[Dernière journée]
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Bale qui ouvre le jeu à la 2e minute par Sterjovski !
Le dancing Brasilia, woua, c'est super sympa !!!
- tourbillon1
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- tourbillon1
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perso je vois assez bale se faire coiffé au poteau comme l'année passée, Zurich scorant dans les dernières secondes de jeu....
mis à part ca, y a pas à dire le championnat suisse c'est pas si désintéressant... y a pas tous les championnats qui se jouent à la dernière journée... c est en tous cas mieux qu'en france
mis à part ca, y a pas à dire le championnat suisse c'est pas si désintéressant... y a pas tous les championnats qui se jouent à la dernière journée... c est en tous cas mieux qu'en france
"disons que booooon...."
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Cette année en Hollande, en Espagne, au Portugal, en Suisse et en Allemagne, les championnats ont eu leur champion lors de la dernière journée...tourbillon1 a écrit :perso je vois assez bale se faire coiffé au poteau comme l'année passée, Zurich scorant dans les dernières secondes de jeu....
mis à part ca, y a pas à dire le championnat suisse c'est pas si désintéressant... y a pas tous les championnats qui se jouent à la dernière journée... c est en tous cas mieux qu'en france
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Zurich champion au bout du calvaire
FOOTBALL. Malmené et amoindri, le FCZ a conservé son titre aux dépens de Bâle, pour un petit point. Récits croisés d'une folle nuit.
Christian Despont, Zurich, Vendredi 25 mai 2007
Il s'en est fallu de peu que Zurich, seul en tête du championnat pendant neuf mois, soit dépossédé de son titre national au moment du terme. Comme il l'avait réussi l'an dernier au détriment de Bâle, à l'ultime seconde.
Mais, à 22 h hier soir, tout était déjà oublié. Dans une sorte de rugissement collectif, poussé avec l'énergie du désespoir, les 18000 supporters du FCZ ont tout dégluti d'un coup, les inquiétudes d'une fin de saison poussive, les blessures à répétition, l'ombre grandissante du FC Bâle, et surtout ce match étrange contre Grasshopper, resté indécis jusqu'à la fin.
Il s'en est fallu de si peu que, au coup de sifflet final, les Zurichois étaient davantage soulagés que profondément joyeux. Le capitaine Hannu Tihinen, le crâne couvert de bandages, s'est contenté de trottiner, en prenant son temps. L'entraîneur Lucien Favre a gesticulé des consignes quand ses joueurs avaient déjà les bras levés vers le ciel, puis il a disparu dans les entrailles du Hardturm, survolté.
Drôle de match, oui. Fixé sur son sort, Grasshopper n'avait rien d'autre à espérer ni rien d'autre à faire, finalement, que d'entraver le bonheur de son rival héréditaire. Sans surprise, il s'y est employé avec force et, fondamentalement, avec une certaine fourberie: on a joué la montre, le contre, la comédie. Anti-jeu ou jeux de nantis, restera que GC, détrôné dans sa ville malgré un budget deux fois supérieur, aura joué le coup à fond. Sous couvert d'éthique ou, plus sûrement, pour empêcher le sacre promis du FCZ, comme on courtiserait la belle d'un vieil ennemi le matin des noces...
Nerveux, Zurich s'est départi de ce traquenard grâce à son trio brésilien Cesar-Rafael-Santos, dans le plus pur style maison: rapide, subtil, pensé. 1-0, enfin. Quarante-quatre minutes étaient écoulées, dont plusieurs exagérément pénibles pour le FCZ, et Grasshopper n'avait pas encore renoncé à ses desseins anars. Même dominées, les «Sauterelles» ont exploité chaque opportunité, à l'exemple d'un tir lointain de Dos Santos dévié sur la transversale à la 80e minute!
Deux fois, cinq fois, dix fois, Zurich aurait dû prendre ses distances avec cet adversaire mal intentionné. Il n'y est parvenu qu'à l'ultime minute, sur coup franc, au moment où il était acculé dans son camp depuis un sale quart d'heure.
Son sacre est un petit miracle. Au fil des mois, le budget est devenu chiche – le quatrième du pays –, l'équipe efflanquée, la moyenne d'âge limite et l'attaque décharnée. Seule l'œuvre collective a survécu, bâtie sur la compétence d'un entraîneur, Lucien Favre, pétri de bon sens terrien. L'homme a le pragmatisme buté et une haute idée de l'élégance. Sous sa direction est née une génération à son image, technique et exigeante, déjà solidement campée sur ses certitudes.
Aujourd'hui, Zurich a un style, un projet de jeu et un patrimoine. Mais demain? Plusieurs cadres sont annoncés partants (Margairaz, Dzemaili, Inler, Rafael) et le train de vie, a priori, restera modeste. Tandis que le Tout-Zurich crie au «miracle Favre», l'intéressé se raidit, pas près de se vautrer dans l'éloge: «Je ne crois pas aux miracles. Je crois seulement au travail et au marché des transferts.»
FCZ-GCZ: 2-0
Hardturm: 18 137 spectateurs (guichets fermés).
Arbitre: Busacca.
Buts: 42e Santos 1-0. 92e Margairaz 2-0.
Avertissements: 5e Salatic, 44e Rochat, 58e Tihinen, 66e Dos Santos.
Zurich:Leoni; Stahel, Tihinen, von Bergen, Rochat; Abdi (78e Margairaz), Barmettler, Inler, Cesar; Santos (67e Alphonse), Raffael (94e Schneider).
Grasshopper:Coltorti; Voser, Galindo, Jaggy, Mikari; Renggli, Salatic; Pinto (87e Feltscher), Leon (67e Blumer), Dos Santos; Ailton (75e Wesley).
Bâle, jusqu'au bout de la désillusion
Simon Meier, Bâle
«C'est bien plus beau quand c'est inutile...» Cyrano de Bergerac peut dire ce qu'il veut, aucun des joueurs du FC Bâle n'a lu Edmond Rostand la nuit dernière. Mais la maxime ne convaincra personne du côté du Parc Saint-Jacques, où une victoire s'était rarement avérée aussi vaine que celle d'hier soir face aux Young Boys (2-0). Ni aussi douloureuse.
«Rendre cette soirée inoubliable», tel était le mot d'ordre lancé par l'entraîneur rhénan Christian Gross. Septante-deux secondes suffirent à Mile Sterjovski pour ouvrir le score, placer les «rouge et bleu» sur la bonne voie et faire monter la température d'un cran. Ne reste plus, alors, qu'à classer le dossier bernois – ce fut simple – et... prier.
Ironie du sort, le FCB espère de tout son cœur une performance de Grasshopper, rival honni depuis des lustres. Ces derniers jours, on a beaucoup parlé d'impuissance et de fatalité pour décrire la situation avant cette ultime soirée. Toto-mat, joli toto-mat, dis-moi que Zurich ne marquera pas...
Bâle, qui a entre-temps doublé la mise grâce à une réussite d'Eduardo en solitaire, tient virtuellement le douzième titre de champion suisse de son histoire lorsqu'en fin de première mi-temps l'heure de la douche survient. Glaciale. Un but zurichois tombe comme un couperet, un trophée s'échappe brutalement. La deuxième période fera office de remplissage; tous les esprits errent à une centaine de kilomètres de là, au stade du Hardturm, entre espoir et résignation. Les «Hop GC!» tombent des tribunes, sans trop de conviction. Les mines se ferment de plus en plus, le sentiment d'optimisme qui baignait la ville ces derniers jours est en voie d'extinction. La traditionnelle fête prévue sur la Barfüsserplatz n'aura pas lieu.
Bâle et ses 30 millions de francs de budget – sans compter les rallonges officieuses de sa mécène Gigi Oeri – se fait donc coiffer sur le fil par Zurich pour la deuxième année consécutive. Adieu la Ligue des champions et les quelque 10 millions qu'elle aurait rapportés au club selon le chef de presse Josef Zindel. La folle course-poursuite, entamée le 11 février face à Young Boys (3-0) alors que les Rhénans accusaient dix points de retard au classement, n'aura pas payé. Sur la ligne d'arrivée, un malheureux petit point de pas assez.
Sur les dix-huit matches de la phase retour de Super League, la formation de Gross en aura remporté treize – dont deux contre Zurich –, concédant cinq nuls. Il y a là de quoi raviver des regrets. Mais la gueule de bois une fois évacuée, le peuple «rouge et bleu» savourera peut-être sa fierté retrouvée.
Traumatisé par l'issue dramatique de la saison précédente, moribond tout au long de l'automne, le FC Bâle a repris goût à la vie en 2007. «Après le 13 mai 2006, nous avons tous plongé dans une espèce de black-out», expliquait le capitaine Ivan Ergic avant la rencontre d'hier soir. «Il nous a fallu du temps pour nous remettre de cette dépression. Mais aujourd'hui que nous nous sommes relevés, l'équipe, le club et les supporters entretiennent une relation plus forte et plus vraie.» Une victoire en finale de Coupe de Suisse, ce lundi au Stade de Suisse face à Lucerne, validerait le constat.
Bâle-YB : 2-0
Parc St-Jacques: 31 136 spectateurs.
Arbitre: Bertolini.
Buts: 2e Sterjovski 1-0. 16e Eduardo 2-0.
Avertissements: 15e Buckley et Varela, 42e Smiljanic, 52e Zanni, 62e Sterjovski.
Bâle: Costanzo; Zanni, Majstorovic, Smiljanic, Nakata; Ba; Sterjovski (63e Rakitic), Ergic, Chipperfield, Buckley (66e Caicedo); Eduardo (76e Derdiyok).
Young Boys: Wölfli; Schwegler, Tiago, Zayatte, Kallio (66e Kavak); Yapi Yapo; Varela (74e Hochstrasser), Marcos, Yakin, Raimondi; Shi Jun (82e Madou).
[Le Temps 2007]
FOOTBALL. Malmené et amoindri, le FCZ a conservé son titre aux dépens de Bâle, pour un petit point. Récits croisés d'une folle nuit.
Christian Despont, Zurich, Vendredi 25 mai 2007
Il s'en est fallu de peu que Zurich, seul en tête du championnat pendant neuf mois, soit dépossédé de son titre national au moment du terme. Comme il l'avait réussi l'an dernier au détriment de Bâle, à l'ultime seconde.
Mais, à 22 h hier soir, tout était déjà oublié. Dans une sorte de rugissement collectif, poussé avec l'énergie du désespoir, les 18000 supporters du FCZ ont tout dégluti d'un coup, les inquiétudes d'une fin de saison poussive, les blessures à répétition, l'ombre grandissante du FC Bâle, et surtout ce match étrange contre Grasshopper, resté indécis jusqu'à la fin.
Il s'en est fallu de si peu que, au coup de sifflet final, les Zurichois étaient davantage soulagés que profondément joyeux. Le capitaine Hannu Tihinen, le crâne couvert de bandages, s'est contenté de trottiner, en prenant son temps. L'entraîneur Lucien Favre a gesticulé des consignes quand ses joueurs avaient déjà les bras levés vers le ciel, puis il a disparu dans les entrailles du Hardturm, survolté.
Drôle de match, oui. Fixé sur son sort, Grasshopper n'avait rien d'autre à espérer ni rien d'autre à faire, finalement, que d'entraver le bonheur de son rival héréditaire. Sans surprise, il s'y est employé avec force et, fondamentalement, avec une certaine fourberie: on a joué la montre, le contre, la comédie. Anti-jeu ou jeux de nantis, restera que GC, détrôné dans sa ville malgré un budget deux fois supérieur, aura joué le coup à fond. Sous couvert d'éthique ou, plus sûrement, pour empêcher le sacre promis du FCZ, comme on courtiserait la belle d'un vieil ennemi le matin des noces...
Nerveux, Zurich s'est départi de ce traquenard grâce à son trio brésilien Cesar-Rafael-Santos, dans le plus pur style maison: rapide, subtil, pensé. 1-0, enfin. Quarante-quatre minutes étaient écoulées, dont plusieurs exagérément pénibles pour le FCZ, et Grasshopper n'avait pas encore renoncé à ses desseins anars. Même dominées, les «Sauterelles» ont exploité chaque opportunité, à l'exemple d'un tir lointain de Dos Santos dévié sur la transversale à la 80e minute!
Deux fois, cinq fois, dix fois, Zurich aurait dû prendre ses distances avec cet adversaire mal intentionné. Il n'y est parvenu qu'à l'ultime minute, sur coup franc, au moment où il était acculé dans son camp depuis un sale quart d'heure.
Son sacre est un petit miracle. Au fil des mois, le budget est devenu chiche – le quatrième du pays –, l'équipe efflanquée, la moyenne d'âge limite et l'attaque décharnée. Seule l'œuvre collective a survécu, bâtie sur la compétence d'un entraîneur, Lucien Favre, pétri de bon sens terrien. L'homme a le pragmatisme buté et une haute idée de l'élégance. Sous sa direction est née une génération à son image, technique et exigeante, déjà solidement campée sur ses certitudes.
Aujourd'hui, Zurich a un style, un projet de jeu et un patrimoine. Mais demain? Plusieurs cadres sont annoncés partants (Margairaz, Dzemaili, Inler, Rafael) et le train de vie, a priori, restera modeste. Tandis que le Tout-Zurich crie au «miracle Favre», l'intéressé se raidit, pas près de se vautrer dans l'éloge: «Je ne crois pas aux miracles. Je crois seulement au travail et au marché des transferts.»
FCZ-GCZ: 2-0
Hardturm: 18 137 spectateurs (guichets fermés).
Arbitre: Busacca.
Buts: 42e Santos 1-0. 92e Margairaz 2-0.
Avertissements: 5e Salatic, 44e Rochat, 58e Tihinen, 66e Dos Santos.
Zurich:Leoni; Stahel, Tihinen, von Bergen, Rochat; Abdi (78e Margairaz), Barmettler, Inler, Cesar; Santos (67e Alphonse), Raffael (94e Schneider).
Grasshopper:Coltorti; Voser, Galindo, Jaggy, Mikari; Renggli, Salatic; Pinto (87e Feltscher), Leon (67e Blumer), Dos Santos; Ailton (75e Wesley).
Bâle, jusqu'au bout de la désillusion
Simon Meier, Bâle
«C'est bien plus beau quand c'est inutile...» Cyrano de Bergerac peut dire ce qu'il veut, aucun des joueurs du FC Bâle n'a lu Edmond Rostand la nuit dernière. Mais la maxime ne convaincra personne du côté du Parc Saint-Jacques, où une victoire s'était rarement avérée aussi vaine que celle d'hier soir face aux Young Boys (2-0). Ni aussi douloureuse.
«Rendre cette soirée inoubliable», tel était le mot d'ordre lancé par l'entraîneur rhénan Christian Gross. Septante-deux secondes suffirent à Mile Sterjovski pour ouvrir le score, placer les «rouge et bleu» sur la bonne voie et faire monter la température d'un cran. Ne reste plus, alors, qu'à classer le dossier bernois – ce fut simple – et... prier.
Ironie du sort, le FCB espère de tout son cœur une performance de Grasshopper, rival honni depuis des lustres. Ces derniers jours, on a beaucoup parlé d'impuissance et de fatalité pour décrire la situation avant cette ultime soirée. Toto-mat, joli toto-mat, dis-moi que Zurich ne marquera pas...
Bâle, qui a entre-temps doublé la mise grâce à une réussite d'Eduardo en solitaire, tient virtuellement le douzième titre de champion suisse de son histoire lorsqu'en fin de première mi-temps l'heure de la douche survient. Glaciale. Un but zurichois tombe comme un couperet, un trophée s'échappe brutalement. La deuxième période fera office de remplissage; tous les esprits errent à une centaine de kilomètres de là, au stade du Hardturm, entre espoir et résignation. Les «Hop GC!» tombent des tribunes, sans trop de conviction. Les mines se ferment de plus en plus, le sentiment d'optimisme qui baignait la ville ces derniers jours est en voie d'extinction. La traditionnelle fête prévue sur la Barfüsserplatz n'aura pas lieu.
Bâle et ses 30 millions de francs de budget – sans compter les rallonges officieuses de sa mécène Gigi Oeri – se fait donc coiffer sur le fil par Zurich pour la deuxième année consécutive. Adieu la Ligue des champions et les quelque 10 millions qu'elle aurait rapportés au club selon le chef de presse Josef Zindel. La folle course-poursuite, entamée le 11 février face à Young Boys (3-0) alors que les Rhénans accusaient dix points de retard au classement, n'aura pas payé. Sur la ligne d'arrivée, un malheureux petit point de pas assez.
Sur les dix-huit matches de la phase retour de Super League, la formation de Gross en aura remporté treize – dont deux contre Zurich –, concédant cinq nuls. Il y a là de quoi raviver des regrets. Mais la gueule de bois une fois évacuée, le peuple «rouge et bleu» savourera peut-être sa fierté retrouvée.
Traumatisé par l'issue dramatique de la saison précédente, moribond tout au long de l'automne, le FC Bâle a repris goût à la vie en 2007. «Après le 13 mai 2006, nous avons tous plongé dans une espèce de black-out», expliquait le capitaine Ivan Ergic avant la rencontre d'hier soir. «Il nous a fallu du temps pour nous remettre de cette dépression. Mais aujourd'hui que nous nous sommes relevés, l'équipe, le club et les supporters entretiennent une relation plus forte et plus vraie.» Une victoire en finale de Coupe de Suisse, ce lundi au Stade de Suisse face à Lucerne, validerait le constat.
Bâle-YB : 2-0
Parc St-Jacques: 31 136 spectateurs.
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Buts: 2e Sterjovski 1-0. 16e Eduardo 2-0.
Avertissements: 15e Buckley et Varela, 42e Smiljanic, 52e Zanni, 62e Sterjovski.
Bâle: Costanzo; Zanni, Majstorovic, Smiljanic, Nakata; Ba; Sterjovski (63e Rakitic), Ergic, Chipperfield, Buckley (66e Caicedo); Eduardo (76e Derdiyok).
Young Boys: Wölfli; Schwegler, Tiago, Zayatte, Kallio (66e Kavak); Yapi Yapo; Varela (74e Hochstrasser), Marcos, Yakin, Raimondi; Shi Jun (82e Madou).
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"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein
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Axpo Super League: record de spectateurs grâce à Sion et Lucerne
BERNE - Avec 1,75 millions de spectateurs sur l'ensemble de la saison, l'Axpo Super League est en pleine effervescence. Jamais le championnat de Suisse n'avait connu de chiffres aussi élevés depuis le passage à 10 équipes dans l'élite. Ce sont ainsi 300 000 personnes de plus qu'en 2005/06 qui ont fréquenté les stades helvétiques, notamment grâce aux présences de Sion et Lucerne.
Avec 221 475 spectateurs à Tourbillon, le FC Sion se place en 3e position sur le plan national, derrière le FC Bâle (361 894) et les Young Boys (279 351). Lucerne pointe à la 6e place, avec 139 189 billets vendus cette saison. La comparaison entre les deux promus et les équipes qui avaient chuté en Challenge League est sans équivoque: Neuchâtel Xamax affichait un total de 53 400, tandis qu'Yverdon en était à 62 550.
Les plus fortes progressions sont à mettre à l'actif des Young Boys (+ 25 000), de St-Gall (+ 23 000), de Zurich (+ 15 000) ainsi que de Grasshopper et Aarau (+ 14 000). Seul le relégué Schaffhouse est en régression par rapport à la saison précédante (- 2800).
(ats / 25 mai 2007 13:10)
BERNE - Avec 1,75 millions de spectateurs sur l'ensemble de la saison, l'Axpo Super League est en pleine effervescence. Jamais le championnat de Suisse n'avait connu de chiffres aussi élevés depuis le passage à 10 équipes dans l'élite. Ce sont ainsi 300 000 personnes de plus qu'en 2005/06 qui ont fréquenté les stades helvétiques, notamment grâce aux présences de Sion et Lucerne.
Avec 221 475 spectateurs à Tourbillon, le FC Sion se place en 3e position sur le plan national, derrière le FC Bâle (361 894) et les Young Boys (279 351). Lucerne pointe à la 6e place, avec 139 189 billets vendus cette saison. La comparaison entre les deux promus et les équipes qui avaient chuté en Challenge League est sans équivoque: Neuchâtel Xamax affichait un total de 53 400, tandis qu'Yverdon en était à 62 550.
Les plus fortes progressions sont à mettre à l'actif des Young Boys (+ 25 000), de St-Gall (+ 23 000), de Zurich (+ 15 000) ainsi que de Grasshopper et Aarau (+ 14 000). Seul le relégué Schaffhouse est en régression par rapport à la saison précédante (- 2800).
(ats / 25 mai 2007 13:10)
"Comment se fait-il que personne ne me comprenne et que tout le monde m'aime"? Albert Einstein