois ans après ses premières foulées en LNA helvétique, Seoane ramait en quatrième division espagnole avec la réserve du club galicien. Retour au pays en 2002, au FC Aarau. Il évolue aujourd'hui au FC Lucerne, où il est actuellement blessé.
• Manuel Bühler, le «Maradona» de Xamax
Dribbles déroutants et agilité déconcertante, l'éruptif Colombo-Suisse était le «tout-désigné» successeur du légendaire numéro 10 argentin Diego Maradona. A Neuchâtel-Xamax, Alain Geiger est sous le charme de son prodige de 18 ans, lequel arrivait au terme de son contrat à la Maladière. La Juventus de Turin, Barcelone ou Liverpool sont sur les rangs. Pourtant, la carrière de Manuel Bühler ne décolle pas: GC, Aarau, Sion, le prodige s'épuise. Il fait aujourd'hui le bonheur d'Yverdon-Sport, en Challenge League, où il est prêté par le FC Sion.
[Le Temps 2007]
FOOTBALL. Le joueur de Young Boys prêté par la Juventus, génie annoncé d'il y a quelques années, lambine aujourd'hui dans le brouillard. La gloire que le «tout-football» lui promettait est plus que jamais hypothétique.
Julien Caloz, Lundi 7 mai 2007
Il était le petit génie de Heiden, bourgade de l'extrême nord-est helvétique, presque en Allemagne. Et tapait la balle comme pas deux. Gamin, il pelote le cuir au FC Saint-Gall. Davide Chiumiento est bon. Cela se voit, s'entend et se concrétise, à 16 ans à peine. La Juventus de Turin le happe. «J'ai pris la bonne décision», s'efforce-t-il d'assurer aujourd'hui encore. Les premiers résultats ne lui donnent pas tort. Le gamin rafle tout avec l'équipe espoir du club turinois, puis s'ébat en Série A et Ligue des champions. En italien, on dit: «Stupendo!» La bouche ouverte, quelques secondes après encore.
Au sortir de ses années de formation transalpine, il est prêté par la «Vieille Dame». L'Appenzellois bourlingue: Sienne, Le Mans, puis YB. Fin du voyage. A 22 ans et après un exercice 2006/2007 pénible, l'Italo-Suisse s'est heurté aux conditions du club bernois concernant la prochaine saison, «surtout au niveau financier», précise-t-il. L'année de contrat qui lui reste avec la Juve est boiteuse. La carrière éclatante que tous lui prédisaient devra sentir la sueur. En 2004, pourtant, le magazine officiel de la Ligue des champions le citait comme l'un des 25 joueurs de moins de 25 ans les plus prometteurs du continent. Derrière son nom: «Petit joyau qui a déjà été intronisé successeur de Del Piero.» Cadeau? Non. Fardeau.
A force de flamber, Davide Chiumiento s'est-il brûlé les ailes par-delà les Alpes? «A la Juve, on se sent de toute façon plus fort qu'on ne l'est réellement», constate Bernard Challandes, l'entraîneur des «Titans», qui a dirigé le Suisse lorsque celui-ci évoluait avec les M21. Médias, dirigeants, parents et amis, Chiumiento obéissait à l'époque à une exigence quasi tyrannique imposée par son entourage. Le minot était condamné au tour de force, plus au football.
Alors, ses années d'intérim l'éteignent doucement. «Cela fait maintenant plusieurs fois qu'il ne passe pas», constate Challandes aujourd'hui. Les chiffres (vingt matchs avec YB cette saison, deux buts), la réaction demandée par son entraîneur Daniel Andermatt qui n'est «jamais venue», ainsi que la discrétion médiatique qui aura accompagné sa saison helvétique le poussent sur le banc de touche. Or, «une carrière se fait en jouant beaucoup, explique Daniel Jeandupeux, qui l'a fait venir au Mans alors qu'il était directeur sportif. S'il était resté en Suisse, il aurait déjà plus d'une centaine de matches au sein de l'élite. Aujourd'hui, il compte une quarantaine de rencontres pros, c'est insuffisant.» Chiumiento eut pourtant la possibilité, il y a un an et demi, de s'établir à Neuchâtel Xamax, et, surtout, de jouer. Il a dédaigné l'offre comme un nabab. «Ses proches lui ont dit: «Ne va pas là-bas, ce n'est pas assez bien pour toi. Tu es quand même un joueur de la Juve!» raconte Jeandupeux. Lui glisse: «Je ne voulais pas toucher trois ou quatre fois moins d'argent.» Chiumiento semble avoir abandonné le ballon en route.
Il ne regrette pourtant rien. Ni la Juve, «qui a été la plus belle période de ma vie de footballeur», ni même YB, malgré le recul et «la déception, quand même». Il dit, amer: «Je ne veux pas trop parler de Young Boys parce que je suis encore ici. Parfois, dans le football, c'est mieux de se taire. Mais quand la saison sera terminée, je parlerai.» Où jonglera Davide Chiumiento l'an prochain? Il a, depuis, torché les opportunités. «La Juve ne me prêtera plus, dit-il. Ou je pars, ou ils me vendent. Il y a quelques pistes, mais c'est encore trop tôt pour se prononcer. Une chose est sûre, je veux jouer. Et ne plus changer de club.»
Pour cela, «il devra s'adapter au milieu dans lequel il vit, estime Bernard Challandes. Il a tendance à croire que le football va évoluer selon lui. Aujourd'hui, il faut beaucoup courir, il ne suffit plus d'être créatif!» Daniel Jeandupeux, lui, zieute en amont: «Sa carrière a été entamée par le mauvais bout. On ne commence pas un repas par le dessert! A chaque fois, il a visé trop haut. A chaque fois, il a voulu du dessert. Son parcours a fait de lui une star.» Sur la feuille de route à l'encre dorée d'il y a quelques saisons, jaillissent les ratures. Davide Chiumiento devra s'employer à les effacer avant d'imaginer la suite. L'été passé, il était tout proche du FC Sion. Du passé?
Ces autres phénomènes jamais confirmés
Talents précoces, trop vite encensés, ils sont nombreux à être tombés dans l'oubli.
• Sandro Burki et la désillusion bavaroise
Révélé au championnat d'Europe 2002 des «moins de 17 ans», le milieu de terrain argovien du FC Zurich Sandro Burki séduit le Bayern de Munich, qui l'enrôle dans son centre de formation. Il a alors 17 ans, seulement. A la clé, un trois-pièces à deux pas du très réputé quartier de Grünewald et un salaire estimé à 60000 euros annuels. Suivront quelques apparitions en équipe réserve. Sans plus. Retour en Suisse en 2004: YB, Wil, et enfin Vaduz, en Challenge League. Sandro Burki évolue aujourd'hui à Aarau, bon dernier.
• Gerardo Seoane et la galère galicienne
Le remarquable gaucher du FC Lucerne a débuté au sein de l'élite à 17 ans, sous l'œil admiratif de Jean-Paul Brigger. Gerardo Seoane débarque ensuite au Deportivo La Corogne, où il galère: trois ans après ses premières foulées en LNA helvétique, Seoane ramait en quatrième division espagnole avec la réserve du club galicien. Retour au pays en 2002, au FC Aarau. Il évolue aujourd'hui au FC Lucerne, où il est actuellement blessé.
• Manuel Bühler, le «Maradona» de Xamax
Dribbles déroutants et agilité déconcertante, l'éruptif Colombo-Suisse était le «tout-désigné» successeur du légendaire numéro 10 argentin Diego Maradona. A Neuchâtel-Xamax, Alain Geiger est sous le charme de son prodige de 18 ans, lequel arrivait au terme de son contrat à la Maladière. La Juventus de Turin, Barcelone ou Liverpool sont sur les rangs. Pourtant, la carrière de Manuel Bühler ne décolle pas: GC, Aarau, Sion, le prodige s'épuise. Il fait aujourd'hui le bonheur d'Yverdon-Sport, en Challenge League, où il est prêté par le FC Sion.
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
pour revenir à la déculottée de lucerne...faut aussi se rendre compte que cette équipe n'a plus rien à gagner ou à perdre dans le championnat.
toute la concentration, toute l'énergie va etre dévouée à la finale de la coupe.
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en football, rien n'est jamais certain, à une exception près: en finale de la Coupe, à la fin, c'est toujours le FC Sion qui gagne.
28 août 2011, notre équipe nous a humiliés! 24-25 février 2013, notre club nous a définitivement mis la honte!
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