
Est-ce que le Nouvelliste est devenu facho voir nazi ou est-ce qu'il fait ça que pour le fric?
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
Qu'est ce qu ils en ont à foutre le Nouvelliste ? Un parti les paie pour publier leur propagande, tant mieux pour eux. Ils vont pas dire non.st-bart a écrit :
Est-ce que le Nouvelliste est devenu facho voir nazi ou est-ce qu'il fait ça que pour le fric, comme une vulgaire pute?
Le titre est quand meme clair : "La violence des jeunes étrangers naturalisés", on parle donc bien du sujet il me semble.entremontant a écrit :Sauf que là il y a clairement une volonté de manipulation à l'aide d'un titre mensonger qui n'a rien à voire avec le sujet de base.
Non, le sujet de la votation du 1er juin est la naturalisation par les urnes, pas la violence des jeunes !!! On doit décider si on veut qu'à l'avenir, les communes puissent recourir aux urnes pour décider d'une demande de naturalisation. Il n'est nullement question de violence ni d'insécurité.Anthoine a écrit : Le titre est quand meme clair : "La violence des jeunes étrangers naturalisés", on parle donc bien du sujet il me semble.
Non mais ils prennent vraiment les gens pour des bourriques là! cette article a plutôt sa place dans "pour se marrer un bon coup"!nufc a écrit :Les Balkans sont devenus une des régions les plus sûres au monde
Désolé mais je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de surprenant! En effet, toutes les crapules provenant de ces pays ne sont plus là et sont chez nous ou chez nos voisins! Cette même minorité d'individus qui font que ce peuple a une si mauvaise réputation de par la Suisse notamment (La preuve avec ce qui s'était passé à Emmen par exemple). Ils le disent eux-même dans l'article (bon, l'emploi du mot "travail" n'est peut-être pas très judicieux dans ce casnufc a écrit :"Aussi surprenant que cela puisse paraître, la région des Balkans est une des plus sûres d'Europe (et) le stéréotype d'un paradis pour gangsters ne s'applique plus", souligne le chef de cet organe, Antonio Maria Costa."Le cercle vicieux de l'instabilité politique alimentant la criminalité et vice versa, qui a miné les Balkans dans les années 1990, est rompu", relève-t-il.
nufc a écrit :En réalité, selon l'étude, les Balkans présenteraient même une "faible vulnérabilité" à la criminalité: les inégalités sociales y sont réduites, la natalité faible et la population d'hommes jeunes, principal vivier de délinquants potentiels, est limitée en raison de l'émigration de travail.
C'est pourtant si simple et évident, pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ?Baro a écrit :[
Désolé mais je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de surprenant! En effet, toutes les crapules provenant de ces pays ne sont plus là et sont chez nous ou chez nos voisins! Cette même minorité d'individus qui font que ce peuple a une si mauvaise réputation de par la Suisse notamment (La preuve avec ce qui s'était passé à Emmen par exemple). Ils le disent eux-même dans l'article (bon, l'emploi du mot "travail" n'est peut-être pas très judicieux dans ce cas):
supp_séd a écrit :Il n'y a qu'ici que l'on croit que le manque de savoir vivre est un impératif économique.
T'en sais quoi ? Tu peux nous prouver le contraire ?Baro a écrit :Non mais ils prennent vraiment les gens pour des bourriques là! cette article a plutôt sa place dans "pour se marrer un bon coup"!nufc a écrit :Les Balkans sont devenus une des régions les plus sûres au monde![]()
Wow, on voit bien que tu ne juge personne par des stéréotypes quelconques et que ton jugement est basé sur du solide. T'es mouton à Freysinger ou quoi ? En tout cas à te lire, j'en mettrais mes deux mains à couper.Baro a écrit :Désolé mais je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de surprenant! En effet, toutes les crapules provenant de ces pays ne sont plus là et sont chez nous ou chez nos voisins! Cette même minorité d'individus qui font que ce peuple a une si mauvaise réputation de par la Suisse notamment (La preuve avec ce qui s'était passé à Emmen par exemple). Ils le disent eux-même dans l'article (bon, l'emploi du mot "travail" n'est peut-être pas très judicieux dans ce casnufc a écrit :"Aussi surprenant que cela puisse paraître, la région des Balkans est une des plus sûres d'Europe (et) le stéréotype d'un paradis pour gangsters ne s'applique plus", souligne le chef de cet organe, Antonio Maria Costa."Le cercle vicieux de l'instabilité politique alimentant la criminalité et vice versa, qui a miné les Balkans dans les années 1990, est rompu", relève-t-il.):
Comme quoi, tu vois, on peut être dans tes préjugés et être un bon gars quand même, dans la réalité vraie, celle de la vie de tous les jours! Mais au fait, si il fallait le naturaliser à main levée, tu le ferais?Zotte3 a écrit :Voilé un petit portrait d'un des papables.
Vladimir Petkovic ou le succès de l'intégration.
Interview swissinfo: Andrea Clementi, Bellinzone
(Traduction de l'italien: Isabelle Eichenberger)
L'entraîneur croate de l'Association de football de Bellinzone, en course pour la promotion en Super League et finaliste de la Coupe de Suisse ce dimanche, parle de sa conception du sport et de la vie.
Il parle parfaitement italien, mais la langue de la famille reste le croate. «Bien sûr, mes enfants discutent entre eux en italien, mais je trouve important de préserver notre identité culturelle. Pour moi, c'est un enrichissement et non pas un obstacle à l'intégration, qui, elle, dépend de la volonté de chacun», explique Vladimir Petkovic.
L'entraîneur de Bellinzone connaît bien le sujet, puisqu'il est venu de Sarajevo en Suisse il y a une vingtaine d'années et qu'il a joué comme professionnel dans plusieurs régions du pays. Depuis quelques années, il vit au Tessin, où il a obtenu d'excellents résultats en tant qu'entraîneur. Mais cette activité n'est que secondaire, puisque l'ancien footballeur est en fait employé à plein temps par l'association caritative Caritas Tessin.
swissinfo: Comment votre manière d'être entraîneur a-t-elle évolué ces dernières années?
Vladimir Petkovic: Par nature, je suis précis, pointilleux même. Au début de ma carrière sur le banc, j'étais très sévère et j'attendais de mes joueurs qu'ils le soient aussi. D'une certaine façon, je vivais dans mon monde. J'avais une équipe de première ligue (Malcantone Agno) mais je voulais que mes joueurs atteignent le niveau de la Ligue des champions! (rires)
Avec l'expérience, j'ai compris ensuite l'importance du dialogue avec les joueurs. C'est fondamental de réussir à nouer des contacts individuels et spécifiques. J'ai donc pris cette direction.
swissinfo: Dans ce cadre, quel rôle a joué votre activité professionnelle chez Caritas?
V. P.: A côté du football, j'ai passé un diplôme de formateur pour adultes et, dans ce cadre, j'ai travaillé dans le domaine de l'enseignement, avec notamment d'étroits contacts avec les chômeurs. C'est une activité qui m'a permis de rencontrer des groupes de gens très hétérogènes, avec lesquels il faut donc établir des relations différenciées.
Cela m'a beaucoup enrichi au niveau personnel, surtout en ce qui concerne la gestion de groupes et de conflits. Ces expériences se sont avérées très précieuses pour mon travail d'entraîneur. Aujourd'hui, le foot n'est plus un travail exclusivement physique. Il faut aussi toute une préparation intellectuelle pour se mettre en condition et transmettre ensuite les indications de manière adéquate.
A moyen terme, cependant, j'aimerais pouvoir me concentrer entièrement sur le football car le cumul des deux activités est fatigant, surtout au niveau du mental.
swissinfo: Dans quelle mesure le foot est-il un moyen d'intégration?
V. P.: C'est un moyen très important. Les gens voient d'un bon œil les personnages connus et populaires, comme peuvent l'être les footballeurs. Par conséquent, le lieu d'origine de la personne passe au deuxième plan et l'intégration s'en trouve grandement facilitée.
Mais attention: cela ne suffit pas si l'athlète ne manifeste pas une réelle volonté d'intégration. Pour entrer dans une nouvelle réalité, il faut s'adapter à des situations nouvelles et accepter la différence, même quand il y a des aspects qui peuvent déranger. Ceci vaut d'ailleurs pour les sportifs comme pour les citoyens ordinaires.
Ce cheminement est fondamental pour réussir une carrière sportive dans un pays étranger, mais aussi son parcours humain et professionnel en dehors des terrains de foot.
swissinfo: Quand un joueur d'origine étrangère, mais qui a grandi en Suisse, décide de ne pas revêtir le maillot à croix blanche de l'équipe nationale, cela provoque de vives polémiques. Est-ce un problème d'intégration ratée?
V. P.: Non. C'est un problème lié typiquement à la carrière sportive du joueur et, évidemment, à ses aspects financiers. En fait, jouer pour certaines équipes nationales offre une vitrine plus intéressante aux jeunes talents, qui cherchent à profiter de l'occasion.
Je sais que, dans ce genre de situation, il y a un important aspect émotionnel, mais je crois que les perspectives sportives et financières sont prépondérantes dans la décision. Il ne faut pas oublier le rôle des agents de joueurs, qui les poussent à opérer les choix les plus rentables économiquement.
swissinfo: Le FC Bellinzone est dans la course pour la promotion en Super League et va tenter le remporter la Coupe de Suisse ce dimanche. Quelle est la clef du succès?
V. P.: Soigner les détails. Dans le foot moderne, c'est ce qui permet de faire la différence au niveau des résultats. Parmi ceux-là, il y a l'aspect mental et la gestion des émotions. Si on prend par exemple la finale imminente de la Coupe: peu d'éléments sont déjà entrés sur le terrain devant des dizaines de milliers de supporteurs. Il sera donc essentiel de garder une bonne concentration, surtout au début du match.
Il est aussi important de ne pas se reposer sur ses lauriers: je ne cesse de répéter aux joueurs que l'étape la plus importante est la prochaine. Il est clair que je dois planifier à long terme, mais je leur demande de se concentrer uniquement sur le prochain match, de vivre le présent.